Le rencard de harry

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Les idées de draco sont hilarantes. On a pris ma boîte à musique et on est partit à pres au lard séparément en passant devant rusard. J'ai profité de tous le bazar que provoquer cette journée à pres au lard pour aller attraper la cape d'invisibilité.

Il était donc  neuf heures quand on vit harry et cho. et on les suivit sous la cape

Harry semblait stresser mais Il était plus facile de marcher en silence que de rester debout d'un air empoté. C'était une journée fraîche avec une petite brise qui soufflait régulièrement.

— Alors... Où est-ce que tu veux aller ? demanda Harry lorsqu'ils arrivèrent à Pré-au-Lard.

La grand-rue était pleine d'élèves qui flânaient en regardant les vitrines ou chahutaient sur les trottoirs.

— Oh, ça m'est égal, répondit-elle avec un haussement d'épaules. On pourrait peut-être aller voir les magasins ?

Ils se dirigèrent vers la boutique de Derviche et Bang. Quelques villageois qui regardaient une affiche collée dans la vitrine s'écartèrent en voyant approcher Harry et Cho.

Et une fois de plus, Harry se retrouva face aux photos des dix Mangemorts évadés. L'affiche, « par ordre du ministère de la Magie », offrait mille Gallions de récompense à quiconque fournirait des informations pouvant conduire à la capture des fugitifs.

— C'est drôle, dit Cho à voix basse en regardant les Mangemorts, tu te souviens quand Sirius Black s'est échappé et qu'il y avait des Détraqueurs partout à Pré-au-Lard pour le rechercher ? Aujourd'hui, dix Mangemorts sont en fuite et on ne voit aucun Détraqueur nulle part...

— Oui, répondit Harry.

Il détacha son regard du visage de Bellatrix Lestrange et jeta un coup d'œil des deux côtés de la rue.

— Oui, tu as raison, c'est bizarre.

Les dix Mangemorts en fuite les regardaient chaque fois qu'ils passaient devant une vitrine. Lorsqu'ils arrivèrent à la hauteur du magasin de plumes Scribenpenne, la pluie commença à tomber à grosses gouttes glacées qui s'écrasaient sur le visage et la nuque de Harry.

— Heu... Tu veux qu'on aille prendre un café ? demanda timidement Cho alors que l'averse s'intensifiait.

— Oui, d'accord, répondit Harry en jetant un coup d'œil alentour. Où ça ?

— Il y a un endroit très agréable un peu plus loin là-bas. Chez Madame Pieddodu, tu connais ? dit-elle d'un ton enjoué.

Elle le conduisit dans une rue latérale, devant un petit salon de thé que Je n'avait encore jamais remarqué. Dans la salle exiguë et embuée, tout semblait décoré de petits nœuds et de fanfreluches diverses qui rappelaient désagréablement le bureau d'Ombrage.

— C'est mignon, non ? dit Cho, l'air joyeux.

— Heu... oui, mentit Harry.

— Regarde, elle a fait une décoration spéciale pour la Saint-Valentin.

Draco me fit un grimace de dégoût.

Elle lui montra des angelots dorés qui voletaient au-dessus de chacune des petites tables rondes et jetaient de temps à autre sur les clients des poignées de confettis roses.

— Aaah...

Ils s'installèrent à la dernière table encore libre, près de la vitrine couverte de buée. Nous on était assis à côté en tailleur par terre pour voir le rendez vous mais assez loin pour que personne ne se prenne les pieds dans la cap.

Roger Davies, le capitaine de l'équipe de Quidditch de Serdaigle, était assis à cinquante centimètres d'eux en compagnie d'une jolie blonde à qui il tenait la main. Cette vision mit Harry d'autant plus mal à l'aise qu'en jetant un regard dans la salle, il ne vit que des couples qui se tenaient la main. Peut-être Cho s'attendait-elle à ce que lui aussi prenne sa main dans la sienne.

Destin différent : la salle sur demande Où les histoires vivent. Découvrez maintenant