Épilogue

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POINT DE VUE DE LIZ :

6 mois plus tard...

- Élizabeth ! hurla Ayden depuis le premier étage.

Je posais mon assiette de pâtes sur la table basse :

- Qu'est-ce que j'ai encore fais ?

Il descendit les escaliers rapidement en me lançant :

- Tu as commandé pour cinq milles dollars de dagues.

Hein ?

Je me massais les tempes :

- Attends, t'es en train de me dire que je viens d'interrompre un des meilleurs repas du monde pour me dire ça ?

Son visage était déformé par la colère :

- Élizabeth tu es en train de manger des pâtes au beurre.

Je recitifiais :

- Des spaghettis avec du parmesan.

Il se frotta les yeux :

- Tu as déjà une salle entièrement dédiée aux dagues.

C'était vrai !

Après l'attaque chez Jérémy, Spencer m'avait planté le ventre.

Grognasse !

Elle est morte.

Grognasse quand même.

Bref, Ayden m'avait emmenée à l'hôpital et les médecins avaient réussis à me sauver.

Je suis résistante hein.

Ayden m'avait acheter énormément de dagues et il avait dédié une pièce de sa maison pour ma passion.

Je pense que c'est James qui l'avait aidé à choisir certaines dagues, parce qu'il y en avait des vraiment rares.

- Je comprends que tu ai une passion pour une arme mais là c'est ...

Je le coupais :

- C'est de l'amour ! Tu les verrais Ayden ! Elles sont en argent avec des émeraudes dessus, elles so ...

Il laissa échapper un rire bref :

- Tu me fatigues.

Il s'approcha de moi et s'asseya en face de moi avant de me prendre les mains :

- Je comprends que tu aimes les dagues princesse, mais là ça devient une obsession.

Je roulais les yeux.

Toujours plus. 

Ses yeux glissèrent jusqu'à la table basse.

Il observa attentivement la pochette de l'hôpital qui était posée en face de mon assiette.

Son regard se déposa ensuite sur moi et je baissais la tête.

Il soupira et me fit asseoir sur lui :

- Je sais que c'est difficile ...

J'opiniais brièvement.

J'allais pleurer si je le regardais.

Il m'embrassa la tempe :

- On en a déjà parlés Élizabeth, et tu connais mon avis là-dessus.

Oui, je le connaissais son avis.

Il disait juste que je ne devais pas m'en vouloir parce que ce n'était pas ma faute.

Je déglutis et une larme roula sur ma joue.

ÉLIZABETHOù les histoires vivent. Découvrez maintenant