🚨SPOIL MANGA HAIKYUU🚨
Cette fanfiction prend part après le manga Haikyuu, pendant les Jeux Olympiques 2021.
Elle comprend des éléments du manga qui risquent de vous spoil si vous n'avez pas lu le manga jusqu'à la fin, à vos risques et périls. Ell...
L'après-midi de Shoyo s'était passée, comme prévu, au gymnase, dans lequel il était arrivé beaucoup plus tôt en compagnie de Kageyama, et de façon surprenante, surtout pour ces derniers temps, tout s'était très bien passé. Ils avaient fait seulement une heure extra par rapport au restant de l'équipe qui les avait rejoints plus tard, et à présent, en fin d'après-midi, tout le monde était reparti à leurs petites occupations chacun leur côté, et Hinata Shoyo s'était dirigé à l'hôtel dans l'objectif de se reposer, puisque son match en demi-finale était littéralement le lendemain. Cette information avait tendance à le rendre plus agité que d'habitude, en plus de son cerveau qui pensait à Lucas, qui avait passé sa journée à dormir, vu la fréquence à laquelle il répondait aux messages qu'il lui envoyait.
Mais cette fois, s'il pensait à Lucas obsessivement, ce n'était parce qu'il était amoureux, -enfin, si, mais ce n'était pas la raison principale-, mais parce qu'il était toujours inquiet par rapport à sa santé. Mais il ne voulait pas étouffer Lucas, et montrer que son état le préoccupait. Il savait comment ça fonctionnait, si il lui montrait qu'il paniquait trop, la prochaine fois il ne lui raconterait rien.
Donc il resta plus ou moins calme, et attendait simplement que Lucas réponde aux divers messages que le rouquin lui envoyait.
Après manger, sa tentative de rester silencieux et de rester serein n'était plus vraiment d'actualité. Il était l'heure pour lui de partir faire un jogging, et par faire son jogging, il voulait dire utiliser cette excuse pour envoyer "malencontreusement" un message à Lucas en disant qu'il n'était pas loin de son hôtel, et demander s'il pouvait passer dire bonjour.
Et ce fut exactement ce qu'il fit. Après 30 minutes de jogging, le rouquin s'arrêta à une quinzaine de minutes à mi-chemin entre son hôtel et l'hôtel de son petit ami pour lui envoyer un message.
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[...]
Se tournant dans son lit, Lucas souffla de soulagement lorsqu'il relâcha son poids de son bras où les bandes de straps rouges étaient encore collés depuis deux jours. Il avait encore des courbatures au long du bras et, son téléphone entre les mains, il serra ses dents en se rappelant du visage furieux de José lorsque le médecin argentin de l'équipe leur avait annoncé qu'il était en plein surmenage.
