SIALOSTRE | EN COURS D'ÉCRITURE 18+

CHAPITRE 14. Diamante

BONJOUR 👀♥️

JUSTE THANKS YOU GUYS POUR VOS COMMENTAIRES ET VOS VOTES 🫶✨

I LOVE U SM GUYS MÊME SI JE VOUS CONNAIS PAS MAIS JE VOUS JURE JE VOUS AIME TROOOOP ET ÇA ME FAIT VRAIMENT DE VRAIMENT PLAISIR DE VOIR QU'IL Y A DE PLUS EN PLUS DE LECTEURS CHAQUE JOUR ET QUE VOUS ATTENDEZ TOUS AVEC IMPATIENCE CE CHAPITRE ♥️

DE BASE J'AVIS DIT JE POSTERAIS CHAQUE SEMAINE, MAIS BON UN CHAPITRE OU DEUX VOIR TROIS PAR SEMAINE NE FERA DE MAL À PERSONNE 🫣

J'ESPÈRE EN TOUT QUE LE COURS DE L'HISTOIRE VOUS PLAIT... i love u 😂 ♥️🫶

BONNE LECTURE DU COUP 🌝📖♥️

VANESSA

Un pas.

Puis un autre.

Puis un énième pas.

L'arme était sur son frond, nichée fermement entre mes doigts. Ma respiration s'accéléra et mes doigts se mirent à trembler. Une pluie de larmes ruissela le long de mes joues. J'avais du mal à avaler ma salive, du mal à calmer ma respiration saccadée et mon cœur qui tambourinait comme un fou à l'intérieur de ma cage thoracique.

Chaz Volkov.

Je retins ma respiration alors que mon regard ne quittait nullement le sien. Ses yeux étaient d'un bleu cristallin, comme si la glace avait été capturée dans son iris. C'était une merveille donné à un connard. Putain je haïssais tout le monde, JE HAÏSSAIS CANCIO, VASCO, CAESAR, RICO, MÊME CE PUTAIN D'IVÀN...

ET PLUS QUE TOUT AU MONDE CHAZ ! CE PUTAIN DE GROS CONNARD QUI A NIQUER MA VIE EN L'AIR !

Ses iris étaient faites de diamants, j'aurai aimé les lui arracher. Puis, je déglutis, et baissa mon regard le long de son cou gorgé de veines et de tatouages. Je ne voulais pas relever mon regard, je savais que ses yeux étaient braqués sur moi tout comme le reste de ses hommes. Chaque échange de regard avec lui était comme une plongée au enfer et en en voulais pas de ça. Je détestais ce sentiment de faiblesse. Je serrai mon ventre alors que les larmes inondes mon visage. Les membres tremblaient, je n'arrivais pas à appuyer sur la détente.

Non, je n'étais pas faible.

Mon cœur battait si fort que je pouvais le sentir résonner dans ma poitrine, chaque battement semblait amplifier le lord silence qui nous entourait. Je fixai son regard glacial, incapable de détacher mes yeux de lui. Mon souffle était irrégulier, presque saccadé. Son sourire se nourrissait de ma peur. Mon cœur s'emballe violemment lorsqu'il sortit soudainement une arme de la poche de son pantalon, provoquant un frisson d'effroi dans tout mon corps.

L'air était épais de tension, mon cœur battait violemment, résonnant dans mes oreilles comme un tambour de terreur, alors qu'il braquait l'arme contre mon front. La lueur menaçante dans ses yeux injectés de tension laissait présager l'obscurité de ses intentions. C'était nous deux. Rien que nous deux. Ça avait toujours était nous deux et ce, depuis le début de cette histoire. Sa voix troubla davantage mes sens lorsque les mots s'échappèrent de ses lèvres :

— Ton sang ne se versera qu'entre mes mains Vanessa, dit-il avec sa voix vive et cristalline, la faisant résonner en boucle dans ma tête. T'es liée à moi...