Ce qui nous unis

Prologue

- Mon être, brûle pour toi.

La personne recevant le compliment, rougit doucement, les mains sur ses joues. Son regard fuyant, retombe dans celui de la personne face à lui, souriant amoureusement.

- Est-ce que j'habite dans ton cœur?

- Bien sûr. Et tu y resteras à jamais. Nos âmes sont connectés, nées pour être ensembles. Si un jour, nos âmes sont déchirés, séparés, alors promet moi, d'errer pour qu'on puisse se retrouver de nouveau.

- Je te promet, mon petit ange.

Ils se sourient, à l'abri du soleil, faisant ressentir fièrement sa chaleur, malgré les feuillages qui font de l'ombre. L'une des deux personne pose sa main sur la joue de son second avant de l'embrasser rapidement.

- Notre amour est bien plus puissant, même séparer, nous entendrons l'autre nous appeler.

Ils se levèrent, main dans la main, et se dirige vers une demeure parmi tant d'autre. Cette demeure, c'est la leur. Fière de montrer leur amour malgré l'interdiction faites par les hauts placés.

Dans leur lit, ils restent dans les bras de l'autre, à se montrer leur amour pour l'autre par de simple bisous ou câlins, n'allant pas trop loin dans leurs gestes.

Les jours suivants, ils avancent dans ce même parc. Ils longent les hais, pour continuer dans des rues, peux fréquenté par les personnes riches. Leur marche s'arrête à l'entente d'un cris. Ils se dirigent vers la source de bruit, tombant face à une scène triste.

La jeune femme les observe avant de se pencher et de laisser le nourrisson, puis, s'éloigne pour disparaître. Le couplé décide de s'occuper de ce nourrisson. Le plus petit du couple regarde avec tendresse le bébé qui ferme les yeux.

- Il est beau, n'est-ce pas?

- Oui. Mais il faut un nom.

- Faël.

- Cela fait penser au dieu de la foudre, Zeus.

- En effet. J'ai penser à lui. Comme un envoyé des dieux.

- Mon petit Faël.

Les mois passent, ou cet enfant grandi par l'amour de ses parents. Mais, un jour comme un autre, un tragique évènement se produit. La ville auquel ils vivent, se fait ensevelir par le magma. Mais cela n'arrête par le volcan en vision, à proximité de cette ville, d'être en éruption.

Les âmes observent la scène, une tristesse habitant leur corps. Les deux âmes, collées l'un à l'autre, observent avec horreur ce qu'il se passe. Ils finissent par errer sans but, sans se sépare.

Des siècles plus tard, ces âmes, séparés avec le temps, se retrouvent dans deux corps, où ils savent déjà que leur caractère sont opposé.