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Le soir même, j'étais dans ma chambre, je reçu un coup de fil complètement affolé de Mélissa.
Plusieurs personne étaient venu lui dire que je n'avais réussi à tenir la journée ou enfin le cours de math de Monsieur Deroo.
Elle était vraiment triste de ne pas être celle qui s'était occupé de moi en m'amenant a l'infirmerie et sembla dégoûté lorsqu'elle sût qui m'avait accompagné.
« Ce Auguste, tu es sur que ses intentions n'était pas intéressée»
Après que Mélissa avait prononcé cette phrase j'étais rage de colère envers elle.
Pourquoi elle pensait que je n'étais pas assez bien pour lui, que je n'étais pas assez belle. Elle ne pouvait pas juste être heureuse pour moi qu'Auguste s'intéressait un minimum à moi.

Sérieusement elle avait beau être amoureuse de moi, elle ne pouvait pas essayé de me rabaisser. Personne ne pouvait le faire.

Je m'étais enroulé dans mon lit dans l'espoir qu'Auguste m'appelle, j'étais assez triste que ma meilleure amie pensais de cette façon.

C'était à vingt deux précise, qu'il se décida à m'appeler.
La conversation fut brève mais en conclusion, il me demanda de venir chez lui tout les mercredi après-midi pour s'exercer sur les mathématiques.
J'acquiesçais juste, je ne pouvais rien faire d'autre.
Après mon évanouissement pitoyable dans l'enceinte du lycée, ma revenue deux jours après fut orchestrale.
Ils se demandaient pourquoi je n'étais pas resté plus longtemps à la maison que j'avais l'air si malade.

Ce n'est ce que disait le docteur quand je suis allé chez lui pour faire examiner, elle m'a dis que c'était juste une montée extrême de stresse et qu'il n'y avait pas de raison pour que cela n'aille pas mieux.

On était Lundi, je n'avais pas parlé à Mélissa du week-end, j'étais en colère contre elle et j'avais pas répondu à tous ses appels téléphoniques.
Lorsque que je l'ai au loin dans la cours de récré, je remarquais avec grande jalousie qu'elle n'avait pas besoin de moi.
Elle était entouré de tout les personnes que je détestais le plus profondément dans ce lycée, comment elle pouvait me faire ça!  Elle était une lumière dorée dans un groupe sombre et funeste.
Chacune de ces personnes au loin semblait rigoler aux blagues de Mélissa.

Je regardais cette scène avec rage, elle tourna sa tête et fit face à mon regard haineux.
Elle hochait la tête pour faire signe d'arrêter toute sorte de conversation. Les autres se retournaient tous pour voir que c'était moi qui avait distrait Mélissa.

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