One shot _ kuroko no basket

Aomine Daiki

Coucou, dans cet os, Aomine a une soeur plus jeune de 2 ans.
Bonne lecture !
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Ça fait presque 3 ans que je connais les Aomine. La fille, (m/a) est ma meilleure amie depuis qu'on s'est rencontrées en troisième après mon déménagement dans le coin. Le feeling est tout de suite passé avec elle, puis avec sa famille que j'ai rencontré seulement quelques semaines après. Et c'est là que j'ai rencontré son frère. Daiki Aomine.

Qui ne le connaît pas de toute façon. Ce beau jeune homme, à la peau basané et aux yeux bleus nuit. Sa mâchoire carré et son nez droit. Ses pommettes hautes et ses lèvres charnues. Oh oui ses lèvres. Je fantasme sur lui depuis que je l'ai vu pour la première fois.

Je l'ai directement dit à (m/a) car je ne voulais pas qu'un secret empiète sur notre amitié et, contre toute attente, elle m'a limite donnée sa bénédiction, tout en me prévenant que son frère était un idiot. Elle s'est improvisée coach love depuis. Heureusement pour moi, elle est souvent plus occupée par ses propres histoires de cœur chaotiques plutôt que par les miennes. Me voilà donc dans sa chambre pour une énième soirée pyjama car elle vient de se faire tromper par une de ses nombreuses copines. Oui oui, c'est l'hôpital qui se fout de la charité. Mais bon.

Nous étions donc en train de regarder un film lorsque je remarque que mon amie est endormie et ronfle à côté de moi. Je souffle d'amusement. Je finis le film en profitant du fait qu'elle dorme pour ne plus avoir un commentaire sur tel ou tel acteur toutes les deux minutes. Cependant, après avoir traîné sur tiktok, je m'ennuie vite. Je n'ai pas sommeil et je sens que (m/a) n'est pas prête de se réveiller.

Je décide donc d'aller rejoindre Daiki dans sa chambre, en espérant qu'il arrivera à me distraire. Je sors de la chambre de la cadette de la famille sur la pointe des pieds et vais à l'autre bout du couloir, jusqu'à la porte de Daiki. Lorsque je pénètre dans sa chambre, je remarque qu'il joue à la Play. Je remarque directement qu'il est plutôt tendu, ce qui signifie que le niveau dans son jeu est plutôt élevé. Pour ne pas le déranger, je m'approche doucement de lui, sans faire de bruit. Je m'assoie sur sa chaise de bureau et le regarde jouer pendant quelques minutes, jusqu'à ce qu'il gagne. Une fois sa partie finie, je m'approche de lui et il remarque ma présence.

Aomine : - Tiens (t/p) ? Je savais pas que tu étais là. Elle s'est endormie ?

Je ricane en effectuant un mouvement de haut en bas avec ma tête. Il soupire d'amusement. Alors qu'il allait reprendre la parole, un de ses amis l'appelle à travers son casque. Il m'envoie un regard désolé et se retourne pour jouer. Je le regarde quelques secondes mais je m'ennuie vite. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai tout d'un coup une poussée de confiance qui arrive. Je me lève alors et me place debout, juste à côté de lui. Puis, je lève un de ses bras et prends place sur ses genoux, sous son regard perdu. Mes bras encerclent paresseusement son cou et mon visage se cale près de sa clavicule.

Je le sens se tendre sous la surprise, puis ses muscles se détendent tous à nouveau et il continue sa partie comme si de rien n'était. Mes mains remontent doucement le long de sa nuque et se nichent dans ses cheveux. J'entame alors un mouvement de rotation avec mes doigts et je l'entends pousser un son qui ressemble à un ronronnement. Je souris contre son épaule. Je profite de ce moment pour m'imprégner de son odeur et imprimer notre position dans ma tête afin de ne jamais l'oublier. Quelques minutes plus tard, je le sens bouger sous moi. J'ouvre les yeux et remarque qu'il me fixe, amusé.

Aomine : - En fait tu cherchais une peluche (t/p).

Je souris et replonge dans son cou. Je bouge un peu mes hanches afin de trouver une meilleure position, quand je le sens se tendre sous moi. Sa respiration se bloque et son cœur accélère. Je lève la tête avec un regard interrogateur.

(t/p) : - Ça va ? Je suis trop lourde ?

Il passe sa main sur son visage, comme s'il essayait de retrouver son calme.

Aomine : - Non ne t'inquiète pas, c'est pas ça le problème.

Je bouge encore une fois sur ses genoux pour pourvoir mieux le regarder mais je sens ses mains se poser sur ma taille. Il frissonne et se penche vers mon oreille.

Aomine : - Pitié (t/p), arrête de bouger. Tu commences à me faire bander.

Je le vois détourner le regard, lui-même étonné d'avoir dit ça. Je remarque enfin la bosse que je sens contre mon entrejambe. Je baisse le regard dessus et j'entends Daiki grogner.

Aomine : - Ne la regarde pas (t/p).

Je détourne le regard, gênée. Il soupire et reprend sa manette pour recommencer une partie, voulant penser à autre chose. Je ne sais pas au bout de combien de temps, mais je finis par tomber dans les bras de Morphée.

Je suis réveillée une grosse heure plus tard lorsque je sens qu'on me transporte. J'ouvre les yeux doucement et vois Daiki me soulever du bord de son lit pour me porter sous la couette. Je le regarde faire, avec son expression concentrée sur le visage que j'admire. Après m'avoir déposée sous ses draps, il enlève son t-shirt et s'installe à côté de moi. J'attends un peu mais il ne s'approche toujours pas de moi et fait en sorte qu'on ne se touche pas, ce qui me fais rire. Je me tourne alors et m'accroche à sa taille, en profitant de sentir ses muscles chauds tressaillir sous mon toucher. Il affiche une expression surprise en regardant mon visage réveillé.

Aomine : - Tu étais réveillée ?

Je souris pour réponse et hoche deux fois la tête contre son ventre. Il sourit et passe enfin ses bras autour de mes épaules. Il approche doucement sa tête de mon oreille et murmure :

Aomine : - Bonne nuit (t/p).

Puis embrasse ma peau sensible en dessous. Je frissonne et m'endors presque immédiatement après avoir murmuré un :

(t/p) : - Bonne nuit Daiki.

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Le lendemain, je me réveille en sentant un poids sur ma poitrine. J'émerge tranquillement et baisse les yeux pour découvrir Daiki, profondément endormi contre mon décolleté, le nez niché entre mes seins et la tête sur l'un des deux. Sa main encercle avec force ma taille et une de ses jambes est posée entre les miennes. Je souris amoureusement en voyant ce tableau dès le matin. Voir Daiki dormir à quelques chose de relaxant. Je pose alors un doux baiser sur son crâne et me remets à somnoler en attendant son réveil.