L'hôpital saint mangouste

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Ron est arrivé à l'étage et a eut bien plus peur que moi. Je ne sais pas vraiment comment le miroir a explosé. C'est comme si c'était moi qui avait explosé.

- ne t'avance pas ron. C'est dangereux je vais ramasser. Dit je en essayant de me calmer

- tu t'es énervé ?

- je me suis disputé avec le portrait. Rien de grave.

Je lui souris doucement en ayant repris mon calme et Sirius est arrivé

- ça va Elena ?

- oui oui ça va.. harry est en colère. Dit je calmement

- d'accord. Tu va aller te reposer jusqu'à ce que l'on est des nouvelles de monsieur weasley.

Je suis partit me coucher dans la chambre de regulus et me réveillé vers huit heures. Ce n'est que vers dix heures que madame weasley arriva dans la salle alors que personne d'autre a part moi ne semblait avoir dormi.

— Il va s'en sortir, annonça-t-elle, la voix affaiblie par la fatigue. Pour l'instant, il dort. On pourra tous aller le voir un peu plus tard. Bill est resté avec lui. Il a décidé de ne pas aller travailler ce matin.

Fred retomba sur sa chaise, le visage dans les mains. George et Ginny se levèrent et se précipitèrent sur leur mère pour la serrer dans leurs bras.

Ron eut un petit rire chevrotant et avala d'un trait le reste de sa Bièraubeurre.

— Petit déjeuner ! dit Sirius d'une voix forte et joyeuse en se levant d'un bond. Où est ce maudit elfe de maison ? Kreattur ! KREATTUR !

Mais Kreattur ne répondit pas à l'appel.

— Bon, tant pis, marmonna Sirius en comptant le nombre de personnes présentes. Alors, un petit déjeuner pour... – voyons – huit . Œufs au bacon, j'imagine, avec du thé et des toasts...
Harry se hâta vers le fourneau pour apporter son aide. Il voulait laisser les Weasley à leur bonheur de savoir que leur père était sauvé et redoutait le moment où Mrs Weasley lui demanderait de lui raconter sa vision. Mais à peine avait-il pris des assiettes dans le buffet que Mrs Weasley les lui arracha des mains et le serra contre elle.

— Je me demande ce qui se serait passé sans toi, Harry, dit-elle d'une voix étouffée. Arthur serait resté là des heures avant qu'on le découvre et, alors, il aurait été trop tard. Mais grâce à toi, il est vivant et Dumbledore a pu inventer une histoire plausible pour justifier la présence d'Arthur là-bas. Sinon, tu ne peux pas imaginer les ennuis qu'on aurait eus, regarde ce pauvre Sturgis...

Harry avait du mal à supporter sa gratitude. Heureusement, elle le lâcha bientôt pour se tourner vers Sirius qu'elle remercia d'avoir pris soin de ses enfants tout au long de la nuit. Sirius répondit qu'il était ravi d'avoir pu se rendre utile et espérait les voir demeurer chez lui aussi longtemps que Mr Weasley serait à l'hôpital.

— Oh, Sirius, je te suis tellement reconnaissante... Il devra rester un petit moment là-bas et ce serait merveilleux d'être un peu plus près... Bien sûr, ça signifie qu'on passera peut-être Noël ici.

— Plus on est de fous, plus on rit ! dit Sirius avec une telle sincérité que Mrs Weasley lui adressa un sourire radieux.

Elle mit ensuite un tablier et aida à préparer le petit déjeuner.

— Sirius, murmura Harry, incapable d'attendre une minute de plus. Est-ce que je peux te parler un instant ? Heu... maintenant ?

Il se dirigea vers le garde-manger où Sirius le suivit.

Je me mit avec ron à table quelque minute

- tu crois qu'il parle de quoi?

- de sa vision. C'est sûr. Si j'étais toi je mangerais et j'irais me coucher ronron

Destin différent : la salle sur demande Où les histoires vivent. Découvrez maintenant