Chapitre 4

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A présent j'étais seule sur le toit, à l'exception de la policière qui guettait encore et toujours mes fait et gestes. Tessa était partie, probablement pour chercher de quoi me retenir, la chose qu'il fallait que je vois n'était toujours pas là et je commençais vraiment avoir froid. Je ne porte qu'un jean et une chemise, je n'avais pas prise mes chaussures car j'aime me baladais pieds nus mais je commençais à le regretter. Et puis une chemise n'est pas une chose adéquat pour les hivers New-yorkais.


_Pourquoi tu veux sauter? me lança la policière.

_J'ai accomplie tout ce que javais accomplir, j'ai vécue le bonheur intense et la plus grande des dépressions, j'ai vue des choses extraordinaires. J'ai vécue, plus que je ne vivrais encore, alors s'il vous plais laisser moi partir en paix, lui répondis je.

_Ce n'est pas une raison, tu a vécue et tu vivre encore plus que tu ne pense, croie moi, me dit t elle d'une voix douce et calme.


Bien sûr que ce n'était pas la seule raison. J'allais pas lui balançais tout mes soucis à la gueule, elle me dévisagerais en ce disant «Pauvre petite fille de riche».


_Vous mentez je le sais, lui dis je. Pourquoi vous occupez vous de moi? Parce que c'est votre travail et votre mission n'est pas complète si je saute, repris je après un moment.

_C'est vrai, tu a raison, mais si je ne suis pas concernée par le fait que tu saute Tessa l'est, tes parents, commença t elle.

_Ma mère, la coupais je.


J'aimais bien Mr Chatel mais pour l'instant je veux paraître plus détachée encore que je le suis.


_Ta famille, reprit elle avant que je ne la recoupe.

_La quelle?? lui demandais je.


Je m'attendais à ce quelle me sorte une de ces conneries qui pourraient très sorties d'un livre comme «Ta famille qui t'aime» ou encore «Ta famille, celle qui te porte dans leur cœurs», j'étais donc prête à répondre que la seule famille qui comptait c'est la 1Dfamily. Je sais c'est dégelasse pour ma famille de sang mais je me sentais mieux avec la celle-ci.


_Celle que tu veux, celle que tu t'invente, celle que tu aime, celle que tu déteste. Ce n'est pas important, la seule chose qui importe c'est que tu compte pour les autres, tu compte pour le monde, fini t elle par dire.

_Ouah je pense que c'est probablement la chose la plus pertinente que j'aurais aimais entendre avant de mourir. Et si vous voulez savoir ma famille je ne l'ai pas inventée, elle n'est pas parfaite mais je l'aime comme elle m'aime. Ma famille est plus grande que vous ne pourriez jamais être, répondis je.


Ridicule mais pas inutile, elle se tue. Je me risque à regarder ce qui ce passe en bas du bâtiment, des policiers et des pompiers s'activent. Un espace de sécurité se crée et ils commence à déplié quelque chose qui ressemble à un grand drap.


_Que font ils ? criais je à la policière.

_Ils mettent tout en place pour te sauver, me répondit elle.

_Dite leurs d'arrêter ou je saute ! criais je nerver.

_Non, me dit elle droit dans les yeux.

_Je veux en finir !! respecter ça, lui criais je.

My last smileOù les histoires vivent. Découvrez maintenant