SIALOSTRE | EN COURS D'ÉCRITURE 18+

CHAPITRE 15. Voleuse

BONJOUR 👀♥️

ALORS VOICI LA SUITE QUE VOUS ATTENDEZ TOUS 😂 ♥️🫶

JE VOUS PROMETS QUE JE FAIS DE MON LIEUX POUR ÊTRE RÉGULIÈRE. J'ESSAYE DE VOUS OFFRIR UN CHAPITRE OU PLUS PAR SEMAINE ET J'ESPÈRE QUE JE POURRAIS VITE ÉCRIRE LE CHAPITRE SUIVANT CAR JE SAIS QUE VOUS ALLEZ TOUS ADORER LE CHAPITRE 17

JE SUIS MÊME EXCITER À L'IDÉE DE L'ÉCRIRE, J'AI DÉJÀ PRÉPARÉ UN TIK TOK SUR CE MÊME CHAPITRE QUE JE POSTERAI JUSTE APRÈS AVOIR PARTAGER LE CHAPITRE 16 SUR WATTPAD 👀

JE VOUS EN DIS PAS PLUS 😭✨

ET BONNE LECTURE 🌝📖♥️

VANESSA

Meurs...

Crève...

Disparais...

Le martèlement lancinant dans ma tête me fit lâcher un souffle tremblant. J'avais froid. L'odeur de la pièce m'était insupportable, la puanteur empoisonna mes narines, un arôme douteux de fer rouillé et de renfermé.

Mes regards s'éparpillent tout autour de moi, mais rien, à l'exception d'une très faible lumière venant de la porte. Cette pièce sinistre devenait insupportable, les murs y étaient marqués par la moisissure et l'obscurité y était aussi épaisse que l'air glacé. Mon cerveau semblait être plonger dans un brouillard épais et ce depuis que Chaz avait quitté la pièce après cette-...

Ma tête était engourdi, comme si la moitié de mes facultés mentales s'étaient endormies. Mes muscles semblaient être encore sous l'emprise d'une anesthésie profonde. Ma torpeur s'intensifie, m'enfermant dans un état de léthargie qui me condamnait à l'inaction et à l'impuissance.

Merde. J'étais vraiment à plaindre pas vrai ?

J'ignorais depuis combien de temps j'étais là, les heures passaient sans que je n'y puisse faire quoi que ce soit. La pièce était humide, froide, oppressante. L'odeur qui y régnait était nauséabonde, un mélange de renfermé et de moisissure. Je repassais en boucle cette fameuse nuit, où j'avais commis l'erreur de croire celle qui je pensais être ma meilleure amie. Je me sentais tellement naïve, tellement vulnérable. J'avais été faible de suivre Lola dans son délire. Et maintenant, j'en payais le prix fort.

Peur. Torpeur. Terreur.

Mes sentiments s'entremêlaient.

Dégoût. Écoeurement. Nausée.

Mes sentiments s'entrecroisaient.

Haine. Rage. Colère

Mes émotions se confondaient.

Soudain, une cacophonie étrange vint briser le silence oppressant de ma cellule. Mon cœur se mit à marteler ma poitrine avec une force alarmante, faisant écho au rythme frénétique de tambours invisibles. Mes mains, prises de tremblements incontrôlables, témoignaient de mon anxiété grandissante. La peur s'infiltra insidieusement en moi et mes muscles se raidissent. Chaque fibre de mon être se contracta et je déglutis.

Peur.

Mes sens furent violemment réveillés par un fracas métallique soudain, m'arrachant à ma torpeur. La porte de ma cellule s'ouvrit brusquement, provoquant un frisson électrique qui parcourut mon échine. Me levant péniblement, mes jambes affaiblies par d'anciennes blessures menaçaient de céder sous mon poids.