Aomine Daiki ( 🍋 )

1.5K 38 6
                                    




Je rentre d'un footing. Il est 22h30 et je sais que mon copain va m'engueuler quand je vais rentrer. C'est vrai qu'il est tard et qu'il fait sombre, mais il ne peut pas m'enfermer chez nous. Je presse le pas, sachant que chaque seconde compte pour son niveau de colère.

J'arrive enfin sur le pas de la porte. J'inspire un grand coup et ouvre la porte.

Aomine : Non mais t'as vu l'heure ? (t/p) putain ! Qu'est-ce que tu n'as pas compris dans « ne sors pas toute seule quand il fait nuit » ? Avec toutes les histoires de viols, de kidnappings et de meurtres qui arrivent dans le coin, tu n'as toujours pas compris qu'il ne faut pas que tu sortes seule ! Combien de fois je dois te le répéter ? T'es plus une gamine (t/p) ! Certes ce n'est pas cool mais on parle de ta vie !

Aïe. Je savais qu'il allait être en colère mais j'avais besoin de sortir.

(t/p) : Arrête de me prendre pour une gamine Daiki ! Je sais me défendre ! Et t'es pas mon père ! Arrête de surveiller tous mes faits et gestes ! Pourquoi tu fais ça ?

Aomine : Parce que je t'aime (t/p) putain ! J'ai peur qu'il t'arrive un truc et que je te retrouve morte bordel !

Je vois quelque chose passer dans son regard et sa voix tremble à la fin de sa phrase. Et là, mon cœur a un pincement.

Aomine : Je veux pas te perdre Chaton... Ne m'en veux pas s'il te plaît... Je me fais du soucis pour toi... Je sais que c'est pas cool de te surveiller mais s'il te plaît attends un peu que ça se calme avant de partir seule... Si tu as besoin de sortir dis-le moi et je t'accompagnerai... Je veux pas t'empêcher de sortir mais juste m'assurer que tu sois en sécurité...

Et sans que je ne m'y attende, il craque et les larmes coulent sur ses joues. Ça me fait mal au cœur de le voir comme ça surtout que ça n'arrive vraiment pas souvent. Je sais que ça le touche énormément puisqu'il voit toutes ses journées des femmes passer au commissariat pour déposer des plaintes d'agression ou des cas de kidnappings voire même de meurtres qui lui passent entre les mains. Je le prends dans mes bras pour le calmer.

(t/p) : Daiki... On en a déjà parlé. Je suis contente que tu t'inquiètes pour moi mais comprends que je n'ai pas envie de rester cloîtrée chez nous dès que je rentre du travail jusqu'au lendemain. Je fais attention donc laisse-moi un peu de liberté. Mais si ça te rassure les prochaines fois je te le dirai pour que tu m'accompagnes. Ça te va ?

Il hoche la tête dans mon cou. Je relève son visage avec mes mains et essuie les restes de larmes.

(t/p) : Ça va aller Bébé.

Je voit son visage finir de se décrisper.

(t/p) : Par contre j'ai vraiment besoin d'une douche là. Tu m'accompagnes ?

Un sourire timide mais carnassier finit par apparaître sur son beau visage.

Aomine : C'est si gentiment proposé.

On se dirige alors vers la douche ensemble. Une fois arrivés, je n'ai pas le temps de faire un mouvement que Daiki m'a déshabillée et a fait la même chose pour lui. Il m'entraîne dans la douche et allume l'eau. Pendant qu'il vérifie la température de l'eau, j'ai vue sur son dos. Et Dieu sait à quel point j'aime son dos. Je pourrais passer mes journées entières à regarder ses muscles rouler sous sa peau basanée, à observer ses reliefs qui ressortent selon la lumière. Cependant mon copain décide de me priver de cette magnifique vue en se tournant vers moi.

Aomine : T'étais quand même pas en train de me mater Princesse ?

Je lui souris pour répondre à sa question et son sourire s'agrandit. Il me prend par la taille et me place sous le jet. Je me retrouve avec les cheveux devant les yeux et commence à rire, rapidement accompagnée par Daiki. Puis, sans que je ne le vois, je sens une pression sur mes lèvres. Je lui rends immédiatement son baiser et l'approfondît en plongeant ma langue entre ses lèvres.

Ses mains commencent à devenir plus baladeuses, pendant que les miennes plaquent mes cheveux en arrière pour profiter de la vue du corps de mon copain. Elles remontent doucement le long de ma taille, caressants délicatement le creux de celle-ci, puis remontent jusqu'à toucher le dessous de mes seins. Nos bouches se séparent et il en profite pour plonger sa tête dans mon cou, en traçant un chemin de baisers et de suçons de mon oreille à la base de mon cou. Ses mains quant à elles, agrippent mes seins et les malaxent. Ses doigts commencent à jouer avec leur extrémité pendant que les miens se plongent dans sa chevelure. Je lève encore plus la tête pour lui donner un accès à la totalité de mon cou pour poursuivre son assaut.

Mes mains finissent par descendre le long de son crâne, puis de ses épaules, tracent les contours de ses abdos particulièrement saillants qui se contractent dès que mes doigts les effleurent. Une de mes mains finit par arriver à la hauteur de son membre et l'empoigne. Un soupir de satisfaction passe la barrière de ses lèvres sans qu'il ne prenne la peine de le cacher. Ma main commence à faire un va et vient alors qu'il arrête ses mains de sur mon corps et les pose de chaque côté de ma tête. Son visage se plonge une fois de plus dans mon cou. Les bruits que font mon mouvement s'accordent avec les grognements et les soupirs qu'il murmure à mon oreille. Il sait que ça m'excite ce con. Il pose soudainement sa main sur mon poignet pour me faire arrêter tout mouvement et plonge son regard dans le mien.

Je vais douiller. Je le sais rien qu'au regard excité qu'il me lance. Je l'observe sortir de la douche et prendre une dizaine de paquets qu'il pose à côté de la douche.

(t/p) : Sérieux ? Autant ?

Aomine : On va en avoir besoin.

Je pouffe face à sa confiance en son endurance et le regarde mettre un préservatif sur son membre.

Aomine : Besoin de préparation ?

(t/p) : Non vas-y.

Il me prend par la taille et me monte à sa hauteur. Il me cale entre son torse et le mur et me pénètre doucement.

Aomine : Ça va ? C'est bon ?

J'acquiesce et il commence à bouger. Très rapidement, il trouve mon point sensible et s'acharne dessus. Mes gémissements sont de plus en plus forts et ses grognements les accompagnent. On vient ensemble relativement vite mais comme il l'avait prévu, on risque d'utiliser quelques préservatifs de plus. Il en enfile un autre et me pénètre de nouveau, mais cette fois-ci, je suis dos à lui. Ses mouvements sont plus brusques que la fois précédente. Une de ses mains est posée contre le mur à quelques centimètres de mon visage tandis que l'autre vient frotter mon clitoris. L'orgasme me frappe presque immédiatement. Il continue cependant ses mouvements et finit par se déverser dans le préservatif quand je suis frappée d'un deuxième orgasme. Il passe ses mains sous mes fesses pour me soutenir et m'emmène dans notre chambre tandis que je tremble encore à cause des dernières sensations.

Au final, on a bien utilisé toutes les capotes qu'il avait sorti pendant cette longue nuit.

One shot _ kuroko no basketOù les histoires vivent. Découvrez maintenant