UN COUP DU SOIR , MON PATRON

il n'arrete pas

j'arrive chez moi , il n'y a que Gracias.

Dalila : salut pourquoi t'es seule ?
Gracias : maman et papa sont partis avec Dan il va se faire opérer si ce n'est pas déjà fait.
Dalila : qui que quoi ? je ne comprends pas !
Gracias: je reformule, on a reçu une lettre d'une grande hôpital appelant Daniel à se faire opérer aujourd'hui puisque le docteur qui viennent de l'europe  repartiront demain.
Dalila : mon Dieu , qui a payé la somme colossale de l'opération, ça ne peut être gratuit.
Gracias : oui évidemment , il parait que c'est Yannis.
Dalila : Yannis qui?
Gracias : maintenant tu oublies ton patron ?
Dalila : qui mon patron, qui l'a permis ?
Gracias : je ne sais pas.
Dalila : il va m'entendre.
Gracias : tu vas où, il est dans la salle de bain.
Dalila : tu plaisantes hein ? tu te fou de moi ?
Gracias : non
Yannis : non

je me retourne et vois Yannis , je suis totalement confuse.

Yannis : laisse nous seul princesse.

Gracias s'en va et là je lui donne une gifle atroce.
mon Dieu j'ai giflé mon patron.
il se touche la joue.

Yannis : cette gifle c'est pour ce matin ou ce soir.
Dalila : ...
Yannis : parle je t'écoute.

j'avais peur maintenant qu'il se rapproche de moi .
il est imprévisible.

Dalila: ...
Yannis : DALILA
Dalila : ne me crie pas dessus chez moi okay , ici tu es chez moi , chez moi et non dans ton entreprise.
Yannis : ALORS AGIS EN FEMME ET RÉPONDS MOI .
Dalila : pourquoi tu t'énerves d'abord, tu es mon patron et je t'interdit formellement de t'approcher de ma famille.
Yannis : je fais ce que je veux, tu penses que ton avis compte?
Dalila : occupe toi de ta femme et de ton fils, je suis là pour m'occuper de ma famille.
Yannis : ça m'énerve bon sang.

point de vu de Yannis : ça fait un moment depuis que j'ai humé le parfum de Mylan sur elle, c'est ce qui m'énerve.
j'étais là pour m'excuser mais savoir qu'elle s'est donné à lui m'énerve.

Dalila : sors stp.
Yannis : pourquoi... pourquoi tu t'es donné à lui ?
Dalila : quoi ?
Yannis : pourquoi tu as couché avec Mylan.
Dalila : parce que c'est mon homme et que je fais ce que je veux.
Yannis : tu ne peux pas me faire ça Dalila.
Dalila : ah et toi tu peux ? tu as le droit de coucher ta femme et tu veux que moi je reste là comme une frigide .
Yannis : oui ! pourquoi pas. tu ne peux pas me rendre jaloux avec mon meilleur ami.
Dalila : je ne te rends pas jaloux, ton ami c'est mon homme et toi tu es mon patron.
Yannis : je ne veux pas. Dalila stp tu ne vois pas que je deviens fou , stp.

je me rend compte que je suis quelqu'un il était tout rouge et très en colère c'est la première fois que je le vois ainsi.
ça fait peur.

Yannis : ne me fais pas ça Dalila pas avec lui .
Dalila : tu veux que je romps ?
Yannis : oui en vrai.
Dalila : je l'aime.
Yannis : depuis quand ?
Dalila : depuis longtemps.
Yannis : tu es sûr ?
Dalila : oui .

il s'approche de moi et comme toujours il me plaque au mur , cette fois-ci il me punit à mettant mes deux mains sur ma tête. ça devient épuisant cette histoire.

sans dire un mot, il m'embrasse mais je ne réponds pas, je le bouscule mais il garde sa position, il continue tout de même à m'embrasser bien que je ne réponde pas , il s'est obstiné à me torturer.
de l'une de sa main il caresse mes cuisses sous ma robe, je de débat mais rien .
sa main arrive jusqu'à mon slip quand je le bouscule de toutes mes forces.