42. Mon Roi

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Ran - Raison de plus pour pas que vous dormiez ensemble tu crois pas ?

Izana - Dans t'es rêves.

Rin - Eh Ran.

Ran - QUOI ?!

Rin - Vient on va faire un tour de moto.

Ran - Tu veux les laisser ken tranquille ?!

Rin - Aller vient.

Il prend Ran part le bras l'obligeant à partir.

-Je t'aime Rindou ~

Izana - Eh... et moi ?
Demande t'il sur un ton de voix triste.

-Mais toi aussi je t'aime ~

Ran - QUOI ?!!!

Rin - Putain Ran c'est normal...

Ran - JE SAVAIS QUE J'AURAI DU L'ENFERMER DANS LA CAVE DES SA NAISSANCE.

Rin - C'est pas ta fille..

Ran - Qu'est ce que t'en sais d'abord ?!!

Izana - Compliqué cette histoire.

La porte d'entrée claque ensuite laissant un long silence.

Izana et moi nous regardons donc.

Izana - Maintenant je vais pouvoir me faire plaisir ~

-Rêve pas trop mon chou.

Izana - Pourquoi tu te mens à toi même ?

-Je me mens pas.

Izana - Pourquoi tu portes des vêtements ?

-Pour dormir ?

Izana - Qui a dit qu'on allait dormir.

-Moi ?

Izana - T'as envie de dormir ?

Je reste un moment sans répondre avant de me relever sur mon coude pour le regarder, lui qui est allongé ses mains sous sa tête.

-Non.

Izana - Alors met toi à l'aise ~

Je souris simplement, me redresse dans le lit pour enlever mon teeshirts par le haut.

Quand je tourne ma tête vers lui, je constate qu'il ne manque pas une miette du spectacle, il bouffe du regard chaque recoin de mon corps dénudé.

Son regard insistant et désireux sur moi me font légèrement rougir en m'offrant une mini bouffée de chaleur.

Il se redresse à son tour en enlaçant ses bras autour de mon ventre, sa tête se dépose sur mon épaule de sorte à ce que je sente parfaitement son souffle chaud au creux de mon cou.

Son petit souffle chaud sur ma peau, m'offre à chaque instant un frisson qui traverse l'entièreté de mon dos, avant de revenir dans mon ventre pour laisser s'échapper des papillons.

Mes joues ne perdent pas leur rougeurs, et la chaleur de mon corps refuse de baisser. La tension présente entre lui et moi également ne veut diminuer.

La faible lumière qu'offrent les lampadaires extérieurs éclairent brièvement la pièce ne nous plongeant pas totalement dans l'obscurité.

Ses douces mains sur mon ventre augmente la sensation des papillons sur celui ci, ce qui fait accélérer ma respiration.

Princesse Haitani [Haitani sister reader]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant