Together until death ᵗʷᵈ

𝘾𝙝𝙖𝙥𝙞𝙩𝙧𝙚 15. Préparation

𝗖𝗵𝗮𝗽𝗶𝘁𝗿𝗲 𝗾𝘂𝗶𝗻𝘇𝗲, préparation
[saison trois, épisode treize]

Rick était parti avec Daryl et Hershel afin de rencontrer le gouverneur dans un lieu isolé et pouvoir lui parler. Arsène aurait aimé pouvoir les accompagner mais le leader avait dit que c'était mieux de garder des combattants à la prison, au cas où une nouvelle attaque aurait lieu. Alors le jeune homme était resté avec les autres et avait prit des tours de garde. Lui, Glenn, Maggie et Michonne alternait régulièrement. De temps à autre, Carol et Carl venait aussi surveiller. Beth, elle, gardait Judith, comme à son habitude.

Ceux qui n'étaient pas en train de surveillait, aidait à vider les sacs d'armes ramené par Rick la veille. Il y avait de toute sorte. Des fusils, des pistolet, des armes blanches, des armes bien plus puissantes que celles qu'ils avaient avant. Ils étaient prêt à contre-attaquer la prochaine fois que le gouverneur et ses hommes décideraient de débarquer à la prison. Ils répartissaient également les munitions un peu partout de sorte à pouvoir recharger en cas de problème, peu importe où ils se retrouvaient bloquer.

-Ce qu'on devrait plutôt faire, lança Merle au moment où Carl, Beth et Glenn se dirigeait vers la sortie, c'est charger tout ce matos dans un camion et aller rendre une petite visite au gouverneur. On sait où il est, profitons-en.
-Tu veux qu'on entre et qu'on le butte, c'est ça ? Questionna l'Asiatique.
-Ouais, c'est ça.
-On a dit à Rick et Daryl qu'on bougerait pas d'ici. Lui rappela Michonne.
-On va pas aller casser la gueule du gouverneur comme ça. On aura tous ses hommes sur le dos après. Soupira Arsène.
-Ouais et alors ? Rester sur le banc de touche alors que mon frangin risque sa vie, c'est pas le genre de la maison.

Arsène détestait Merle. A chaque fois que ce type ouvrait la bouche, c'était pour les souler, changer les plans, ou insulter quelqu'un. Il se demandait comment ils avaient pu le supporter dans leur premier camp pendant des semaines. Ça faisait seulement quelques jours qu'il était là et il énervait déjà tout le monde.

-Il y a trois hommes à nous là-bas. Si on déboule sans prévenir, ils pourraient être prit en otage ou exécuté. Réfléchit Glenn. Ça a trop de chance de foiré.
-Ça foirera de toute façon.
-Mon père peut très bien se débrouiller tout seul. Dit calmement Carl.
-Désolé gamin mais la tête de ton père pourrait se retrouver au bout d'une pique dans quelques heures.

Le garçon monta les marches menant à la porte sans même lancer un regard an arrière après avoir entendu ces mots.

-Lui dit pas des trucs comme ça. Reprocha Maggie.
-C'est pas sympa, c'est qu'un gosse. Ajouta Arsène.

Merle fit un signe de la main, comme pour s'excuser. Le Cooper alla attraper une boîte de munitions et la confia a sa petite sœur pour qu'elle suive Beth et aille les mettre dehors.