Prologue (version actuel)

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Bonjour à tous, si vous lisez ceci c'est que j'ai fini d'écrire mon récit et que quelqu'un l'a trouvé. Je me nomme John Waner et je vais vous parlez de ma vie, ce que j'ai subis, les sacrifices fait et comment j'en suis arriver là.

Notre histoire commence en deux mille quinze, j'avais onze ans et rentré en classe de sixième. Tout aurait dû être parfait, la découverte d'un nouveau monde, les nouvelles matières et tant d'autre chose. Hélas la vie n'est pas tendre, j'étais toujours seul, naïf et isoler, une proie facile pour les harceleurs.

Au début ce n'était que des moqueries, mais un jour ça a était plus loin. Je me fis bousculer et senti mon sac se faire arrache, je les vis partir avec en courant.

« Rendez moi mon sac. Demandais-je avec une vois timide. »

Ils ne répondirent pas et rigolèrent juste en fuyant avec mon sac. Je les poursuivis juste et les vis sortirent de derrière la cour où y avais les poubelles. Je compris aussitôt où il l'avait mis et commença alors à fouiller dans les poubelles quand une voix m'interpella.

« Que faite vous jeune homme ? »

Je me retournais et vis une surveillante furieuse de me voir fouiller les poubelles.

« C'est d'autre élève madame, ils m'ont... Elle m'interrompit. »

« Il n'y a pas de mais. Dit-elle d'un ton sec. Dépêchez-vous d'aller en cours, maintenant. »

« Mais madame... Insistais je timidement. »

« Allez en cours, MAINTENANT. Insista-t-elle. »

« Oui madame. Dis-je en baissant la tête. »

Je partis en cours et me fis de nouveau engueuler car je n'avais pas mes affaires. Je tentais de protester mais le prof ne me laissait pas m'expliquer. Les autres de la classe rigolait car il savait, je les entendais dire des phrases comme : Oh ça put. Le soir en rentrant je partis directement dans ma chambre sans parler à mes parents. Après tout, si les professeurs ne m'écoutaient pas, pourquoi quelqu'un le ferait ? Ça ne ferait qu'amplifier les problèmes.

Le lendemain je pris un autre sac et des feuilles et stylo pour écrire. Mais en arrivant je vis dans mon casier mon sac de la veille. En l'ouvrant il était plein de détritus et je vis les autres rigoler et certains partir en se bouchant le nez. Je remis alors le sac dans le casier sans même chercher à le vider. En classe ça continuait, le professeur me fit passer au tableau. A mon passage les gens se bouchaient le nez et d'autre m'appelait le puant. A chaque mauvaise réponse je me fis sermonner par le professeur et les autres se moquèrent. Plus le temps passé, plus les choses étaient violentes. Plusieurs fois ils me bousculèrent et parfois me faisaient tomber. Mes parents tentèrent de me demander si tout allait bien, mais je préférais nier, faire semblant. Aujourd'hui encore je ne sais pas pourquoi j'ai nié, était ce la peur, le fait de me penser seul ou alors ne voulais-je pas les inquiéter ? Je n'ai toujours pas la réponse. Mais un jour tout ceci alla trop loin.

Je les vis me suivre dans la rue, mais je faisais semblant de rien voir et continuais d'avancer. Jusqu'à ce qu'il me rattrape.

« Eh John. Me dis le plus grand. J'ai vue que tu avais de l'argent sur toi, sois sympa et donne-le-moi. »

J'étais tétanisés par la peur et répondis simplement.

« C'est... C'est pour acheter du pain pour ma mère. Dis-je en bégayant. »

« Oh mais ce n'est pas un problème ça, allais, file-le-moi. »

Je fis non de la tête et il me cola une baffe, puis commença un coup de poing. A ce moment ci, quelque chose se brisa en moi, ma colère explosa et je sentis mon sang bouillir. En une fraction de seconde, je fis un puissant coup de poing dans ses cotes. Il fut projeté en tentant de pousser un cri sans succès, avant de venir s'écraser contre une voiture qui fut presque retourner. Et sous le fracas des vitres, le bruit de métal plier et l'alarme de la voiture j'enchaina sur les deux qui l'accompagnais. Je me déplaçais si vite qu'ils n'eurent pas le temps de réagir et subirent le même sort.

J'avais fortement de mal à respirer, tout mon corps était parcouru par des picotements. Mon cœur semblait être sur le point d'exploser et mes poumons aussi. Je tendis mon bras pour tenter de comprendre, il n'avait pas une égratignure et pourtant me brulé. Je regardais tout autour et me rendis compte de ce que j'avais fait. Alors que plusieurs passant commençaient à arriver, attirés par le bruit des alarmes et le fracas des vitres, je pris la fuite en passant par une petite ruelle.

Je m'enfuis proche de chez moi, mais ne rentra pas tout de suite. J'étais encore sous le choque de ce qui c'était passé et tentais encore de comprendre comment c'était possible. Après une bonne heure, je me décidais enfin à retourner chez moi en tentant de cacher ce qui c'était passé. Malheureusement avec le monde, j'avais été reconnue et le lendemain plusieurs policiers arrivèrent avec un mandat pour m'arrêter. Je n'eu pas le temps d'expliquer quoi que ce soit, que je fus placer en garde à vus, juste on m'énonça mes droits. Mais après plusieurs heures je fus contraint à passer des examens médicaux, les garçons que j'avais attaqué avait failli mourir et ils ne comprenaient pas comment c'était possible. Je passai plusieurs analyses, des os, muscles organe, cerveau ou bien sanguine, mais tout était normale. Pourtant je sentais un changement, j'avais l'impression d'être plus fort. Au fur et à mesure du temps je voyais les médecins tentais de comprendre, cependant un d'eux semblait déjà savoir ce que j'avais. Il était plutôt grand, environ un mètre quatre-vingt avec des cheveux et des yeux marrons, bien que sa tenue fût comme celle des autres. Mais j'avais vu juste, car après le départ des autres, il restait là et demanda à me rencontrer le lendemain à son centre.

Comme il l'avais demandé, je fus amenée là-bas sous escorte et je rejoignis ma mère, mon père étant à ce moment à l'étranger. On se serra fort et je pleurai, cette situation était dure pour nous. Après m'avoir réconfortée, on rencontra le médecin. Son centre était grand et avec beaucoup de blanc, mais vide. Il n'y avait ni personnel, ni patient et pas de meuble ou autre. Il nous fit rentrer dans son bureau où il nous révéla ce qu'il savait.

« Bonjour, j'ai eu beaucoup de mal à les convaincre de me laisser vous voir dans ce centre. »

Ma mère prise aussitôt la parole en tentant de garder son sourire.

« Bonjour monsieur, cette situation est assez compliquée et je n'arrive toujours pas à comprendre. Comment peut on accuser un enfant d'avoir commis de tel chose ? Dit-elle choquée. »

Je vis le médecin prendre une profonde inspiration.

« En fait... Ils ne savent pas, mais c'est normal. On lui lançait un regard d'incompréhension. J'ai analysé le sang pris sur John et comme je le penser il y'a une concentration en énergie importante, même anormale. »

« Qu'est-ce que ça signifie ? demanda ma mère, perdue. »

« En fait, il y'a très longtemps un autre monde existait. Ce monde était peuplé de différent peuple possédant diverse pouvoir. Normalement tout le monde à presque était tué, mais il semblerait que dans les gênes de votre fil, se trouve des résidus de ces peuples. Il vit ma mère sceptique. Bien évidemment difficile de me croire, jeune homme peut tu me tendre ton bras s'il te plait ? Je le fis et il commença à prendre un petit outil. Ça ne fera pas mal, mais ça va chauffer un peu. »

Il appliqua l'outil et une lumière jaunâtre apparue, elle parcourait mes veines. Etrangement ceci me fascina plutôt que de m'inquiéter.

Après ceci ma mère et moi comprenions qu'il ne nous mentait pas. Je restais alors dans ce centre afin d'apprendre à contrôler ce don. La séparation fut difficile, je venais de revoir ma mère et devais de nouveau la quitter pour un moment.

A partir de ce jour, je me mis à écrire un journal pour passer le temps et noter tout les tests.

Récit d'un immortelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant