Love sick // JUDE Bellingham

Chapter twenty five

Gabrielle
08h53, dimanche 09 Janvier 2022
📍 Paris, France

Mon téléphone sonne.
Mon téléphone sonne pour la deuxième fois.
« Mais qui m'appelle aussi tôt putain » Je râle, parce qu'on est samedi matin et que j'ai qu'une envie c'est dormir.
« Allo »
« Joyeux 19ème anniversaire madame »
« Jude, je te promet je t'adore mais pourquoi maintenant ? »
« Parce que t'es née le 9 Janvier et qu'on est le 9 Janvier, j'ai hésité à t'appeler demain mais je me suis dit que j'aurai un jour de retard »
Je rigole malgré moi « Quelle déduction mon petit sherlock, mais je veux dire t'aurai pas pu attendre 10h du matin »
« Oula non je t'ai préparé une journée d'anniversaire bien remplie ! »
« Comment ça ? »
« La seule chose que ton auras le droit de choisir aujourd'hui, c'est ta tenue ! »
« Je sens le plan douteux arriver »
« Allez va t'habiller et après tu files au jardin des tuileries, tu prendras un croissant sur le chemin »
« Ok ok mais tu veux pas allumer ta caméra parce que faire un FaceTime seule c'est pas mon kiffe »
« IMPOSSIBLE ! Tu comprendras plus tard pourquoi, go gab habille toi, on est pressé »
« Je met quoi alors ? » je fouille dans mon placard à la recherche d'une tenue confortable, finalement je met un pull beige, mon manteau noir long, un jeans droit, mes dunk low noires.
« Tu permet que je me coiffe et que je me maquille jude ? Oui bien j'ai pas le droit ? »
« Un coup de brosse et t'y vas, il est déjà 9h05 »
Un coup de brosse à dent, j'attache mes cheveux avec une pince, attrape mon sac et part affronter le froid de janvier en écoutant les conseils de Jude.
« Ok donc la tu vas à la boulangerie Yannick Martin rue saint honoré »
Je marche dans les rues tout en écoutant mon guide parler et ça me fais rire de le voir prendre les choses au sérieux comme ça.
« C'est bon chef je suis arrivée devant la boulangerie »
« Quel efficacité soldat, vous m'impressionnez, rentrez et prenez un croissant »
« Non je préfère les tartelettes aux fruits »
« Moi je préfère un croissant, prend un croissant et une tartelette »
« Mais Jude je le mangerai pas »
« prend les deux tu vas pas le regrettez »
Je pousse la porte, et entre dans la petite boulangerie « Bonjour »
« Bonjour mademoiselle qu'est ce que je vous sers ? »
« Une tartelette aux fruits et un croissant s'il vous plait »
Je règle mes achats et sort de la boulangerie.
« Viennoiseries récupérées »
« Parfait maintenant tu vas au jardin des tuileries, et va à la grande roue »
« En fait je suis ton pantin aujourd'hui c'est ça » je ris

« Tiens la voila ta grande roue » je tourne la caméra pour qu'il puisse apprécier la vue.
« Allez va faire un tour dedans »
« Non je vais pas le faire toute seule c'est mort »
« Alors on le fait tout les deux » je me tourne pour savoir qui vient de parler, et je n'en reviens pas.
Jude se tient devant moi, avec un gros sweat noir, un manteau encore plus gros et un tout petit bonnet.
« Surpri... » 
Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase, je le serre dans mes bras et j'enfouie ma tête contre son torse, à son tour, il passe ses bras dans mon dos et me serre contre lui.
« T'es le meilleur des meilleurs » je marmonne, ma tête toujours dans son manteau.
« Je suis juste venu récupérer mon croissant hein »
Il dépose des bisous sur le sommet de mon crâne avant d'ajouter
« Si tu savais comme tu m'a manqué ma Gabrielle »
« Toi aussi tu m'as manqué »

.....

« Putain Bellingham tu m'as tué, entre la grande roue, la tour Eiffel, le passage expresse au Louvre, ça fait longtemps que j'avais pas été une telle touriste, on a marché dans tout Paris là, on rentre c'est bon »
« Non non maintenant qu'il fait nuit on va aller à Montmartre »
« Tu t'arrêtes jamais » je rigole exaspérer
« Bientôt tu auras un cardio de joueur de foot »
Une fois arrivés en haut de la bute Montmartre, on s'assoit sur les marches de la basilique, on se regarde, il attrape mes mains et caresse le creux de mes paumes. Je sens qu'il a une idée derrière la tête, je le sais à la façon dont la malice s'empare de ses yeux bruns, à la façon dont il pince ses lèvres pour retenir un sourire et à la fossette qui apparait sur sa joue droite. Sans parler, il lâche mes mains et enfonce sa main dans sa poche de manteau pour en ressortir une petite boite noire, il me l'a tend.
« Joyeux anniversaire ma belle »
Je souris et défait délicatement le noeud rouge de la petite boite , et quand je l'ouvre, je reste sans voix devant la bague splendide, elle est simple mais à la fois travaillée, et à la couleur je dirai que c'est de l'or blanc. 
« Mais Jude.... c'est trop... ça a du te couté une fortune... merci mais... »
« Gabrielle, ça me fait plaisir, la discussion s'arrête la » 
« Merci beaucoup, elle est magnifique... choisis a quel doigt je dois la porter ! »
« Avec plaisir ! » Il passe l'anneau à mon majeur gauche avant d'ajouter
« Je ne te l'ai pas offerte pour qu'on se fiance hein, c'est pour ça que je te l'a met au majeur »
« Merci pour ces explications Jude » ça me fait rire qu'il ait le besoin de se justifier.
« Surtout que je sais qu'un jour je t'offrirai une bague qui viendra juste à coté » dit il en tapotant mon annulaire.
Je souris, sans vraiment le prendre au sérieux.
« Je t'assure Gabrielle. Peut être que tu ne t'en rends pas compte parce que c'est trop tôt, mais je sais que tu es la femme de ma vie »
Je suis choqué par ce qu'il vient de me dire, mais à la fois pas tant que ça, quand je suis avec lui, tout est spécial.
« Bien évidemment que je ne veux pas qu'on se marrie et qu'on est des enfants dans un futur proche, on est jeune, on a le temps, il faut laisser les choses se faire sans se mettre la pression, mais je sais déjà comment on sera dans 10 ans. »
« C'est la chose la plus inattendue, sincère et mignonne qu'on m'ait jamais dit » lui répond dis-je en posant ma tête sur son épaule. On regarde le ciel tout les deux, fixant les étoiles pendant de longues minutes, dans un silence réconfortant, savourant la présence de l'autre. Et c'est dans ces moments là, ces moment où sa simple présence me comble de joie, ces moments où j'humes son odeur pendant qu'il embrasse ma tempe, ces moments où sa main sur ma taille me fait frémir, c'est dans ses moments que je m'en rend comptes que je ne voudrait être nulle part ailleurs.
« Je t'aime Jude »
Je sens son corps se raidir, aïe j'aurai pas dû, c'est trop tôt ?, qu'est ce qu'il m'a pris de lâcher ça sans prévenir. Il attrape mon visage en coupe et me regarde dans les yeux et malgré l'obscurité, je distingue dans ses yeux une orbes qui m'indique qu'il n'a pas pris mal du tout ce que je viens de dire. Nos visages sont à quelques centimètres, il maintient son regard ancré dans le mien et j'attends pendant quelques secondes qui me semblent des heures sa réponse.
« Je t'aime tellement Gabrielle »
Une chaleur intense née dans mon ventre, des frissons parcourent mon corps, je souris si fort que je crois que mes zygomatiques pourraient avoir une crampe. Je passe mes mains derrière son cou et l'embrasse.

...

« JUUUDEEE farfalle ou penne ? » je crie depuis la cuisine en espérant que Jude me réponde depuis le salon pour savoir quelle pâtes je dois faire cuire. Il est déjà 20h56 et j'ai faim !!!
« Farfalle ! » je met les pâtes dans l'eau et lance le minuteur. Pendant que je suis concentrée sur mes pâtes, je sens jude se coller derrière moi, et de ses deux mains, il exerce une légère pression sur mes hanches.
« T'as besoin d'aide ? »  dit il avant de parsemer mon cou de baisers. Son contact me fait légèrement frissonner. Je tourne la tête dans sa direction.
« Tout est bon elles auront finit de cuire dans 15 minutes » dans un geste habile il me fit pivoter, afin que je lui fasse face.
« Donc on a 15 minutes » dit il un sourire provocateur au lèvre avant de m'embrasser. Plus on s'embrasse, plus la tension est palpable, et plus j'ai chaud, on se sépare pour reprendre nos souffles, mais presque immédiatement il se rejette avidement sur mes lèvres. La pression que ses mains exercent sur mes hanches se resserrent. Ses lèvres tracent une ligne de baisers le long de ma mâchoire avant de s'attaquer à mon cou. Il passe ses mains sous mes cuisses j'enroule mes jambes autour de sa taille, et au lieu de m'asseoir sur le plan de travail, il m'amène dans ma chambre. Il perd l'équilibre, on tombe brusquement sur mon lit et je ne peux retenir un fou rire.
« Hé te moque pas » dit il en me donnant une petite tape sur la cuisse. Alors je souris, et il caresse mes cheveux, on se regarde en silence, puis il s'approche doucement de mon oreille avant de murmurer :
« T'es vraiment la plus belle fille que j'ai jamais vu » 

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Et voilà un chapitre de plus !!!
J'attends vos avis avec impatience 😊
PS : désolé pour les fautes je me suis même pas relu

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Je suis obligée d'en parler on est à 10k vues sur mon histoire c'est juste énorme vraiment !!! Merci à tous je vous jure ça a l'air tout niais dit comme ça mais ça me fait trop plaisir de voir que vous aimez l'histoire et que vous y prenez part vraiment ça m'a fait verser ma larme.... Je suis super sensible jugez pas mdrrrrr non en vrai ça me touche de voir que vous appréciez quelque chose que j'ai écrit parce que depuis toujours j'écris, j'écris quand je suis triste, en colère, heureuse, j'écris pour me vider la tête et là savoir que ce que j'écris est lu et apprécié ça me fait une sensation particulière... mais que du love vraiment 10k mercis ❤️❤️❤️