Chapitre 14

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A notre arrivée à Paris des dizaines de fans nous on déboulée dessus.Mais le pire c'est qu'il devait y avoir autant de paparazzis que defans. Des flashs et des cris, c'est tout ce que je perçois, mes senssont tous troublés. Je regarde vers le sol, comme nous l'avait ordonné le garde du corps qu'on a fait venir la dernière minute. Je me cramponne à Niall, quand je me fait happée par le bras d'une fan ( jepense qu'elle aurait préférer attraper Niall ). Je ne vois plus que desbras s'agitant autour de moi. Je manque d'air. On m'écrase pourapprocher le célèbre Niall Horan. J'ai tout juste eu le temps d'appeler à  l'aide quant je me suis évanouie. Me réveillant dans les bras deNiall, il me porte de la façon la plus romantique possible. Le seulproblème, la seule tache sur ce beau tableau, est le liquide dégoulinantdu haut de mon crane. Je le sent ce glisser dans mes cheveux, j'ai eula bonne idée d'y portée ma main, résultat: elle m'en revenuecomplètement rouge, ensanglantée. La France, qu'elle bonne idée pour cereposer!

Jeme suis réveillais dans mon lit, en France. Presque instantanément après que j'ai ouvert les yeux, Niall est rentrer dans ma chambre. Il meregarda avec satisfaction avant d'ajouter que j'avais meilleur mine.

_Qu'est ce quic'est passé? demandais je encore vaporeuse.

_T'aperdue connaissance l'aéroport  une fan t'a administrée les premierssecourt alors que je te chercher encore... Je te passe les détails,mais on t'a recousue la tête -regarde pas ils ont du te rase un peude cheveux.

_Quoi?!Criais je.

Cetteannonce, aussi superficielle qu'elle est, fait échos en moi. Je suisendeuiller de ma magnifique crinière. Il continua sans même réagir,

_Et tu as le bras dans le plâtre pour 3 mois, finit il.

_Je suis rester endormie combien de temps, au juste?

_Pas plus de 12 heures, l'anesthésie a plutôt bien fonctionnait. 

Le seul mot qui le caractérisais alors est sadique, et connard aussi. 

J'aifinie par me rendormir, et mon réveil Luna et son légendaire sourirerouge ''Brooklyn'' ( selon elle le meilleur rouge de tout les temps,suis je la seule trouver tout les rouge pareil? ). Elle me tenditune robe et me pressa de la revêtir.

_Onva au restaurant ce soir, commença-t-elle avec un large sourire. Dépêche toi!

_Pourquoi?demandais je.

_Pourquoi?!Pourquoi! J'en pose des questions moi? Puis pourquoi Niall Horan -quia vu tout les posters de lui sur les murs de ta chambre, mais c'est apeine glauque et si tu veux mon avis t'a plus aucune chance- est dansnotre salon?

_Lena,dis je d'une voix lasse. Tu viens de me poser une question, et jevais y répondre puisque je suppose que je n'est pas le choix.

Elleapprouva mes paroles avec un hochement de tête et un grand sourire, légèrement effrayant.

J'euun petit moment d'hésitation, trouver une explication ce célèbre intrusn'est pas si facile. J'ai finalement racontée qu'on était devenus amispendant une soirée, qu'il avait prévus de partir en France aujourd'huiet que le hasard étant magnifique nous nous sommes retrouver sur lemême vol. Et elle y a crue, elle à quitter ma chambre avec un souriresatisfait. La logique de ma soeur ne c'est donc pas arrangée durant monabsence. J'aurais eu des dizaines de questions à lui posée si j'aurais étais a ça place, mais je ne vais pas me plaindre. Après tout ça me profitebien!

J'aienfilée l'horreur qu'elle m'avais apportée, je sais même pas pourquoi. Cetterobe est d'une laideur affligeante, d'un rose vomir surcharge defroufrou en tout genre. Je me suis regarder longuement dans lemiroir, avant de descendre trouver Niall -toujours accoutrée comme unclown.

_Niall,criais je le plus bas possible.

Ilse retourna vers moi et vint me rejoindre. Quant il me vittotalement, dans ce déguisement rose, il éclata de rire.

_Pourquoi ça m'étonnepas que tu ri.

_Out'a trouvée ce truc? demanda t-il toujours pas remis de son fou-rire.

_C'estLéna... Aide moi.

Quelquesminutes plus tard j'étais dans un taxi, en compagnie de Niall, medirigeant vers un grand magasin -dans mon célèbre bas de jogging.

Onest rentrés 45 minutes plus tard, des sacs pleins les bras. On a toutjuste eu le temps de nous habillés et de nous coiffés ( pas demaquillage pour moi, ma main droite est dans le plâtre et h-o-r-s d-eq-u-e-s-t-i-o-n de demander Léna ).

Niallme tenait la main dans l'immense Porschnoire, aux vitres teintes, qui nous sert de véhicule. Je suppose quema soeur va dépensée tout son argent de la même façon: avec idiotie etfrénésie. Je ne suis pas innocente non plus, le mien, si Tessa et sesplants foireux n'existaient pas, serait parti dans de la drogue ou del'alcool. Jusqu'à l'excès,jusqu'à la mort. Je me dis aussi quelque part que l'argent dutestament va beaucoup m'aidais. Du coup je suis perdue, je ne saispas qu'est que je vais faire de tout ça.

Niallce pencha vers moi quant Lena sortie de la ''voiture''.

_Tuest magnifique, me dit il.

_Tusais que je me trouve très laide comme ça, arrête de dire des trucscomme ça.

_Toutefaçon tu te trouve toujours moche.

Jen'étais en rien belle avec mes cheveux décolorés, quant vous devenezblonde platine du jour au lendemain les gens vous voit comme unepetite idiote, ou pire une fille facile. J'ai pas de mal à m'occuperde mes cheveux, je suis coiffeuse. Mais ils ne sont jamais comme jele veux, toujours un épis, une boucle qui dépasse... J'ai beaucoup demal bien me maquillée, conclusion au lieu de me battre avec tout cesoutils étrange je met vite du liner ou du crayon et du mascara, quantje pense à me maquiller. On va passer pour mon style vestimentaireinexistant, je sais pas si il y a un mot pour ça. Quant on change destyle sans problème, comme un caméléon. Je met de tout, tout ce qui meplais ça va du grunge au bohème. Je suis étrange, je sais. Tout ça pourdire que je ne suis ni belle, ni exceptionnelle. A part si vous êtes branchés monstre.

Il détourna son regard de moi et sorti de la voiture.





My last smileOù les histoires vivent. Découvrez maintenant