Je me souviens

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Je me souviens.

Je me souviens de cette soirée, douce tel une pétale de fleur, joyeuse tel une ambiance de paradis. Sous ce ciel étoilées, la lumière fuse sur une petite terrasse, où une famille s'amuse.

Je me souviens de mon père, me faisant des ailes sur mon ombre d'enfant. Il s'amusait en me voyant rire.

Je me souviens aussi, de ma mère qui nous observait. Elle nous couvait avec tendresse mais aussi avec amusement.

Je me souvient de tout ceci comme si je l'avais vécu hier. Hors, c'était il y a une quinzaine d'année. C'était une joie, des moments heureux. Mais je me souvient d'une soirée, comme celle-ci, avec un évènement non prévue.

Cet événement qui m'a tant fait peur.

Cet événement qui m'a traumatisé.

Cet événement où je croyais perdre mes parents à tout jamais.

Je me souviens de cet soirée où j'ai vue mes parents amener dans ce camion, auquel je n'arrêtais pas de pleurer. Il était difficile d'arrêté ce torrent de larmes.

J'avais retrouvé mes parents, le lendemain matin, dans les bras de ma mère. Je me souviens de m'être endormis après tant de larmes verser. Elle me caressait le dos tout en me chantonnant une douce mélodie. Je profitais de ce moment avant de m'asseoir sur son ventre, malgré la panique à l'entente d'un bruit incessants et répétitif.

Je me souvient qu'elle m'a dit "mon fils. Mon enfant. J'ai eu tellement peur. Par n'importe quel dieu, merci. Je suis désolé de ce qu'il c'est produit". Elle me regardais, caressant ma joue avec un sourire. Mais elle avait mal. Je le voyait dans son regard.

Je me décale, me posant sur le lit et posait ma tête sur sa poitrine. Je serrais son haut dans mes mains enfantin avant de pleurer. Je n'avais pas compris la soirée. Mais je n'avais que cinq ans. Un enfant de cet âge ne comprend pas, vivant dans un bonheur sans nom. Mais on m'avait raconté tout ceci en âge de comprendre.

Je me souviens alors, après avoir changer de maison provisoirement, ma mère m'avait emmener sur quelque chose de magique. Le sol était différent de la ville. Si je mettais un mot, ça serai poudreux. J'observe l'étendu d'eau face à moi, où le bruit qu'elle fait me calmait. Je me souviens, d'être attiré par ce qu'on appel, la mer ainsi que sa mélodie.

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