Chapitre non corrigé𐀔
TARD dans la nuit, je me retrouve à déambuler dans les couloirs éclairés a la lueur de la lune. A pas de loups, dans un silence pesant, seul le vent qui siffle entre les feuilles ce fait entendre. Mais pourtant, moi j'entends cette voix qui murmurer dans mon dos.
« pourquoi tu résiste ? »
Alors que les larmes fendent mon visage. Une mains sur ma bouche je me retiens de ne pas exploser d'un coup, tel la bombe à retardement que je suis devenu.
Les entraînements avec Mike battait leur plein depuis plusieurs semaines à présent, les courbatures étaient devenus une douleur constante, mais elles étaient supportable, et je me savais évoluer un peu plus a chaque fois. Et tous les matins le grand brun d'1m96 tenais le même discours avec ce même surnom.
Prête prodige ?
Un surnom que je ne comprenais pas bien, je n'arriverai pas a prendre conscience de ce qu'il essayait de me faire comprendre et plus les jours passaient, plus je sentais que la puissance de mes coups augmentait drastiquement. Vue la tête qu'avait fait Reinner quand je l'ai mis a terre sous les yeux de tous et surtout sous le regard attentif de mon mentor au côté du caporal.
Sa m'avait étonné de me retrouver au centre de tous qui me demandait comment j'avais fait pour en arriver la, et c'était plutôt plaisant.
Mais ce soir. Mes démons étaient revenus en force, défonçants tout sur leurs passage. Fait chier
J'ai vraiment essayé de dormir un peu, j'avais réussi. Mais ce cauchemar est revenu. Encore. Je ne veux déranger personne, j'ai réussir a ne réveiller personne. C'est n'est pas ce soir que sa changera.
Je suis épuisé de revoir cette scène encore et encore, je ne veux plus. Je n'en peux plus.
Trop de cicatrice orne mon corps, et si celle-ci ne cicatrise pas, je ne sais pas si je tiendrais.
Je me suis dirigé vers la fenêtre qui pointait le bouton de son nez au bout du couloir, laissant passer la lumière du clair de lune sur le vieux parquet. Je l'ai ouverte et me suis penchée sur le rebord, il faisait un peu frais, mais sa je savais que sa irait. Je suis passé par la fenêtre pour emprunter l'échelle menant au toit sur le mur. Je ne sais pas qui a eu cette idée, mais putain c'est un génie.
Je préfère monter ce soir, le réveil ma trop secoué et la température extérieure n'arrange rien. le ciel a beau être dégager la température me met au défi.
les larmes me brûlent les joues, comme si ces gouttes d'eau étaient soudainement devenues de l'acide. Perlant sans répit et sans retenue.
Le bruit des tuiles sous mes pieds sonnait comme une mélodie qui inspirait au désordre. Grisant a chaque pas entrepris sur la poterie orangé. Donnant l'impression que je pourrais glisser dans le vide a chaque instant.
Je me suis assise en faisant abstraction du froid. Aussitôt, le crachage d'âme que j'avais essayé de retenir s'est libéré ,comme un oiseau auquel on ouvre la porte de son perchoir en métal.
J'ai enchaîné les quintes pendant plusieurs minutes, me donnant envie de vomir mes tripes.
Ma seul question. Qu'est-ce que j'ai foutue pour mériter sa.
J'ai remonté la manche de ma veste en laine, laissant apparaître la chaire légère basanée de mon poignet.
Je n'est rien sous la main pour assouvir cette pulsion qui m'opprime, je n'est qu'une option pour calmer ce sentiment de vide qui niche au fin fond de moi. La seul chose qui peut libérer un minimum cette sensation, c'est moi.
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Le prolongement des conséquences
Hayran Kurgu//⚠️\\ c'est histoire contient des TW alors si vous n'êtes pas alaise avec ce genre de contenu il est préférable que vous ne vous aventuriez pas ici !! Comment peut on passer de 840 a 2022 ? C'est une très bonne question. Une question au quel même l...