Nos âmes blessés

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Pourquoi doit-on s'éloigne alors qu'on venait de se retrouver?

Sirius, toi qui m'aime tant, toi qui ma chérie jusqu'à notre mort, doit-on mourir une nouvelle fois pour que l'on se revoit?

Penses-tu aussi à notre enfant? Lui qui a eu une si petite vie. Il me manque tant. Tout comme toi.
J'aimerai me retrouver dans tes bras, à sentir ton parfum à l'odeur de rose. Sentir ta chaleur envelopper mon être. Sentir tes tendres baisers sur ma peau, m'envoyant dans une paix intérieur.

Je ferme les yeux et à chaque fois je te sens loin de moi, cela me fait tant souffir. Tant de larmes coulées par ce manque.

Pourquoi diable, les Dieux nous ont offert ce lien?

Pourquoi somme nous mort, mais nos âmes toujours en vie?

Pourquoi tant de souffrance?

Sens tu, de la tu te trouves, ma tristesse? Ma peur de ne plus pouvoir te voir? Mourir sans un baiser de ta part?

Je me sens plonger dans les abysses sans fond. Quand vais-je atterrir? Quand vais-je pouvoir te revoir?
Notre incarnation n'est que minable, mais très semblable à nous. Aveugler dans le début, fou vers ma fin.

Ce scénario va-t-elle se reproduire de nouveau?

J'en laisse ma voix.

■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■

Dans le fond de cet océan, je retrouve ma famille, mon royaume. Tellement inquiet pour moi, que je me suis enfui de nouveau.

Comment aborder le sujet envers ma mère? Elle qui me dit tant de choses incorrect sur ce monde.

Ma chambre reste la même. Ce rideau d'anémones, doux soit il, me sert d'endroit pour dormir, me berçant.

Je n'écoute rien, seulement les battement de mon cœur. Ce dernier ne fait que de battre à en faire mal. Il est pourtant correct et son rythme est bien.

Alors pourquoi bat-il si fortement à en faire mal?

Je ressert mes doigts vers cet endroit, une image de ce blond souriant en tête.

Pourquoi je souffre tant sans lui?

Ce n'est qu'une simple personne. Un être humain et moi un triton, et un lien impossible.

Mon âme sœur.

Lui.

Katsuki, ressens-tu cette souffrance? La même que moi? Ce désire d'être aux côtés de l'autre et le chérir jusqu'à notre mort? Le ressens-tu? Ou est-ce simplement moi, et les êtres comme moi qui sommes seulement comme ça?

Je veux tant te revoir. Tant entendre ta voix, qui me parle pour des raisons diverses. Tant voir ton regard rubis se poser sur mon être afin de mieux comprendre comme nous sommes fait. Tant sentir ta peau contre la mienne, dans un câlin tendre, une chaleur nous enveloppant pour nous amener dans un autre monde.

Je veux tant te revoir, mon Kacchan.

■ ■ ■ ■ ■ ■ ■

I

saac. Je t'aime.

Désolé si je m'éloigne de toi.

Désolé si tu es tant blessé par mes mots.

Désolé si tu te sens abandonné.

Te revoir à travers cet être me semble si ... improbable. Je ne comprend pas comment puis-je réussir à survivre si je te vois encore mourir.

Notre lien est certes, intense, immense voir incassable. Voir ton corps englouti dans ces cendres ma déchirer le cœur. Je ne veux plus voir par la suite. J'ai simplement errer, t'abandonnant au passage. J'ai simplement attendu qu'une attirance me fait renaître, sans aucune défaut de sens.

Si on se relie, nous allons passer notre vie, au côté de l'autre, jusqu'à l'un de nous meurt, la souffrance emportera l'autre jusqu'à une mort qui le délivra. Mais je ne veux pas. Tel égoïste je suis, je ne laisserai pas cette souffrance renaître en moi.

J'ai pu t'oublier jusqu'à ce que j'établis un regard dans ce regard verdoyant, tel les plaines sans fin de l'Italie, où nous avions pour habitude de partager notre amour, hors de notre demeure. J'ai de suite reconnue ton regard, mais j'ai refuser de croire que c'était toi.

Mais tel est le destin, nous revoilà, près de l'autre, a souffrir pour sûrement, nous retrouver plus tard. Mais je resterai l'égoïste que le temps à créé. Je me m'éloignerai de toi, contre ta volonté, te faisant pleurer.

Je te souhaite de retrouver le bonheur auprès d'une personne qui t'apporte l'amour, comme je t'ai apporter dans notre passé commun. J'espère que tu seras heureux pour le restant de ta vie, sans moi.

■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■

L'Italie.

Ce pays m'a tant attiré sans aucune raison. Ce pays qui m'a fait tant rêvé d'une personne. J'aimerai simplement, oublier cette douleur insoutenable crée depuis notre séparation.

Izuku, que fais-tu actuellement?

Je déballes mes dernières affaires dans la résidence secondaire de mes parents et sort. Ayant décider d'obtenir la nationalité, on m'a crée des papiers et me voilà en train de chercher un petit job.

Mais peux importe. Ce n'est pas si important que ça. Je veux obtenir des réponses à mes questions. Et je peux les retrouver dans un lieu, où mon instinct parlera à la place de mes pensées. Où mes vies antérieur referont surface, montrant des souvenirs agréables ou non.

Tout cela a cause de cette simple créature, qui m'a remis en question. Où une marrée d'interrogation m'a submergé.

Je vais trouver ces réponses.

A commencer par: pourquoi tu m'attires tant, Izuku.

Ce qui nous unisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant