Chapitre 15

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Je me suis réveillée dans mon lit, à une heure très matinale. Pas de Niall à mes côtés, mais tout ces souvenirs encore frais dans ma mémoire. Ce dîner avait était trop class et sophistiquer pour moi,j'avais les pieds en feu grâce à mes haut talons. Et Niall semblait ne plus vouloir m'adresser un sourire ou même un regard. Je l'observait plonger dans une discussion sérieuse avec le petit ami de ma sœur, Nathan. Leur sujet si «sérieux» portait sur le sport, j'ai pu entendre plusieurs débats: Quel est le meilleur sport? Et leplus coûteux? Celui le plus fatigant... Niall répondait souvent par«le foot» ou «le golf», au contraire Nathan bloquer sur «le polo». Je n'y connais rien en sport, j aime bien en faire (dés-fois)mais je ne pourrais pas citée leurs meilleurs joueurs ou je ne sais quoi d'autre...

Nathann'a pas pris longtemps a s'intégrés, ma sœur aurait pu trouverpire avec la capacité quelle a de ne pas voir le mal. Mais il al'air bien. Mon dieu, elle a trouver quelqu'un de bien! De normal!Pas un bourge, pas un délinquant, pas un idiot! Cela me rappelle queje suis toujours seule, les baisers avec Niall de compte pas... Nousne sommes pas ensemble, nous ne sommes peut être même pas des amis.


Nousnous dirigeons vers le notaire, en taxi j'ai appelais moi-même pourm'assurée qu'une limousine ne vienne pas nous chercher. Niall àpréféré rester à la maison, sous prétexte que nous devions êtreseule pour ce rendez-vous très personnel je pense qu'il ne voulaisjuste pas me voir... Du coup je suis seule dans le taxi avec Lena.

Unvieux notaire nous accueillais dans son grand bureau. Les mursétaient recouvert de tapisseries ancienne, et le sol de vieux tapis.Le mobiliers imposant, en bois, n'arrangeait rien au côté«étouffant» de la pièce. Le vieux commença à déblatérait desmots, comme s'il les avait appris par cœur. Il nous fit signées despapiers, et nous ouvrîmes une lettre.

_Bien,commença-t-il, votre mère et son futur époux ont mis leurs biensen commun... « A Léna, ma cadette, nous léguons la moitié denotre argent, qu'une part dans l'entreprise de Mr. Chatel, ainsi quedes bien immobiliers: une maison en France, un appartement en Espagneet une villa en Floride. Nous léguons également la totalité desvéhicules (voitures, avions...) qui sont aujourd'hui sur leterritoire Français. Ainsi que les bijoux de madame (sauf part deAlysson). AAlysson, mon aînée, nous léguons la deuxième moitié de notreargent, une part dans l'entreprise de Mr. Chatel, ainsi que des biensimmobiliers: dont un appartement en France, un appartement à NewYork, un autre en Californie et un autre en Angleterre. Nous léguonségalement la totalité des véhicules (voitures, avions...) qui sontaujourd'hui sur le territoire Américain. Ainsi que le club sportifde monsieur et la bague en émeraude de madame.» cita-t-il.

Unelarme a coulée sur la joue de ma sœur. J'ai omis de dire que jesuis droguée: antidouleurs. J'en avait pris 5 avant de partir, depeur d'éclater en sanglots devant le vieux et ma sœur. «Antidouleurpour l'âme». Du coup c'est sans une larme que j'ai quitter lebureau du notaire. Passant pour un monstre au cœur de pierre.


My last smileOù les histoires vivent. Découvrez maintenant