CHAPITRE 25. La sombra de las putas

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BONJOUR 👀♥️

CONTENTE D'ÊTRE DE RETOUR APRÈS UN LONG MOMENT DE REPOS. JE NE VOUS PREND PAS BEAUCOUP DE TEMPS ET JE VOUS LAISSE CONTINUER VOTRE LECTURE !

BISOU 💋

BONNE LECTURE 🌝📖♥️


VANESSA






Tres mil millones de dólares...

Tres mil millones de dólares...

Tres mil millones de dólares...

J'avais fui mon pays, il y a de cela quatre ans. J'avais fui mon passé en acceptant mes douleurs. Jamais, au grand jamais, je ne serai venu ici en sachant que je me retrouverai une seconde fois dans cette spirale sanguine. Mes vingt-trois ans d'existence n'avait aucun sens pour moi, pourquoi m'acharner à rester en vie ? Peut-être au fond de moi, j'avais l'espoir de pouvoir un jour vivre. Les abondantes gouttes fraîches me tomber dessus. Je fermais les yeux et levai le ciel vers le plafond. Lola mentait... J'en étais certaine...

« Il m'a dit d'emmener avec moi Van' et de prendre la route à Mexico sinon il allait me tuer, alors- »

Tel était les paroles qui ne cessent de résonner dans ma tête. Pourquoi moi ? Je refusais de croire que mon passé m'avait rattrapé, je refusais de croire qu'on m'avait trouvé. Elle mentait, elle mentait, elle mentait... Je devais absolument trouver un moyen de m'enfuir, je ne pouvais pas rester une seconde de plus ici. Ils étaient tous des détraqués malade et sans morales, à leurs têtes le grand et honorable Chaz Volkov, ce connard sans cœur. Des fois je me demandais s'il était humain, il l'était sûrement pas au vu de son indifférence quand on a tué Lola. Il valait bien mieux penser qu'il n'était pas humain que d'accepter l'idée qu'il soit un monstre sans cœur. L'eau coulait sur mon corps et je m'arrêtais, profitant de ce vide absolu.

Sentant les abondantes gouttes fraîches me tomber dessus, alors que je me lavais les cheveux, j'ouvris les yeux et passai une main humide sur mon visage. Lola mentait, Lola mentait, Lola mentait... On frappa soudainement à la porte et je sursautai. Je plaçai rapidement une main protectrice contre mon cœur qui battait actuellement frénétiquement. Je me lavai rapidement, me débarrassant du savon sur le long de mon corps et sortis sur la pointe des pieds. On frappa encore à la porte, encore et encore. De plus en plus fort et de plus en plus vite. Je soupirai et me saisis rapidement d'une serviette à portée de main et ouvris la porte de la salle de bain, ne laissant dépasser que ma tête pour vérifier qui osait gâcher mon moment de joie.

Sans surprise c'était lui...

Lui...

Lui...

Et encore lui...

Il était ancré dans mon crâne, tout de lui ne me quittait pas.

MAIS QU'EST-CE QUI TE PREND PUTAIN À FRAPPER COMME ÇA ?! Hurlai-je en sortant vers lui.

Il resserra la mâchoire en détournant le regard, les muscles de ses bras se contractant sous la pression. C'était un aspect que j'appréciais chez lui, au moins il n'était pas un pervers. Je ne le félicitais pas, mais disant que ça me rassurait le fait de savoir qu'il respectait mon corps. Mes yeux glissèrent involontairement sur son dos sculpté, ses épaules larges semblant taillées pour la puissance, tandis que ses bras tendus trahissaient une tension latente. Même à travers ses vêtements, son aura de force était indéniable.

SIALOSTRE | EN COURS D'ÉCRITURE 18+Où les histoires vivent. Découvrez maintenant