One shot _ kuroko no basket

Aomine Daiki

Faites genre que Aomine a un petit frère mdr

(p/a) = prénom meilleur ami
(n/f) = nom fille
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J'ai un problème. Je suis la pire meilleure amie du monde. Depuis quelques temps, je suis attirée par le grand frère de mon meilleur ami (p/a). Je connais les Aomine depuis que je suis bébé. Donc j'ai toujours connu Daiki et (p/a). Au début, tout allait bien. Mais depuis que j'ai environ 14 ans, Daiki me rend toute chose. Pourquoi ? Je n'en sais rien du tout. Il n'y a pas eu d'événement qui a fait que j'ai craqué. Juste une fois où il a fait une blague sur moi et j'ai été beaucoup plus touchée que ce que j'étais avant. Au début, je me suis dit que c'était juste parce que j'étais de bonne humeur mais maintenant, ça ne sert à rien de le cacher. Juste entendre son nom me fait sourire. L'avoir dans la même pièce que moi me fait avoir le cœur qui bat la chamade.

Lorsque je me suis rendue compte de mes sentiments, je l'ai tout de suite dit à (p/a). Je lui devais au moins ça. Il l'a mieux pris que ce que je pensais. La seule réaction a été un sourire mutin ainsi que un ou deux avertissements sur le fait que j'allais probablement en souffrir. Rien que je ne sais déjà en somme. Il a été super compréhensif même s'il n'approuve pas forcément mes sentiments.

(p/a) : - Oi (t/p) ! T'es partie loin là.

(t/p) : - Désolée (p/a)... Tu disais ?

(p/a) : - Qu'est-ce que je vais faire de toi (t/p)... Je te demandais si tu voulais venir chez moi ce week-end pour un aprèm piscine.

Cette idée me réjouit au plus au point.

(t/p) : - Bien sûr que je viens !

(p/a) me sourit puis nous retournons à nos place pour la suite des cours.

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Je suis chez mon meilleur ami et il me noie depuis tout à l'heure dans la piscine. Je n'en peux plus. On se bat sans relâche depuis tout à l'heure mais je n'arrive pas à prendre le dessus. Après une énième noyade, je m'écarte de (p/a) pour me rapprocher du bord et tousser. Alors que je peine à reprendre ma respiration, deux bras puissants me soulèvent par les aisselles et me sortent de la piscine. Je relève la tête et vois un regard bleu nuit et un sourire insolent. Je rougis immédiatement sans m'en rendre compte. Daiki fini par détourner le regard de mon visage et se tourne vers son frère.

Daiki : - Oi (p/a) ! Évite de tuer mon chaton, ce serait cool !

(p/a) grogne pendant que je lui lance un regard accusateur. Puis je me rends compte que Daiki ne m'a toujours pas lâché. Ses mains se sont baissées et sont désormais sur ma taille.

(t/p) : - Daiki, tu peux me lâcher maintenant hein...

Il baisse le regard vers moi et me lâche comme s'il venait de se brûler. Son visage se tend de nouveau et il reprend son expression d'abruti arrogant.

Daiki : - Y'a (n/f) avec moi donc venez pas nous faire chier.

Et il repart comme il est arrivé. Sa phrase m'a mis un petit coup au cœur mais je suis habituée depuis. Daiki n'est pas vraiment connu pour son abstinence. (p/a) me lance un regard désolé et me demande si ça va. Je hoche la tête et repart dans l'eau.

Après une bonne demi-heure de jeu dans l'eau, je sors de l'eau et préviens (p/a) que je vais boire. Je me dirige donc vers la cuisine et tombe sur Daiki en train d'embrasser sauvagement (n/f). Je comptais les ignorer mais quand le regard de Daiki croise le mien, je n'arrive plus à bouger et retiens ma respiration. Ses yeux finissent par quitter les miens, et descendent vers mes lèvres sur lesquelles il fait une fixette puis descendent encore vers ma poitrine qu'il regarde intensément. Je ne comprends pas vraiment pourquoi il reste bloqué dessus, puis me rappelle que je suis avec un bikini, qui met en valeur mon décolleté en plus. L'insistance de son regard me met rapidement mal à l'aise et je tente de cacher mes seins avec mes bras. Suite à mon geste, je vois Daiki lâcher un ricanement étouffé par les lèvres de (n/f). Ses yeux reviennent se planter sur mes lèvres et au fur et à mesure qu'il les regarde, il intensifie le baiser qu'il donne. Je ne sais plus où me mettre. Je finis par détourner le regard et pars vers le robinet pour me prendre un verre d'eau. J'entends un grognement de la part de Daiki lorsque j'arrache mes lèvres de sa contemplation, ce qui me fait vaguement sourire. Après tout, il a beau grogner, ce n'est pas ma langue qui est en train d'explorer les amygdales de quelqu'un d'autre.

Tout à coup j'entends un bruit sourd.

(n/f) : - Hé !

Puis des mains me prennent par les hanches et me retournent. Une bouche se pose sur la mienne. Je peine à réaliser ce qu'il m'arrive. Il m'embrasse ! Daiki m'embrasse ! Ses mains se font plus insistantes et sa langue pénètre la barrière de mes lèvres.Soudainement, il s'écarte de moi comme s'il était tiré en arrière. Non en fait c'est le cas. (n/f) vient de le choper par son t-shirt pour l'écarter de moi.

(n/f) : - Non mais ça va pas ? Il t'arrive quoi la ? D'où tu me laisse tomber pour ce boudin ? Mais ça va pas !

Daiki n'a pas le temps de répondre que (p/a) arrive et la sort de la maison, tout en lui expliquant son point de vue. J'ai à la fois envie de rire face aux critiques de (p/a) et à la fois envie de disparaître sous le regard indéchiffrable de Daiki. Enfin si je déchiffre quelque chose. Du regret. Et je refuse de voir du regret après ça. J'allais ouvrir la bouche quand il me devance.

Daiki : - Oublie j'aurai jamais dû faire ça.

Et il s'en va. Genre il va me laisser en plan ? Alors là, il en est hors de question.

(t/p) : - Tu te prends pour qui ? T'as cru que tu pouvais embrasser comme ça et te barrer après sans explications ? T'as fumé quoi là, parce que ça devait être de la bonne ! Il est hors de question que tu t'en tires comme ça, comme si de rien n'était !

Je reprends mon souffle et reprends.

(t/p) : - Tu es très bien au courant que tu m'attires ! Alors à part si t'es un connard fini, t'as intérêt à me donner une raison à ce geste ! Je veux savoir !

Je vois le visage de Daiki passer par plein d'émotions. Je ne savais même pas que sa tête pouvait faire autant d'expressions différentes.

Daiki : - Tu m'aimes (t/p) ?

(t/p) : - Bien sur que oui ! C'était évident Daiki. Ne me fais pas croire que tu ne l'avais pas capté.

Daiki : - J'étais pas au courant chaton.

Mon cœur se réchauffe comme à chaque fois qu'il m'appelle comme ça. Il s'approche lentement de moi d'un air incertain, puis me prends dans ses bras. Toute la tension en moi descend. Je me love encore mieux dans ses bras et relève la tête lorsqu'il prend la parole.

Daiki : - Moi aussi chaton. Moi aussi.

Puis, ses lèvres se posent délicatement sur les miennes, sous le regard rassuré de (p/a), qui s'éclipse rapidement pour nous laisser de l'intimité.