Chapitre 9: L'Autre

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Chapitre 9:

Pdv: Alistair

{Trois semaine plus tôt avant les événements}

     

Lorsque j'étais jeune mon père m'amenais dans des lieu à couper le souffle. Ou mère nature avait enveloppé tout son amour, mon père concluais toujours ses petites excursions avec la même phrase.

On plante se qu'on sème Alis

Dommage que je suis un très mauvais jardinier.

J'observais la vue qui se tenait devant moi, des plaines à perte de vue, les fleurs était coloré, un lieu de paix et d'harmonie. Pourtant le temps en avait dit autrement. Il pleuvait à torrent les plantes s'agrippaient à la terre d'une force. Les quelque arbre menaçaient tout autant de tombé.

       Je n'ai pu m'empêcher de sourire, la paix n'avais aucune valeur sans une guerre, le ciel sans une tempête . C'est juste la beauté, tout se balançais comme notre monde, et l'Élysée. Si personne ne perturbait l'un, l'autre côté ne se brisera pas.

je ne veux pas de guerre, mais je suis près à me battre pour la justice. Des années avant Gisela avait promis la justice à tout ceux qui rejoint leur rang, j'avais avait remarqué trop tard que elle parlait de vengeance, d'une vengeance sanglante.

Mon père était un elfe ma mère une humaine. Si j'aurait vécu parmi les elfe, on m'aurait vue comme un disgrâce, un mal assorti comme ils le disaient. Pourtant j'ai grandi chez les humain, dans la ville de Berlin, j'était top un dans tout les domaines.

J'entendit à peine la voix de ma sœur, à travers la pluie.

- Alis?

Je me retourne pour voir ma sœur devant moi, en terme d'apparence on ne se ressemblait point. Elle avait des traits sévères. Elle avait des yeux azuré comme moi, mais des cheveux bruns foncés. Moi j'avais des cheveux blond et des trait plus fin, plus accueillant en peux dire.

- Nous avons faite des découvert impressionnante et je voulais te montrer.

- D'accord. Elle pris ma main et ensemble ont traversa un rayon lumineux.

      Nous sommes désormais dans les longs couloirs de la base 23. Parmis toutes les bâtiments appartenant à sa sœur. C'était celui-ci qui détestait le plus.

       Après que les invisibles avait été détruit, ma sœur avait pris charge, et maintenant tous les elfe bannis, ou n'importe qui qui ne se sentait pas bien chez eux était bienvenu à venir rejoindre leurs troupes. Ça sœur ne m'a jamais expliqué quel était ses plans pour plus tard pour le groupe de rebelles, mais je connais ça sœur et jamais elle ne ferait du mal à personne. Près à tout pour finir avec cette entretien je lui demanda.

- Alors, c'est quoi les découvertes don tu me parlais plus tôt?

Elle me regarda et avait laissé mal à laisse, je devina vite que peu importe la découverte cela allait tout sauf me plaire.

- Parmis nous deux je sais que c'est tu es investi dans l'histoire des anciens ou plus précisément des dieux. Grâce à leurs pouvoir nous allons ramenez à la vie un ancien prisonnier, il connais Élysée comme le fond de sa poche.

- Ramener à la vie.? Élysée? Non. Evania tu ne peux pas faire ça c'est impos-

- C'est possible j'ai toutes les ressources nécessaires et désormais de sera beaucoup plus simple pour réaliser le plan Polaris.

         Polaris. Ce n'était pas la première fois que j'avais entendu se mots.

- Polaris. Tu veux reprendre le plan de Gisela?! Tu sais comment elle était, c'était un monstre égoïste qui ne pensais à rien d'autre que soi-même, elle n'a même pas vrillé quand notre père a été capturé par le conseil.

- Elle avait ses priorités misse en place. Et maintenant qu'on a trouver une solution pour remplacer le Sencen nous avons plus pour nous inquiéter.

- C'est contre les mœurs des dieux Evania, tu ne peux pas juste ouvrir les porte de Élysée, il va avoir d'horrible conséquence. Un œil contre un œil, une dent pour une dent. Une vie pour une autre.

- Alors le problème est réglé, merci petit frère. Elle porta attention aux garde se trouvant derrière elle. Hale, va chercher un prisonnier je m'en fiche lequel choisi aux hasard.

     Hale s'inclinât et partit. Elle ne pouvais pas faire ça, tout était beaucoup trop dangereux. Lorsque je fit sur que plus personne ne nous écouta je m'élança dans un discours, d'une voix paniquée j'ai commencé.

- Evania, c'est simple, la lumière solaire règne sur notre monde, lunaire, Élysée, alors que stellaire surveille l'entre deux. tu ne peux pas remplacer un enfant de la lune pour un enfant du soleil, se n'est pas la même chose. Si tu veux un terme plus facile. UN VIVANT CONTRE UN MORT, TU NE PEUX PAS FAIRE REVENIR UN MORT.

- Pourtant c'est ce que nous faisons et ne te fâche pas il est trop tard j'ai pis ma décision.

       Elle ouvrit la porte nous menant dans une petite pièce. Une table avec deux chaises face à face. Derrière l'une des chaises se trouvait un miroir. Deux invisibles était déjà dans la pièce de chaque côté du miroir.

       Je reconnu vite les deux individu, Sage et éclair, après la chute des invisibles ils ont été les premiers a prêté allégeance lorsque ma sœur pris la tête. Sage était une enjôleuse alors qu'éclair lui était un chargeur. Hale arriva dans la pièce avec un prisonnier que je ne connaissais point.

- Bon maintenant que tout le monde est là, Sage, Éclair vous savez ce que vous avez à faire, Attraper l'enfant de la lune et remplacer le par lui. Déclara Evania, tout en pointant le pauvre prisonnier.

       Les deux invisibles se regarda avant d'attraper le prisonnier et de se diriger vers le vieux miroir. Ils attendis quelque instant. Evania s'approcha du miroir, et ouvrit son pendentif, un petit cristal bleu sortie et elle toucha délicatement le miroir qui eux l'effets d'une roche qui tombe dans l'eau. Les deux invisibles entrèrent dans le miroir. Je sursauta m'attendant à tout sauf ça.

Les minutes paressaient comme des heures, je jetais des coup d'œil de temps en temps, elle avait toujours la même expression impassible.

       L'enjoleuse et le chargeur sortie du miroir avec quelqu'un, un homme. Il devais être à peine plus grand que moi. Il avait des cicatrices partout sur son corps et des cheveux ébouriffés d'un roux pétant avec quelque mèche noir.

      On lui attache des menottes le faisant assoir sur la chaise se tenant devant eux. L'homme observais la pièce avec attention comme si il planait sa fuite.

       Sa sœur retira sa capuche et s'assit dans l'autre chaise. L'homme ne fut rien il se contenta d'attendre qu'elle prenne parole. Elle se mis à parler dans la langue des lumières.



- Content de te revoir à la maison, Kenric.

Les éclats du miroirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant