Ch4: cerner

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A.Jeager

« Crise d'angoisse. »

C'était la seul chose qu'avait prononcé mon frère ce jour la. Frottant sa main dans mon dos, ce n'était pas qu'une simple crises d'angoisse, les problèmes respiratoires ce mélangeait a elle m'enfermant dans un cercle douloureux d'asphyxie.

Mais celle-ci avait été plutôt simple à surmonter contrairement a d'autres. Hanji c'était approché, passant une mains dans mon dos. Et en tant que médecin je savais qu'elle pourrait sentir l'espèce de grincements dans mes poumons. Et vue le regard qu'elle m'avait lancer je savais qu'elle avait compris, mais elle n'a rien dit.

Les jours suivants nous avions officiellement rejoint le bataillon d'exploration, en avance comparé ai autre qui nous rejoindrait dans quelques semaines. Hanji avait prévu d'effectuer des tests sur mon frère, à condition que je sois présente. J'avais enlevé les sutures sur son sourcils.

Aucune cicatrice, aucune trace d'une quelconque blessure. Comme si rien ne c'était passé.

C'était déroutant.

Mais c'était moins perturbant qu'au debut.

Eren a été intégré dans l'escouade tactique, et moi comme médecin du bataillon pour le moment, par sécurité, je ne lâche pas Eren des yeux, j'étais avec eu au cas ou il ne réussirait pas a ce contrôler et blessait des soldats. Mais j'avoue que la, j'ai besoin de me poser un peu.

J'ai soupiré en posant ma tête dans mes bras, l'escouade tactique es vraiment exceptionnel. Tous son adorable — sauf un que je ne peux pas me voir en peinture—, j'ai beaucoup a apprendre d'eux. Petra est une femme charmante et attentionnée. Elle est forte et a l'écoute.

« — Tu sais, le caporal-chef es loins d'être si méchant qu'il n'y paraît. Il a un bon fond, tu verras. »

M'avait t'elle assuré, sur d'elle, j'ai beaucoup aimé cette facette d'elle. Elle tient a son supérieur, et avec son tempérament, elle le couvre énormément, s'excusant a sa place par moment.

« — Il peu semblé diabolique et c'est ce qu'il est. »

C'était exclamé Erd a son tour, et sa m'avait bien fait rire, je n'avais côtoyé le caporal que quelques heures depuis mon arrivée, et j'avais le sentiment d'avoir fait mauvaise impression face a lui, je m'étais figé face a la mort. Encore.

J'ai soupiré lacement, j'étais épuisé, cette semaine m'avait totalement vidé de mes forces mentale, tout s'est enchaîné trop vite.

Il faut juste que je me re concentré sur moi et mon environnement, facile non ? Très bien...

Les oiseaux qui gazouillent, le vent qui souffle dans les feuille d'arbres, les soufflements exaspérer du caporal. Les quelques bavardages légèrement audible et le song de la vaisselle qui tombe dans l'herbe.

Ce qui ma sortie de ce moment de réflexion.

— Merde.

Je me suis levé pour m'étirer, sous les yeux persans et attentifs du caporal et sa tasse de thé.

J'ai vue mes mèches de cheveux brune s'envoler dans un souffle violent, comme sa, d'un coup, la chaleur ma frapper de toute ses forces, en un éclair. Un explosions, c'était le souffle d'une explosion. L'air me brûlait les poumons, et putain cette que j'avais mal au crâne.

— MERDE NON PAS MAINTENANT !

Et comme un réflexe j'ai pris en mains mes armes, dégainait a toute vitesse ma lame vers le visage de la rouquine. Une lame qu'elle a remarqué quand le nuage de vapeur c'est dissipé. Elle aussi avait ses lames en mains, mais sa sa ne ma pas plus du tout.

Le prolongement des conséquences Où les histoires vivent. Découvrez maintenant