Lockart

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Je suis retourné à la maison grâce au portoloin et j'ai du faire semblant de me sentir mal pour quitter la soirée des black avec walter

- joyeux Noël Walter.

- Joyeux Noël lena.

Je lui donna un petit paquet et repartit une dernière fois dans mon temps.

Le lendemain matin on se leva tous au aurore. Mais c'est parce que les jumeaux avait débarqué dans nos chambres.

— Joyeux Noël ! lança George. Ne descendez pas tout de suite

— Et pourquoi ? demandais je encore fatigué.

— Maman est encore en train de pleurer, dit Fred d'un ton lourd. Percy lui a renvoyé son pull de Noël.

— Sans même un mot, ajouta George. Il n'a pas demandé de nouvelles de papa, il n'a pas été le voir, rien.

— On a essayé de la consoler, dit Fred. On lui a dit que Percy n'est qu'un énorme tas de crottes de rats.

— Mais ça n'a pas marché, dit George en prenant un Chocogrenouille. Alors, Lupin a pris le relais. Il vaut mieux lui laisser le temps de lui remonter le moral avant de descendre prendre le petit déjeuner.

- bonne idée.

On est donc descendu quand la situation semblait déjà plus calme

Après le déjeuner de Noël, les Weasley, Harry et Hermione avaient l'intention de rendre à nouveau visite à Mr Weasley, escortés par Fol Œil et Mon parrain alors je me decida à les accompagner.
Mondingus arriva à temps pour manger un morceau de pudding de Noël et de génoise à la crème. Il avait « emprunté » une voiture pour l'occasion car le métro ne fonctionnait pas le jour de Noël. La voiture, dont je doutait fort qu'elle soit arrivée là avec le consentement de son propriétaire, avait été agrandie à l'intérieur grâce au même sortilège qui avait permis de faire entrer neuf personnes et leurs bagages dans la vieille Ford Anglia des Weasley. Bien qu'elle fût de taille normale à l'extérieur, dix passagers, en plus de Mondingus qui conduisait, pouvaient s'y installer confortablement. Mrs Weasley hésita à y monter – Je savait qu'elle était partagée entre sa méfiance à l'égard de Mondingus et sa répugnance à voyager sans l'aide de la magie – mais finalement, le froid qui régnait au-dehors et les exhortations de ses enfants finirent par triompher et elle s'installa de bonne grâce sur la banquette arrière, entre Fred et Bill.
Il y avait très peu de circulation, ce qui nous permit d'arriver rapidement à Ste Mangouste.
Quelques sorcières et sorciers rôdaient furtivement dans la rue par ailleurs déserte pour se rendre à l'hôpital. On sortit de la voiture et Mondingus partit se garer au coin de la rue pour nous attendre. D'un pas nonchalant, ils se dirigèrent ensuite vers la vitrine où se trouvait le mannequin habillé de nylon vert, puis un par un, on traversa la vitre.

Le hall de réception dégageait une agréable atmosphère de fête. Les globes de cristal qui éclairaient Ste Mangouste avaient été colorés en rouge et or, se transformant ainsi en gigantesques boules de Noël lumineuses. Du houx était accroché au-dessus des portes et des sapins de Noël resplendissants, recouverts de givre et de neige magiques, scintillaient dans tous les coins, chacun d'eux surmonté d'une étoile d'or. Il y avait moins de monde que la fois précédente. En arrivant au centre de la salle, cependant, Harry fut bousculé par une sorcière qui avait un kumquat coincé dans la narine gauche.

— Querelle de famille ? ricana la sorcière blonde derrière son comptoir. Vous êtes la troisième aujourd'hui... Pathologie des sortilèges, quatrième étage.

Ils trouvèrent Mr Weasley adossé contre ses oreillers, un plateau sur les genoux avec les reliefs de sa dinde de Noël. Un certain embarras se lisait sur son visage.

Destin différent : la salle sur demande Où les histoires vivent. Découvrez maintenant