L'année a filé à toute vitesse et la fin se rapproche à grands pas. Les examens sont derrière nous, et malgré mes efforts depuis le début de l'année pour organiser un bal de célébration, Sikowitz nous a averti qu'Helene ne sera probablement jamais d'accord. Cependant, je suis déterminé à la convaincre. Tout est prêt, elle ne pourra pas refuser !
Helene : Non.
Moi : Mais Helene...
Helene : J'ai dit non, Tori, n'insiste pas.
Je quittai son bureau, découragée, et rejoignis les autres à l'extérieur avec le prof.
Sikowitz : Qu'est-ce qu'elle a dit ?
Moi : Devinez.
Sikowitz : Je suis désolé, je sais que ça te tenait à cœur.
Moi : Vous n'avez pas idée.
Jade : Ne te prends pas la tête, les bals, c'est démodé.
Beck : Viens là.
Il m'entoura de ses bras et déposa un baiser sur le sommet de ma tête.
Sikowitz : Bon... Et si on le faisait, mais sans que Helene le sache ?
Moi : Vous pensez vraiment que c'est possible ?
Sikowitz : On va tenter le coup ! Vous méritez ce bal.
Pendant plusieurs jours, nous avons tout organisé. J'étais en train de finaliser les plans lorsque j'ai reçu un appel de Sikowitz. Ça ne présageait rien de bon.
Moi : Attendez les gars, c'est Sikowitz. Allo ?
Sikowitz : Allo Tori, euh... Comment te dire ça ? Pour le bal, on a eu une complication.
Moi : De quel genre ?
Sikowitz : Je te la passe.
Helene : La complication à l'appareil.
Et zut...
Moi : Helene...
Helene : Je suis désolée d'en arriver là, mais tu vas annuler tout ça. Et je ne veux plus qu'on en parle, sinon je vais devoir prendre des mesures, c'est bien compris ?
Moi : Oui madame...
Je raccrochai. Et voilà, tout est anéanti.
Moi : Remballez tout, on doit annuler...
Fille : Je n'arrive pas à croire que le bal ne va pas avoir lieu.
André : Ce n'est pas grave, c'est juste pour danser.
Fille : Je sais, mais j'étais impatiente de danser avec toi, surtout les slows. C'est là où on est collés l'un contre l'autre, mes mains se placent ici, et les tiennes se placent... là.