ch:12 Ouvrir les volets et laisser entrer la lumière

25 3 9
                                    

|non corrigé|

𐀔

Elle s'était enfin endormi. Et sa avait été long, parce qu'elle avait peur et que rester seul dans sa chambre aurait été compliqué. Le problème est : elle s'est accrochée a mon haut comme c'est pas permis

Si je bouge je prends le risque de réveiller cette gamine, et vue la vitesse a la quelle elle s'est endormie et les cernes qu'elle a, c'est que sa faisait déjà un moment qu'elle avait pas piqué un somme.

Je me surprend à continuer ma paperasse sur le lit comme si quelque chose me retenait de la réveiller, puis, au fur et à mesure que je gravait d'encre ces feuilles blanche, mes paupières ce sont faite plus lourd, et un long bâillement à quitter mes lèvres. Je me suis allongé à côté de la jeune femme endormi. M'abandonnant au bras de Morphée pour une chose d'on je n'avais plus l'habitude depuis longtemps.

Et pour la première fois depuis presque 10 ans

Je n'ai fait aucun cauchemar ou je revivais leurs mort. Aucune sueur froid ni aucun sursaut, seulement le bruit de nos respirations paisibles a l'unisson. Le bruit des draps qui ce froisse quand elle ce tourne et ces petits soupirs qu'elle fait en ce rallongeant correctement.

Puis la lumière qui pénètre dans la pièce a travers les rideaux ma sortie de ce moment de paix pour me ramener dans la dite réalité. J'ai grommeler et marmonné quelques chose d'inaudible que même moi je n'est pas compris en frottant mes paupières clauses.

Je me sentais comme compresser mais je n'avais pas aussi bien dormi depuis un moment, je me sentirais presque revivre. J'ai soupiré en balayant la pièce du regard, ce n'était pas super propre et j'avais pas fait attention a sa. Puis j'ai baisser les yeux vers le « poids » sur ma poitrine, j'ai froncé les sourcils en voyant la jeune brune endormi contre moi, une main de nouveau celer a mes vêtements. Elle venait de m'avouer pourquoi elle avait une peur panique du genre masculin et la, la voilà dans les mêmes draps que moi, dans le creux de mes bras. Au fond de moi sa ne me dérangera pas, mais j'appréhende sa réaction a elle. Parce qu'elle a souffert auparavant, et je ne veux pas qu'elle voies en moi le reflet de ces gamins en chaleur.

Elle a poussé un soupir, comme si elle venait de retenir sa respiration depuis un moment, puis, l'une de ses mains à frotter péniblement ses paupières clauses. Elle a grommeler puis s'est redressé d'un coup, les yeux ronds. Moi, j'ai sentie mes joues chauffer.

— Je suis désolé ! J'ai me suis endormie ici !

Ses yeux de jade virant au saphir on fait le tour de la pièce, totalement désorienté et honteuse. Les cernes sous ses deux belle ordre avaient plier bagages, redonnant vie a ce beau visage légèrement basané.

— Tss. Te blâme pas. Je me suis endormi aussi.

Puis la jeune prodige s'est calmée, elle a soupiré puis a laissé son corps s'écraser lourdement sur le matelas. Sa tête s'est tourné vers moi, me contemplant un instant.

— Vos..- tes cerne on disparu, sa te change, je te préfère comme sa !

A t'elle dit en laissant un rire cristallin quitter ses lèvres, me réchauffant de tout mon être, m'éblouissant comme ce n'était pas permis. Et putain qu'est-ce qu'elle est belle quand elle rit. Je me surprends moi même a penser sa, mais c'est la seul vérité qui tienne. Elle est foutrement resplendissante.

— Les tiennes aussi. C'est mieux quand tu ressemble pas à un mort vivant

Elle ma regarder les yeux ronds avant de ce remettre a rire.

Le prolongement des conséquences Où les histoires vivent. Découvrez maintenant