𝐅𝐈𝐑𝐄𝐒𝐓𝐎𝐍𝐄 - T3

51. Oublions-nous

NDA : Yo les girls ! 

Pour celles qui me suivent sur Instagram sont déjà au courants, mais pour les autres, il est important de finir la NDA avant de commencer l'histoire. 

Ce chapitre est violence sur violence. Il est donc important que vous sautiez les passages qui ne vous conviennent pas ! 

Surtout à la fin ! 

Je ne veux pas être nommé responsable de ce que vous lisez, et que vous vous plaignez sur les réseaux sociaux. 

De plus, en aucun cas j'accepterai ça dans la vie réelle. 

N'oubliez pas que cette histoire est avant tout une dark romance, et non une soft romance. 

Merci, et bonne lecture :) 

Hope 

Tu as brisé mon cœur,

Tu as verrouillé mon amour.

C'est absurde que je verse des larmes.

Un an plus tôt...

Je suis fière de ma famille. Chaque membre est assis autour de la table, préparée pour Thanksgiving. Ils discutent tous entre eux, et je me sens rassuré de faire partie d'une famille comme ça. Ils sont si bienveillants, et remplis de bonté, que j'en ai les larmes aux yeux. 

Je sens la main de mon père serrer la mienne, et quand mon regard se pose sur lui, il me sourit. Mon cœur fond en le voyant comme ça. 

C'est sans doute, assez régulièrement que ma famille s'invite à manger, mais aujourd'hui, c'est plus spécial encore. 

Halloween cette année, a été un peu rude. Beaucoup de clients de mes parents ont disparu. Seulement des pistaches comme seul indice. La police dénonce directement les Cavaliers Rouges. Ce n'est qu'une connerie de plus, pour faire peur aux Américains.

─ Hope ! braille ma cousine, en passant la porte d'entrée.

Je me lève en souriant, pour l'inviter à s'installer dans la salle à manger. Mon copain la suit de près, ce qui me fait froncer les sourcils. Maria me passe son écharpe et son manteau, et vint s'installer à côté de ses parents, déjà présent avant elle. Je soupire, et ouvre le dressing pour accrocher ses vêtements. 

Jason reste derrière moi, se déshabillant lui aussi lentement, en silence.

─ Pourquoi vous êtes venu ensemble ? Lui demandais-je, en accrochant son manteau.

─ J'étais en voiture quand je l'ai croisé. On se rend dans la même maison, ça semblerait bizarre si je la laissais se débrouiller sur le bord de la route dans le froid.

Je ne dis rien, et lève les yeux au ciel, ce qui le fait se marrer. Il me retourne, pour m'enlacer de derrière. Sa bouche ne cesse d'embrasser mon cou, jusqu'à ce que je ricane à mon tour. Sa chaleur corporelle emporte la mienne dans un autre monde. Ses cheveux blonds me chatouillent les tempes, et ses doigts agrippent fortement mes hanches, pour rapprocher mes fesses de son sexe dur, sous son jean.