Thé empoisonné

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Ombrage arriva une dizaine de minute pour voir le grand bazar qu'avez causé les weasley

— Il ne faut surtout pas les stupéfixer, Rusard ! s'exclama Ombrage avec colère, comme si c'était lui qui avait prononcé la formule magique.

— Vous avez raison, madame la directrice ! répondit-il de sa voix sifflante.

Rusard, qui était un Cracmol, aurait été aussi incapable de stupéfixer les feux d'artifice que de les avaler. Il se précipita vers un placard proche, en sortit un balai et se mit à donner de grands coups en l'air pour essayer de repousser fusées, soleils et dragons. Quelques secondes plus tard, son balai était en feu.

J'en avait vu suffisamment.

Je savais exactement où aller pour ne pas être vu. Le château est grand et il y a assez de passage secret pour que je me planque sauf que une fois dans le passage je vie les jumeaux qui observer derrière la tapisserie ce qu'il se passait. Quelque minute plus tard,c'est Harry qui nous rejoignait.

Secoués d'un rire étouffé, les jumeaux écoutaient les hurlements d'Ombrage et de Rusard.

— Impressionnant, chuchota Harry avec un sourire. Très impressionnant. Vous n'aurez aucun mal à réduire le Dr Flibuste au chômage.

— Merci, murmura George qui essuyait des larmes de rire. J'espère qu'elle va essayer un sortilège de Disparition, la prochaine fois... Ça les multiplie par dix.

Cet après-midi-là, les feux d'artifice continuèrent d'exploser et de se répandre dans toute l'école. Malgré le désordre qu'ils semaient sur leur passage, surtout les pétards, les autres professeurs ne semblaient pas s'en formaliser.

— Tiens, tiens, voyez-vous ça, dit le professeur McGonagall d'un ton sardonique, tandis que l'un des dragons surgissait dans sa salle de cours en émettant de puissantes détonations et de longs jets de flammes. Miss Brown, voulez-vous bien courir prévenir Madame la directrice qu'un feu d'artifice est venu se réfugier dans notre classe ?

Le professeur Ombrage dut ainsi passer son premier après-midi de directrice à courir d'un bout à l'autre de l'école pour répondre aux demandes des autres enseignants, dont aucun ne semblait capable, sans son aide, de débarrasser sa classe des feux d'artifice vagabonds. Lorsque la cloche sonna la fin du dernier cours de la journée et que tout le monde retourna à la tour de Gryffondor, J'eut l'immense satisfaction de voir une Ombrage échevelée, couverte de suie et le visage en sueur, sortir d'un pas titubant de la classe du professeur Flitwick.

— Merci beaucoup, professeur ! dit Flitwick de sa petite voix flûtée. Certes, j'aurais pu me débarrasser moi-même de ces cierges magiques mais je n'étais pas sûr d'avoir l'autorité nécessaire pour cela.

Rayonnant, il referma la porte de sa classe sur le visage hargneux d'Ombrage.

Ce soir-là, dans la salle commune de Gryffondor, Fred et George furent traités en héros. Hermione elle-même se fraya un chemin parmi la foule des élèves surexcités pour les féliciter de vive voix.

— Ces feux d'artifice étaient une merveille, dit-elle avec admiration.

— Merci, répondit George qui paraissait à la fois surpris et content. Ça s'appelle les Feuxfous Fuseboum, qualité Weasley, précisa-t-il. Le seul ennui, c'est qu'on a utilisé tout notre stock. Il va falloir recommencer la fabrication depuis le début, maintenant.

— Mais ça valait la peine, dit Fred qui prenait les commandes d'élèves vociférants d'enthousiasme. Si tu veux ajouter ton nom à la liste d'attente, Hermione, c'est cinq Gallions la boîte Flambée de Base et vingt pour la Déflagration Deluxe...

Hermione retourna à la table où On étaient assis et contemplaient nos sacs comme s'ils espéraient que leurs devoirs allaient en jaillir tout seuls et se faire d'eux-mêmes.

— Si on prenait plutôt une soirée de repos ? proposa Hermione d'un ton allègre alors qu'une fusée au sillage d'étoiles argentées passait devant la fenêtre. Après tout, les vacances de Pâques commencent vendredi, on aura tout notre temps à ce moment-là.

— Tu te sens bien ? demanda Ron en la regardant d'un air incrédule.

— Maintenant que tu m'en parles, répondit joyeusement Hermione, il est vrai que je me sens un peu...rebelle.

Je trouvais la journée intéressante tous à coup. Surtout que Harry me raconta sa convocation chez ombrage. Lui poser des questions en l'obligeât à boir. Elle s'attendait réellement à ce que harry lui donne les réponses qu'elle voulait. Du genre. Où se cache harry.

Je remonta dans ma chambre avec riri. Et sortit le tableau de Sirius de sa cachette.

- sir je sais que tu es là. Apparaît s'il te plaît

Le portrait fit enfin apparaître le visage du parrain de mon frère.

- dit au vrai toi que ombrage utilise du veritae serum sur ses élève et que elle a essayé de s'en servir sur harry.

- très bien.

Les sifflements et les explosions des pétards échappés dans le parc semblaient à chaque fois plus distants... Ou peut-être était-ce lui qui s'en éloignait...

Il revint quelques minutes après.

- il dit que tu es sans doute capable de trouver une alternative au veritae.

- une alternative ?

- un moyen de ne pas en boir si tu préfères. Ou bien d'annuler ses actions.

- très bien.

- il demande également si tu fais tes entraînement à l'épée.

- une épée ? Fit riri

- dumbledor m'a confié l'épée de gryffondor.  Mais il l'a caché pour que ombrage ne l'a trouve pas. Sauf que ombrage me surveille. Je ne peux ni l'a récupérer, ni m'en servir.

- marion va t'aider n'est-ce pas ? Fit le portrait

- oui j'ai déjà un plan. On va faire une farce à ombrage cette nuit

- et n'oublie pas eli. Le prochain rendez-vous avec regulus c'est le mariage

- je sais. Je sais je vais y aller. Je suis sensé faire comment pour que les malfoy ne sache pas ce que je fais ?

- tu es déjà bien différente lorsque tu es coiffé, maquiller et que tu n'es que Elena willow. Crois moi, même le vrai Sirius a eut du mal à réaliser que sa nièce n'était autre que leur ami d'école. Et sa voisine par extension.

- d'accord.. j'ai compris.

- bien. Maintenant si cela ne te dérange pas j'aimerais dormir.

Il disparue de son portrait et je souffla

Riri était déjà partie et revint quelques minute plus tard avec la cap d'invisibilité d'Harry.

- qu'est-ce que...

- j'ai dit à Harry et ron qu'on allait faire une farce à ombrage. T'as pas à t'inquiéter quand Harry a su que c'était pour toi il te l'a passé.

- bien. Tu vien ?

Hermione monta à se moment la.

- qu'est-ce que vous faites ?

- tien qu'un préfet n'est sensé savoir crois moi.  On sera rentré avant le levé du soleil.

- ca m'inquiète..

- ne t'en fais pas on est des grande fille.

Destin différent : la salle sur demande Où les histoires vivent. Découvrez maintenant