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𝖈𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 24

main de Jungkook a suivi son chemin le long de
ma colonne vertébrale, me faisant frissonner, alors
que nous franchissions le seuil de la porte de sa
chambre. Mes yeux se sont écarquillés à la vue de
ce qui se passait.

Contrairement à tout ce qui se trouvait de l'autre
côté - stérile et intact - la chambre était pleine de
vie salace. Les murs étaient ornés d'un papier peint
décadent doré royal. Le lit était massif, presque
deux fois plus grand qu'un lit king size moyen,
comme s'il était préparé pour accueillir une orgie.

Il y avait des oreillers de toutes les formes et de
toutes les tailles partout. Un miroir au plafond qui
semblait tout droit sorti de Basic Instinct donnait
l'impression que tout tait infiniment plus grand.
II faisait sombre... inconfortablement sombre, le
seul éclairage provenant d'une lampe de style
gothique dans le coin de la pièce. Å côté d'elle, il y
avait ce qui ressemblait à une vieille armoire en bois, mais je ne pensais pas qu'il y avait des
vêtements à l'intérieur.

Jeon: allonge-toi princesse.* a-t-il ordonné froidement *

II n'y avait jamais de préliminaires verbaux quand il s'agissait de ce type. Il passait directement aux
choses sérieuses, et dans ce cas, jétais heureuse
d'obliger.

Tp: oui, monsieur.

ai-je dit d'un ton soumis, avec l'impression de réciter une réplique tirée d'un film.
Cela ne pouvait pas être ma vraie vie, n'est-ce pas ?
Je me demandais quel genre de coquinerie Jungkook  avait pu faire au fil des ans dans cette chambre.
Honnêtement, je n'étais pas sûre de vouloir le
savoir.

Tp: c'est comme ta chambre rouge ou quoi?
J'ai demandé en m'allongeant sur son lit, tourner en rond.

Il a souri.

Jeon: Non. Tu n'es pas prête pour ma tanière, princesse. Ce que j'ai en tête est quelque chose de bien plus simple.* dit-il en s'arrêtant devant l'armoire* quand tu désobéis, il est important que tu reçoive une leçon.

Je pensais qu'il avait dit qu'il n'était pas un Dom. II
en avait certainement l'air en ce moment. Il a ouvert l'armoire et, même si je ne pouvais pas voir ce qu'il y avait dedans d'ici, l'écouter fouiller... le métal, le cuir, les objets lourds...

Les sons étaient suffisants pour me faire frissonner de peur et d'excitation à la fois.

Tp: comment vas-tu me punir, jungkook.

Jeon: monsieur,* a-t-il corrigé, en tournant la tête pour me regarder furieux * ne m'oblige pas à te le rappeler encore une fois.

Tp: oui monsieur.

Il a sorti ce qui ressemblait à une sorte d'appareil de torture médiéval, une poignée à laquelle pendaient d'épaisses lanières de cuir noir, et j'ai senti mon souffle se bloquer dans ma gorge.

D'une certaine manière, même si la vue m'effrayait,
ma chatte était encore plus humide qu'avant,
comme si mon esprit réagissait naturellement alors
que mon corps faisait le contraire.

Tp: Quoi...c'est quoi ça ?

J'ai demandé d'une voix douce que je ne m'étais jamais entendue utiliser auparavant.