L'épée de gryffondor

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Harry passa la plus grande partie du lendemain à redouter ce qui allait se produire le soir.

A la pause déjeuner je me mis dans un coin pour regarder la lettre de dumbledor qui me demandait de le rejoindre dans son bureau à l'heure où Harry irait à ses cour de « rattrapage » mais que je devais passer par le chemin secret.

Je manger un morceau de pain en relisant la lettre quand je sentit quelqu'un m'embrasser le cou je reconnu très rapidement l'odeur de drzco et le poussa.

- t'es toujours pas pardonné.

- pas besoin de me casser le nez princesse.

- t'as l'habitude.

- tu lis quoi?

- comment tu m'a trouvé ?

- cest simple quand j'ai vu que tu n'étais pas à table je me suis dit que tu avais sans doute cherché un endroit bien vide et bien reculé pour être sûr que l'on ne te dérangerai pas

- visiblement ça n'a pas marché.

- oh c'est bon arrête de bouder. Je le pensais pas ce que j'ai dit sur ta mère.

- c'était horrible.

- j'étais en colère contre ton frère. J'avais la rage parce que j'avais perdu. Mais je ne le pensais pas. Vraiment. Je te jure.

- Harry a été renvoyé.

- je t'ai pris un cadeau de Noël

- j'en veux pas. Offre le à pansy.

- tu sais même pas ce que c'est !

- draco. Quoi que se soit je n'en veux pas. Tu n'a pas à m'offrir des cadeaux pour que je t'aime. Sinon c'est pas de l'amour. C'est du profit.

- mon père offre toujours un cadeaux coûteux à ma mère pour Noël

- oui et en échange elle ne s'enfuit pas en te prenant avec elle.

- qu'est-ce que tu insinues au juste !?!?

- une chose horrible. Ça ne te rappelle rien?

Il souffla.

- ok.. très bien.. mais du coup je peux te jurer que ça. Tu vas l'aimer

- et pourquoi j'aimerais un cadeau venant de ta part ?

- parce que je ne l'es pas acheter. Je les fais.

Ok j'avoue que je suis curieuse.

- très bien. C'est quoi.

- ça.

Il sortit de sa poche une carte de Noël avec un petit livre miniature

- un livre?

- ouvre le.

J'ouvre la première page pour trouver des photos de mon niffleur. Et des photos de mes animaux préférés.

- un album animalier ?

- cest nul? Je suis vraiment un idiot j'aurais du..
Je le prend dans mes bras.

- merci dray.

- tu aime vraiment ?

- cest toi qui l'a fait n'est-ce pas ?

- j'ai demandé à dobby comment je pouvais faire avant que je ne parte en vacances. Il semblait content de faire quelque chose pour toi alors il m'a expliqué. Mais si c'est raté tu peux me le dire.

- tu vois? C'est ça que j'aime. La simplicité.

- je suis fière de moi alors.

- mais ça n'empêche pas le fait que tu sois un cretin.

Il se mit à sourire alors que je me prépare a rang mes affaires pour aller à mon prochain cour de la journée.

- oh. Hum.. je sais pas si tu as vu. La prochaine sortie a pres au lard a lieux le quatorze février

- la saint Valentin ?

- si tu n'a rien de prévu se jour là .. peut-être qu'on pourrait y aller ensemble

C'est tentant mais.. comment y aller sans être vu? Je ne sais pas.  Je ne peux pas toujours compter sur ma boîte à musique..

- on ne peut pas dray...

. Ce n'est qu'une idée.. une idée bête. Je comptais demander à pansy de nous couvrir.et on y serait allé sans que personne ne nous voit

- je vais y réfléchir je te redis ça.

- d'accord.. eli?

- oui?

Il m'embrasse doucement avant de partir

- j'aime quand tu es heureuse. À plus tard.

- t'es un idiot

- je sais!

Il est partit en courant et je me suis mise à sourire tel une idiote

Je suis  retourné en cours par la suite et j'ai eut la chance de ne pas voir Dolorès ombrage de la journée. Que rêver de mieux ? Le soir venu à l'heure du rendez-vous. J'ai souhaité bonnes chances à Harry et je suis parti dans les toilettes des filles du second étage.

- salut mimi

- oh ! Elena! Cela faisait longtemps que je ne t'avais pas vu. J'ai vu ton frère récemment mais pas toi.

- oui j'étais occupé. Je vais pas pouvoir rester il faut que j'emprunte les tuyaux. Tu sais si quelqu'un est venu essayer de l'ouvrir ?

- non désolé mais il y a une bonne femme tous en rose qui est venu ici avant les vacances elle m'a demandé pourquoi tu passes ton temps ici

- qu'est-ce que tu as répondu ?

- que tu venais me rendre visite.

- cest vrai en même temps. A plus mimi !

Je descendit dans le tunnel et reparti jusqu'a la cheminée du professeur dumbledor.  Qui semblait m'attendre.

- entre donc Elena. Je sais que la chaleur du feu est agréable mais n'en abuse pas.

- bonjour professeur

- comment va tu ?

- je crois que ça va.

- et harry?

- vous n'avez qu'à lui demander vous même. Dit je froidement

- je vois que tu es toujours prête à défendre ses intérêts. C'est admirable de ta part

- pourquoi je suis ici exactement ? Qu'est-ce vous voulez ?

Il me tendit alors le choipeau pendant que je m'asseyais à ma place habituelle.

- si vous pensez que je peux le recoudre vous n'avez jamais vu mon niveau en couture.

Il eut un petit sourire en coin. Que je pris comme une manière de me dire que j'avais de l'humour et j'accepta le compliment avec humilité.

- cest ce que le choipeau donne qui est important. Vas y. Attrape.

Je prend donc le vieux chapeau rapiécé entre mes mains et comme la première fois dans la chambre des secrets une énorme épais en sortie.

- l'épée de gryffondor. Tu en est digne. C'est toujours admirable. Mais maintenant tu devrais savoir la manier

- la manier? Pourquoi ?

- je pense que d'ici quelques années tu en aura besoin. Et que au fond tu le sais mieux que quiconque

- je ne comprends pas

- pendant que harry apprendra l'occlumentie. Tu apprendra à utiliser l'épée.

Destin différent : la salle sur demande Où les histoires vivent. Découvrez maintenant