Ch6: souffle

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Non corrigé

J'ai passer ma mains sur le museau de ma monture, celle que l'on ma attribuer a mon arriver, je n'ai pas encore pris le temps de lui donner de nom, je m'en veut un peut. je suis passer dans les ecuries pour la préparer avant de partir. je l'ai sortie de son boxe pour lui mettre sa selle et tout le reste, a vrai dire je ne connait pas réellement le langage équestre, Sasha en sait surement plus que moi.

j'ai entendue du bruit derrière moi, alors j'ai tourner la tête pour apercevoir le caporal, munie d'un sceau. il a relever les yeux avant de ce positionner face au boxe de sa monture.

— fait comme si je n'était pas la, je suis juste de passage.

j'ai souffler pour reprendre mon calme sans commencer a paniquer d'entrée de jeu, il n'est pas si méchant que sa...si ?

— Dite ? je peux vous poser une question

je l'ai entendue poser son sceau sur le sol de pierre, mon superieur a humer sans rien ajouter, je ne sait pas tellement si il accepte ou pas, mais je préfère tenter tout de même.

— j'ai l'impression que... hum...

ma gorge s'est nouer, comme si mon cerveau avait cesser de fonctionner. que mon anxiété avait repris place d'un coup. Sa ne m'arrangerais pas, pas du tout

— que ?

A t'il lancer en semblant essayer de modérer la tonalité de sa voix

— Je crois que... J'ai fais mauvaise impression au près de vous, je tenais a m'excuser pour sa..

j'ai entendue l'homme se tourner dans ma directions, et j'ai commencer a pagniquer un peut plus.

— Laissez moi !

les larmes qui dévale une nouvelle fois mes joues dans un souffle de désespoir, encercler par ces trois soldats et la peur.

— Voyons ma jolie soit pas aussi tendue, on va bien s'occuper de toi.

Mensonge, c'était tout sauf la vérité. Et le pire, c'est qu'ils ne comptaient pas s'arrêter la, en fait ils n'y avaient même pas songer.

Une main s'est poser sur mon épaule pour me retourner face a lui, d'un mouvement intuitif et mécanique je me suis dégager d'un coup, me prenant violemment le portillon en bois dans le dos, la respirations allaitante, paniquer et effrayer face a un caporal de nouveau démunis face a ma crise imminente, mes oreilles bourdonne, ma poitrine ce contracte violemment me donnant l'impression de recevoir des coups de poignarde, j'ai l'impression que mes dents sont à deux doigts de me trancher la lèvre

— Ashlynn, respire.

il est malin, il me déclanche une crise respiratoire et comme un éclaire de génie il me dit de respirer.

Ma fiole es resté dans ma chambre, je vais devoir me passer d'elle cette fois ci.

— Calme.

La règle des 5 sens...

J'ai enchaîné les cainte de toue comme si elles étaient des petits four. Sauf qu'elle me donnait plus envie de dégobiller le peut de nourriture que j'avais dans l'estomac.

5 chose que je peux voir.

Du foins, les pieds du caporal, un fer à cheval accroché sur le mur, les montures dans leur boxe et des selles sur des portants en bois...

Le prolongement des conséquences Où les histoires vivent. Découvrez maintenant