Maniement

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Me faire travailler le maniement de l'épée . Et puis quoi encore? Je suis pas un chevalier ou je sais pas quoi. Mais bon. Ça semble important pour dumbledor alors pourquoi pas.

Je suis actuellement dans la bibliothèque avec riri,jay, ron et hermione après mon premier entraînement quand Harry rentre enfin.

D'autres élèves, presque tous des cinquième année, étaient assis à des tables éclairées par des lampes, le nez collé à leurs livres, dans un grattement de plumes fébrile tandis que, derrière les fenêtres à meneaux, le ciel devenait de plus en plus noir. Le seul autre bruit était le couinement que produisait l'une des chaussures de Madame Pince, la bibliothécaire, qui rôdait parmi les rayons d'un air menaçant.

Quiconque s'avisait de toucher à ses précieux ouvrages ne tardait pas à sentir son souffle dans son cou.

Harry tremblait. Il avait l'aire pâle. Voir malade.

— Comment ça s'est passé ? chuchota Hermione.

— Ça va, Harry ? Demandait je.

— Oui... Très bien... enfin, je ne sais pas, répondit-il d'un ton impatient en faisant une grimace de douleur. Écoutez... Je viens de réaliser quelque chose...

Et il nous raconta son cours. Il a vu une porte étrange au ministère de la magie.

— Tu... tu veux dire..., murmura Ron, alors que Madame Pince passait devant eux dans un léger couinement, que l'arme – celle que cherche Tu-Sais-Qui – se trouverait au ministère de la Magie ?

— Au Département des mystères, très certainement, chuchota Harry. J'ai vu cette porte quand ton père m'a emmené dans la salle du tribunal et c'est la même qu'il gardait quand le serpent l'a mordu.

Hermione laissa échapper un long et profond soupir.

— Évidemment, souffla-t-elle.

— Évidemment quoi ? dit Ron, agacé.

— Ron, réfléchis... Sturgis Podmore a essayé de forcer une porte au ministère de la Magie... C'était sûrement celle-là, ça ne peut pas être une simple coïncidence.

— Comment se fait-il que Sturgis ait tenté de forcer la porte que mon père gardait alors qu'il est de notre côté ? fit remarquer Ron.

— Je n'en sais rien, avoua Hermione. C'est un peu étrange...

— Qu'est-ce qu'il y a au Département des mystères ? demanda Harry à Ron. Est-ce que ton père t'en a déjà parlé ?

— Tout ce que je sais, c'est que les gens qui y travaillent sont surnommés les Langues-de-plomb, répondit Ron en fronçant les sourcils. Parce que personne ne semble savoir vraiment ce qu'ils font. C'est un endroit bizarre pour cacher une arme.

— Pas bizarre du tout, très logique, au contraire, objecta Hermione. Il doit s'agir de quelque chose de top secret sur lequel a travaillé le ministère... Harry, tu es sûr que ça va ?

Harry venait de frotter sa cicatrice de ses deux mains, comme pour la rendre plus lisse.

— Oui... Très bien..., dit-il en reposant sur la table ses mains tremblantes. Je me sens simplement un peu... Je n'aime pas beaucoup l'occlumancie.

— N'importe qui se sentirait secoué si quelqu'un essayait sans arrêt d'entrer dans sa tête, dit Hermione d'un ton compatissant. Venez, on va retourner dans la salle commune, on sera mieux installés.

- Harry. Fait voir ta cicatrice.

- ça va elena.

Mais la salle commune était bondée et retentissait d'éclats de rire et de hurlements surexcités. Fred et George étaient en train de faire une démonstration de leur dernière invention en matière de farces et attr apes.

— Le Chapeau-sans-Tête ! annonça George tandis que Fred agitait devant les élèves un chapeau pointu orné d'une grosse plume rose. Deux Gallions pièce. Regardez bien ce que va faire Fred. Vas- y!

Avec un grand sourire, Fred enfonça le chapeau sur sa tête. Pendant un instant, il eut l'air simplement stupide puis tout à coup le chapeau et sa tête disparurent en même temps.

Tout le monde hurla de rire, à part quelques filles qui s'étaient mises à crier de terreur.

— Et hop, on l'enlève ! s'exclama George.

Pendant un moment, la main de Fred tâtonna dans ce qui semblait être le vide, au-dessus de son épaule, puis sa tête réapparut lorsqu'il enleva d'un grand geste le chapeau à la plume rose.

— Comment fonctionnent ces chapeaux ? se demanda Hermione à haute voix. Distraite de ses devoirs, elle regardait Fred et George.

— De toute évidence, il s'agit d'un sortilège d'Invisibilité mais c'est assez habile d'avoir réussi à en étendre le champ au-delà de l'objet ensorcelé... J'imagine que le sortilège ne doit pas durer très longtemps.

— Je ferai ça demain, marmonna mon frère en remettant dans son sac les livres qu'il venait tout juste d'en sortir.

— Note-le dans ton agenda de devoirs ! lui conseilla Hermione. Comme ça, tu ne l'oublieras pas !

Harry échangea un regard avec Ron puis fouilla dans son sac et en sortit le planning qu'il ouvrit timidement.

Ne remets pas à demain, espèce de bon à rien ! lança le carnet d'un ton réprobateur pendant que Harry notait le devoir à faire pour Ombrage.

Hermione paraissait enchantée.

— Je crois que je vais aller me coucher, dit Harry.

Il rangea le planning dans son sac en se promettant de le jeter au feu à la première occasion.

Puis il traversa la salle commune, évitant George qui essaya de le coiffer d'un Chapeau-sans-Tête, et se réfugia dans la fraîcheur paisible de l'escalier de pierre.

- ron.. accompagne le s'il te plaît j'ai pas envie qu'il lui arrive quoi que se soit.

- si tu veux eli

Il monta rejoindre mon frère pendant que hermione allait dans notre chambre. Je resta avec riri et jay

- dray m'a invité à un rencard

- un rencard ? Il est tarer ? Fit mon brun préféré

- non. Juste amoureux jay. Tu sais se truc que les humains ressente quand il sont proche d'une personne importante pour eux.

- oh ça . Bon t'as dit oui?

- non.

- cest pas possible ça. Pourquoi ?

- j'ai pas vraiment dit non pour toujours mais... mais comment faire au juste ? Comment je suis sensé aller a pres au lard avec lui sans que tous le monde le découvre?

- tu l'a déjà fait.

- c'était pas pratique

- Harry a invité cho à sortir à la saint Valentin.

- pourquoi j'suis pas au courant !?!?

- parce que tu aime pas cho. Bon. On va devoir s'allier à parkinson et zabini pour vous créer un alibi. On en reparle demain j'suis fatigué. Fit jay

Destin différent : la salle sur demande Où les histoires vivent. Découvrez maintenant