Retour à la maison

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- Bon, je récapitule. Je lui donne à manger matin, midi et soir. Je dois évitée les crabes ainsi que les crevettes. Si il a peur, je dois t'appeler pour que tu le réconforté. Et c'est tout.

- Non! Personne, je dis bien personne ne dois savoir son existence. Acheté aussi des animaux marins vivant.

Il attrape son sac, après avoir jeter je regarde à son nouvel ami et se dirige vers la porte. Mais c'est sans compter la brune qui l'attrape par le bras.

- Katsu, j'ai peur de ne pas bien faire.

Katsuki se tourne vers son amie en soupirant. Il fini par se diriger vers le bord de l'aquarium, ou Izuku le rejoint aisément.

- Izuku, je te rappelle que tu dois rester sage. Personne ne doit savoir ton existence. Et tu manges ce que l'autre brune te donne. J'ai appris à te connaître en une semaine et tu peux être têtu. Si tu as peur, je te réconforterai durant un appel. C'est compris?

Le vert hoche la tête, avant d'attraper la main du blond.

- Je dois partir, Deku.

- Deku? C'est méchant. Mais je veux ma caresse dans mes cheveux!

- Hah, s'exclame la brune.

Il soupire, passant sa main dans les cheveux verdoyant du triton. Ce dernier sourit, les joues légèrement rouge. Il profite de se moment pour se laisser pousser hors de l'eau pour poser un bisou sur la joue du blond.

Après un moment confus, le blond grogne, sous le rire d'Ochaco, le regard émeraude d'Izuku. Il fini par partir et aller dans sa voiture.

Il roule longuement, hors de cette campagne et se retrouve dans la ville, jusqu'à un petit appartement. Il entre, saluant son colocataire. Mais une seconde personne apparaît, sous le choc de Katsuki.

- Kiri?

- Ouai, hé hé. Heum! Je vais te laisser Ojiro.

Le rouge sort, suivit de près de son ami. Ce dernier l'arrêt dans le couloir, un air indescriptible sur le visage.

- C'est quoi ta relation avec lui?

- Heum ... Je me suis bourrer la gueule, lui aussi. On s'est retrouver à ce toucher dans les chiottes de la boîte pour se retrouver ici, à baiser.

- Tain. On en reparle plus tard.

- Et toi, tu étais où?

- Cher la grognace.

- Ta mère est sympa, ne l'insulte pas.

- Pas ma mère mais tête d'œuf.

- Oh ... Oh! Elle va bien?

- Ouai, elle a reçu une créature, magnifique.

Eijiro le regarde, haussant les sourcils avant de les froncer. Il regarde son ami dans l'intention qu'il continu son récit.

- Quoi?

- Tu ne complimentes jamais les choses. Même si c'est une créature marine. Jamais! Tu es ensorcelé? Esprit, sort de ce corps!

- Eijiro Kirishima. Ta débilité te tuera. Je ne sais pas. Mais je sais que lui et moi sommes lié. Je ne sais pas comment, ni pourquoi, mais je le sens. Lui aussi le ressent. Et puis merde aussi. Je t'encule.

- Je n'attend que ça.

- Sa bite ne t'a pas suffit? Tu veux la mienne? C'est vrai que je suis bon au lit. Et que ma bite est bien proportionné. Tu en as fais l'expérience il y a deux ans. Tu as boîté après trois rounds.

A ce souvenir, Kirishima rougit violemment, sous le rire moqueur du Bakugo. Il tape l'épaule de son ami pour le faire cesser sa moquerie.

- J'ai kiffer. Tu as kiffer. C'est l'essentiel.

- Ouai, bah mon cul, non.

- Ta prostate à aimer mes caresses.

- Arrêtes d'être aussi crues dans tes paroles!

- J'avoue que ma petite émeraude ne va pas kiffer.

Eijiro laisse une exclamation passe, tandis que Katsuki réalise ces paroles. C'est sortie sans réfléchir, si naturellement. Il croise le regard du rouge et prend instantanément la même couleur.

Après mur réflexions, il s'énerve, poussant Kirishima vers l'ascenseur, appuie pour l'appeler et met son ami a l'intérieur.

- Bon débarra.

Il se retourne avant de sentir une prise sur son bras.

- Qui est cette émeraude? Nah? Qui? Un coup de cœur? Tu as réussi à passé de la meuf invisible à cette émeraude? Tu me la présente? Quelqu'un est au courant d'elle? Elle ressemble à quoi?

- La ferme!

Le hurlement résonne en écho sur le palier. Le cris est tellement puissant que Eijiro recule. Le blond respire calmement, avant de regarder le rouge.

- Tu te la ferme. Ok? C'est sortie tout seul. Et c'est un gars, pas une meuf. Donc, ta gueule.

Il se retourne, vers son appartement et entre, se dirigeant dans sa chambre. Il récupère ses vêtements avant de poser de l'argent avant un mot. Il sort, se dirigeant vers sa voiture une seconde fois, et part pour aller cher ses parents.

A peine un pied posé sur le tapis qu'une femme blonde apparaît, le visage exprimant de la colère. Katsuki salue sa mère en souriant.

- Tu es en retard. Et je sais que tu détestes les retards. Que t'es t'il arrivé?

- Une dispute avec Eiji.

- Concernant?

- Parce que j'ai sortie un truc sans réfléchir et il s'est foutu de ma gueule.

- Pff, précise, sale gamin.

- J'ai dit un truc sur une personne et il me charrie.

- Oh, notre fils a rencontrer une fille. J'espère que ce n'est pas comme l'autre pute que tu as ramener à la maison.

- C'est répartie. C'est un mec. Et non, c'est l'inverse de la pute.

- Depuis quand tu es gay?

- Depuis quelque années.

- Pourquoi tu es sortie avec Camie?

- Marre des plans cul. J'ai pris la première personne à se déclarer à moi. Après, je l'ai larguer car j'en avais marre et elle me trompais. Bref. Voilà.

- Mais ça t'a impacter. Tu es con, aussi. Bref.

Elle retourne sur le canapé tandis que son fils part dans sa chambre, s'installer. Il descend quelques minutes plus tard et s'assoit à côté de Mitsuki.

- Bon, fils ingrat. Comment c'est passé ta semaine cher Ochaco? C'est quand on la revoit d'ailleurs?

- Ça c'est bien passé. Et quand elle aura le temps. Oh, que je vois un truc avec elle.

Il attrape son téléphone, lui envoyant un message avant de le ranger.

- Bon, ton père rentre dans deux heures. On se fait un jeu de société?

- Avec plaisir. Tu vas voir à tel point ton fils est fort.

- N'importe quoi. Je suis plus douer que toi.

Et c'est ainsi que la bataille entre mère et fils commence, jusqu'à l'arrivée du brun, qui soupire à cette scène.

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