SIALOSTRE | EN COURS D'ÉCRITURE 18+

CHAPITRE 26. Alejandro

BONJOUR 👀♥️

HEYYYYYYYYYY BESTIES 👯‍♀️💖, AVANT QUE VOUS NE COMMENCIEZ CE CHAPITRE JE NE VAIS VOUS DIRE QU'UNE CHOSE : "VOUS ALLEZ L'ADORER ❤️✨"

Sur ce, BONNE LECTURE 🌝📖♥️

VANESSA

Chaz... Chaz... Chaz... Ces mèches de cheveux noirs retombaient sur son front, sa mâchoire contractée, ses sourcils étaient froncés comme s'il était concentré. Un air insolent, une position arrogante. Il n'avait pas cligné des yeux une seule fois, et moi non plus. Il se leva soudainement, suivis d'un groupe de personnes et salua un homme. Son regard se tourna vers moi et je le vis passer lentement sa langue sur ses lèvres. La peur me noua l'estomac, l'angoisse faisant vibrer mes entrailles alors que je détournais rapidement le regard, m'efforçant de me concentrer sur mon verre vide. Il fallait avouer qu'il était incroyablement séduisant, mais terrifiant à la fois. Le regard de Chaz se tourna vers Vasco et d'un seul regard, Vasco hocha la tête.

Vasco m'agrippa le bras avec une fermeté surprenante, ses doigts se refermant autour de mon poignet avec une force intimidante. Sans un mot, il me tira vers un coin sombre, vers des escaliers, sûrement menant au coin VIP. Je tentai de résister, mais ses mains restaient solidement accrochées à moi, me conduisant vers les escaliers. J'essayais de me dégager en demandant des explications mais en vain, sa prise étant trop forte pour que je puisse m'en libérer, mon cœur tambourinant dans ma poitrine alors que la peur commençait à m'envahir.

Soudain un bras me retenu et j'hoquetai, Vasco se tourna vers moi et je regardai vers ma gauche. Un homme me tira vers lui, faisant détacher la prise Vasco. Il portait une chemise blanche, des cheveux blonds et des yeux d'un vert claires. Son regard était durs et sans émotion, il resta stoïque, regardant Vasco durement.

— Lâche-là, grogna Vasco d'un ton dur.

Pour la première fois, je voyais Vasco ainsi. Les muscles de son visage étaient tendus, ses yeux d'un noir intense lançant des éclairs. Je ne l'avais jamais vu en colère auparavant.

— Hors de question, rétorqua l'homme d'un ton sec.

Vasco se raidit et d'un coin de l'œil, je le vis prêt à dégainer son arme.

— Tu es suicidaire ?

Ooooh non, ça allait dégénérer ! D'un geste rapide, je parvins à repousser l'homme, mes mains tremblantes de nervosité. Il était hors de question pour moi que j'assiste à une nouvelle scène sanglante, j'en avais assez vu comme ça. Et comme si ca ne suffisait pas déjà, cet homme sortit alors une carte d'identité et je tombai des nues.

— Je suis commandant en chef des forces de l'ordre fédérales de la police de Mexico, Alejandro Sáncharez, se présenta-t-il d'un ton impérieux. Cette femme reste avec moi.

Mon cœur battit la chamade dans ma poitrine et je reculai. Non, non, non, pas la police. Si cette affaire venait à être portée devant les autorités, j'étais dans une sacrée galère. Il était hors de question que je me retrouve en garde à vue. Non, non, non...

— C'est rien, c'est un malentendu, tentai-je de minimiser.

— Si c'est bien un malentendu, je ne vois pas de problème s'il est réglé au commissariat, répliqua le commandant avec fermeté.