16. 2006 = Malheur

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Bizarrement, il pose simplement ses mains sur ma taille pour mieux m'embrasser.

Il sent tellement bon..

Il sent une fleure mais je ne serais dire laquelle.

Quand nos lèvres se quittent il me regarde intensément avec un regard interrogateur.

Koko - Tu veux que je me fasse tuer par t'es frères ?

-Non... désolée.. j'ai... paniqué..

Koko - Paniqué pour quoi ?

-Parce que il était là..

Il tourne alors sa tête.

Koko - Mikey est partit déjà.

Je relève ma tête soudainement surprise.

-Comment tu sais ?

Koko - Tu sais je parles avec t'es frères.

-Pas faux.. on va acheter ma robe alors ?

Koko - Ouais vient.

On rentre dans un magasin de luxe, le type de magasin où habituellement je ne pourrais pas rentrer.

Tout simplement parce que de un j'ai pas les sous et de deux il faut être un client habitué.

Ça veut dire que Koko est un client habitué. Intéressant..

Une fois à l'intérieur des femmes viennes me kidnapper de Koko.

Sous prétexte qu'elles vont m'habiller.

Je l'ai connais les vicieuses là..

Kokonoi leur dit de m'apporter une belle robe blanche.

Elle était juste sublime.

Elle m'arrivais mi cuisse et laisser mes épaules à découvert.

Beaucoup trop fan de cette robe qui coûte la peau du cul.

Au moment de payer, il sort une carte bancaire entièrement noir, avec simplement les chiffres en rouge.

Elle est très styler.

Quand nous sortons du magasin je pique discrètement sa carte.

Koko - Rend moi ça c'est pas pour les enfants.

-Je rêve, tu me compares à une gamine là ?

Koko - Oui ?

-Bah non.. pourquoi elle est comme ça ? Et pourquoi la dernière fois t'avais pas la même ?

Koko - T'es de la police ?

-Peut être bien.

Koko - Parce que, ça c'est la carte du Tenjiku.

-Oh donc c'est le Tenjiku qui m'a payé ma robe.

Koko - J'allais pas utiliser mon argent perso..

-Gros rat va..

Koko - N'importe quoi.

Nous rentrons ensuite à l'appartement où tous était entrain de rien faire.

Et ouais.

Tout le monde s'attendaient à ce que je dise qu'ils sont entrain de ranger ou de préparer.

Non rien du tout.

Ils en branlent pas une.

-On est rentrés les branlos.

Princesse Haitani [Haitani sister reader]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant