Ch2: Titanesque

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Non corrigé.

— C'est quoi ce foutoir. Qu'est-ce que t'attend pour réagir ?!

Encore sonné par la douleur et le choc mon cerveau a bien du mal a ce re concentré sur terre.

Les yeux azur de l'homme en face de moi mon dévisager comme si leur vie en dépendait. Jai passer mon regard sur lui, détaillant sa tenue et Le blazon qu'arborait fièrement sa veste couleur crème. Une paire d'ailes blanche et bleu, celle du bataillon. "Les ailes de l'hirondelle" comme j'aime l'appeler, parce que l'hirondelle est plaine de liberté.

Attends Ashlynn concentré toi deux minutes. Des cheveux corbeau, des yeux bleu persans qui tuerai n'importe qui d'un seul coup... une petite taille malgré de larges épaule, froid et distant...

J'ai soudainement écarquillé parce que j'avais mal pour je ne sais quelle raison mais aussi parce que je me retrouve face a cette homme

Merde. Je suis foutue. Le caporal-chef. De ce que j'ai entendu il est sans pitié et sanguinaire. Et vue comment il me regarde la je suis la prochaine sur sa liste.

— Oï, gamine, tu t'es blessé ? T'es au courant que t'allais te faire bouffer la ? Putain, tes complètement a la ramasse.

Quand il s'est approché de moi j'ai fait un pas en arrière, apeuré. Malgré sa petite taille il était imposant. Par sa carrure et son aura, mais putain qu'est-ce qu'il est beau... j'ai bien fait de rester encore un peu. Si Eren savait sa, il m'en voudrais.

— Je vais bien vous en fait pas.

C'est juste mon abruti de frère qui fait n'importe quoi et qui ne répond plus quand je l'appelle.

— tss, J'm'inquiète pas pour toi. J'ai pas que sa a foutre. Mais vue la tronche que tu tire je vais pas te laisser crever ici comme une sombre merde.

Les pensées noires qui me traverse instantanément, celle que j'avais essayé d'enterrer . Mais la douleur qui les coupe directement , mon corps qui a du mal a réagir. Mon visage c'est déformé pas la décharge que je venais de recevoir dans le crâne. C'est quoi ce putain de bordel.

— Merde Eren a quoi tu joues !

Ai-je craché en grinçant des dents sous les yeux dévastateurs du caporal chef.

— Eh. Tu peux utiliser tes grapin ou pas.

J'ai pris ma lame en main et d'un coup la douleur a disparu, en même temps qu'une explosion a retenti dans le centre. C'est quoi ce putain de bordel ? Je me suis à nouveau mise à sentir Eren. Mais c'est différent cette fois, il y avait quelque chose en plus. Un changement.

J'vais les exterminer.

J'ai froncé les sourcils, il na pas répondu une seule fois et c'est la seul chose qui trouve a dire ?

Qu'est-ce qui ce passe ? T'es ou !

Pas de réponse. A quoi tu joue putain. Puis le caporal ma sortie de ma rêverie. Il ma pris par les épaules et ma secouer dans tout les sens comme si j'étais une une petite bête dans un bocal entre les mains d'un enfant en bas âge.

— Oï ! Tu peux te servir de tes grappins oui ou non ! On a pas le temps de rêvasser gamine !

Sans que je n'est le temps de répondre, qu'il ma foutue sur son épaule et a planter ses grappins dans l'une des façades en pierre grise d'un des maisons de trost

— J'aurais pue le faire !

Il a tiquer relevant la partie gauche de sa lèvre supérieur d'un battement de cils et a levé les yeux au ciel avant de m'attraper par le col de ma chemise, d'un geste qui lui semblait habituelle. Trop a mon goût. Je lisais très clairement la colère sur son visage pourtant si neutre. Même s'il avait lâché cet air lat pour une paire de sourcils bien froncé.

— Écoute moi bien gamine. Y a moins de d'un quart d'heure t'allais te faire bouffer sans réagir. Si tu réagis pas dans la seconde t'es morte c'est clair ?!

La panique qui ma prise de la tête au pied quand il ma violemment attrapé sur le col. Sans agir j'avais l'impression qu'il était en train de m'étouffer alors qu'il ne me touchait même pas, je savais ce qui était en train de ce ce passer. J'ai mal.

Dans un mouvement brusque j'ai essayé de le dégager pour récupérer de l'espace, et de l'aire. Il ma regarder avec ses yeux bleus d'une marnière indescriptible. Du mépris ? De la peur.
Il ma lâcher sans rien dire, alors que moi, je me suis écroulé à genoux sur le sol. Fouillant dans mes poches a la recherche de ma fiole sauveuse.

J'ai commencé a tousser dans un rythme infernal et effréné, laissant mes yeux couler et mes cheveux m'aveugler. C'est vrai que c'est le meilleur moment pour faire une crise effectivement, devant un homme comme le caporal en plus, quel joyeuse rencontre. Je suppose que si lui es la le bataillon est rentré aussi ?

J'ai finalement retrouvé cette foutu fiole et me suis empressé de respirer le gaze. En bouchant l'une de mes narines pour mieux inaler les gaz émis pas la plante dans ce petit récipient de verre.

J'ai pris de grandes inspirassions avant de retrouver mon calm, secoué par cette crise qui ma prise d'un coup a cause de cette homme.

— hey, gamine-

Je me doutais que sa avait due le surprendre. Je me suis redressé et lui es adresser un sourire. Celui qui paraissait le plus sincère dans ma réserve. J'ai essuyé mes larmes d'un revers de manche. Que devait-il penser de moi ? Quelle idiote, je viens de causer le déshonneur de ma famille en quelques secondes.

— Ne vous en fait pas pour moi, ce n'est pas de votre faute.

C'est de la leur si un moindre geste brusque me fait paniquer.

Je me suis relevé en respirant calmement. Du moins j'ai essayé. C'était sans compter sur les deux titan qui avait commencé a ce battre à côté de nous. Attendez... comment c'est possible.

Le caporal et moi avons examiné la scène, perplexe. Un titan au yeux émeraude, de long cheveux brun, des oreilles pointues. De grande et longue canines acérées. Il n'est pas comme les autres je le sent.

Creve !

A hurler Eren en même temps que le titan ai asséné un coup violent a l'autre dans un hurlement de rages. Le caporal a pris ses deux lames en mains, près a s'élancer pour en découdre. Mais je l'ai stopper net avec mon bras. Je venais d'avoir l'audace de stopper le caporal chef Livaï sans me soucier des conséquences.

— EH ! Mais tu veux crever ou quoi ! Qu'est-ce qui te prend !

Aussi rapidement qu'il était arrivé il c'était retrouvé avec une gigantesque rocher dans les bras comment c'est possible ? Tout va trop vite dans ma tête d'un coup.

Mais je savais ses intentions. Il les avait dite.

Mes yeux encore gonflé ce remirent a s'humidifier aussi rapidement, ce titan...


— C'est mon frère... Il veut reboucher le mur...



Je me suis fait dévisager comme jamais, c'était mémorable.

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Let's gooo chapitre deux poster !
Je suis pas réellement satisfaite de ses chapitres et je les trouve bâclé mais cette partie la de l'histoire ne m'inspire pas du tout alors je vais vite passer a la suis ahah !

J'espère que les premiers chapitres du prolongement des conséquences vous plaisent et on ce retrouve bientôt pour la suite !

1217 mots.

Opalee.

Le prolongement des conséquences Où les histoires vivent. Découvrez maintenant