Arsène était un jeune policier de 23 ans menant une vie tranquille proche d'Atlanta. Il était destiné à cette vie pour le restant de ses jours mais c'était sans compter sur ce qui allait arriver.
Un beau jour, les morts se sont relevés, et ce jour-l...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
𝗖𝗵𝗮𝗽𝗶𝘁𝗿𝗲 𝗾𝘂𝗮𝘁𝗿𝗲-𝘃𝗶𝗻𝗴𝘁-𝘀𝗶𝘅, la dépression [saison neuf, épisode quatre]
Les Sauveurs étaient partis. C'était fini. Arsène n'était pas revenu au camp le lendemain de tout ça. Il était resté au lit.
La mort de Tobin lui avait mit un sacré coup au moral. Lui qui se relevait à peine de la perte de Charlie, il n'était pas prêt à encaisser ça. Pourtant, ce qui était fait était fait. Tobin était mort. Son plus vieil ami était mort.
Il n'avait pas dormi de la nuit. Rosita s'était levé pour prendre son petit déjeuné avant même qu'il ne réussissent à fermer l'œil. Et quand enfin il l'avait fait, il avait refait un cauchemar.
C'est en auraient et en se débattant qu'il avait ouvert les yeux. Immédiatement, Rosita s'était précipité dans la chambre pour essayer de la calmer. Elle avait mit ses deux mains sur ses joues pour essayer de lui rappeler où il était.
-Tout va bien, Arsène. Respire. T'es à la maison.
En regardant partout autour de lui, il prit conscience de son environnement et se calma malgré sa respiration encore trop rapide.
-Tout va bien, murmura Rosita. Tout va bien.
Il secoua la tête alors qu'un larme coulait le long de sa joue et qu'il reprenait sa respiration. Rosita lâcha enfin son visage et prit sa main entre les deux siennes.
-Je suis là.
Elle aimerait pouvoir faire plus mais elle faisait déjà son maximum et elle savait que les cauchemars et les terreurs nocturnes allaient mettre du temps à disparaitre. Enfin, s'ils disparaissaient un jour.
-Je vais pas y arriver, souffla Arsène.
Comme à chaque fois, quand le réveil était vraiment violent, il avait l'impression de ne plus y arriver, de se noyer. Et encore, ça s'était calmé.
-Bien sûr que si, arrête de penser le contraire. Tu vas y arriver, tu t'en sors déjà très bien.
Il acquiesça doucement et elle déposa un baiser sur son front. Cam était à la porte de leur chambre. La jeune femme lui fit signe de les rejoindre. Alors l'enfant grimpa sur lit et se glissa entre eux. Arsène ferma les yeux en se réconfortant de la présence de sa petite amie et de cette petite qu'il considérait comme son enfant.
***
-Tu sens aptes à m'accompagner voir Siddiq ? Demanda Rosita à Arsène en fin de matinée.
![𝗖𝗵𝗮𝗽𝗶𝘁𝗿𝗲 𝗾𝘂𝗮𝘁𝗿𝗲-𝘃𝗶𝗻𝗴𝘁-𝘀𝗶𝘅, la dépression[saison neuf, épisode quatre]](https://img.wattpad.com/dc7a6239802757aed2dc4360758bc1576a096937/68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f68536e3865697753594b79565f413d3d2d313433333531313834372e313763326333643635623537333630643934323238333339333939372e676966?s=fit&w=720&h=720)
