Princesse Haitani [Haitani sister reader]

14. 𝗡𝗼𝗲̈𝗹

Ran - C'est enfin noël princesse ~

Enfin c'est noël.

Pas totalement on est la veille mais ça passe aussi.

Ran - On va préparer le salon pour ce soir nous.

Rin - Profite de ta dernière journée de liberté.

-Gngngn...

Ils sortent de la chambre et me laisse seul.

Je me lève pour regagner ma chambre et mettre des habits un peu plus jolis étant donné que ce soir je vois Manjirou.

Mes vêtements en mains je me dirige vers la douche.

Une fois celle ci fini j'enfile mon collant noir  d'hivers, une robe à manche longue qui m'arrive mi cuisse, rouge.

Pour mes cheveux je les laisses lâchés normalement avec simplement mes mèches de devant attachés par une petite pince volée à Ran.

La petite touche de fin, c'est le petit collier en perle blanche offert par mes frères.

Je quitte ensuite la salle de bain pour rentrer dans le salon.

Ran - C'est quoi cette belle tenue ?

Rin - Tu vas ou au juste ?

-Toujours trop de question.

Ran - Moi j'aime beaucoup cette tenue.

-Vous avez de l'argent à me donner ?

Rin - Encore ?

Ran - Elle va nous ruiner.

-Faite pas chier et donner les sous.

Ran - Combien ?

-Je sais pas moi comme tu veux.

Il sors de sa poche une liasse qu'il regarde à peine.

Il me l'a tend ensuite et je la récupère.

Rin - Oublie pas ça.

Rindou m'apporte mon sac à main noir que je prend en main.

Je met la liasse à l'intérieur, j'embrasse mes frères et enfile un manteau de fourrure noir ainsi que des gants.

Puis, je quitte l'appartement malgré leur désaccord avec cette sortie.

Je vais aller leur acheter des cadeaux quand même.

À eux et Izana ainsi que Kakucho. Ils sont tout le temps à la maison je peux quand même leur acheter un petit cadeau.

Je rentre dans divers magasins où je commande les cadeaux qui seront livrés demain chez moi.

Pour mes frères je prend quand même deux petit cadeau que je prend à la main puisque le magasin ne livre pas pour noël.

La nuit commençait à tomber, ce qui annonçait que Manjirou devait bientôt arriver.

Je regarde vite faite mon téléphone qui affichait déjà, dix neuf heures.

Manjirou doit arriver dans trente minutes normalement.

Je marchais au bord de la route en observant les magasins magnifiquement décorés.

Quand une moto s'arrête à côté de moi en me sifflant.

Je me tourne vers le concerné qui venait de signer son arrêt de mort.

Personne d'autre, que Kakucho.