1. 𝘐𝘵 𝘸𝘢𝘴 𝘢 𝘨𝘰𝘰𝘥 𝘥𝘢𝘺 ♫

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𝒫𝒹𝓋 : 𝒴/𝒩 ✰

Nous sommes le 28 octobre 1995, l'année des collisions entre n'importe quel gangs. J'aurais bien aimé assisté à une bataille mais je devais aussitôt aller à mon lieu de travail pour servir des clients.

Le taux de feuilles mortes m'empêche de marcher correctement, ce qui retarda mon vingtième jour de travail.

Comme vous le doutez bien, je ne vais plus à l'école.

En réalité, je faisais parti d'un gang qui a été dissous il n'y a pas très longtemps.

Le vice président a été assassiné donc le chef l'a dissout. Dommage, je l'es admirais trop.

J'étais aussi une des fondatrices de ce gang, je dirigeais la première section originale comportant 34 membres du gang.

J'ai même un tatouage qui est le symbole de l'œil du gang sur mon poignet.

Mais bon, j'ai dû rapidement trouver un travail facile à obtenir et qui est donc : Exploitante de café.

Je sais que c'est pas le job qui rapporte le plus, mais tout les collèges me connaissait vu que je faisais parti des bâtisseurs du gang 𝐵𝓁𝑜𝑜𝒹 𝐸𝓎𝑒𝓈 l'un des plus dangereux quand il était encore actif.

J'habite dans le même bâtiment du moins, à l'étage où se situe le 𝑀𝑜𝒷𝓎'𝓈 𝒞𝑜𝒻𝒻𝑒𝑒, donc ce n'est pas vraiment une grande habitation, mais ça me suffit.

Pourquoi suis-je en retard alors que j'habite dans le même bâtiment ? Je suis juste parti faire du sport, là je suis sur le chemin du retour.

-C'est chiant l'automne ! Exclamas-tu en rentrant dans la cafétéria. Je préfère l'hiver, c'est le temps le plus agréable pour dormir.

Ma collègue tourne sa tête vers moi puis s'exclame à son tour.

-Va vite mettre ta tenue avant que le patron te vois arrête de penser qu'à dormir !

-Ouais ouais... Acceptes-tu en marchant lentement vers les escaliers.

-Plus vite ! Il va bientôt arriver et le café va bientôt s'ouvrir ! C'est ton tour aujourd'hui.

-J'ai mal aux jambessss ! Tu te plaignais sous le regard blasé de ta collègue.

Tu as eues la chance d'avoir des bonnes personnes avec qui travailler.. Mais tu sais toujours pas comment peuvent t'ils te supporter.

-Aller !

Elle te poussa dans les escaliers pour que tu montes et tu décidas enfin de te bouger.

Tu soupiras une dernière fois en arrivant dans ton petit domicile.

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𝘓𝘦 𝘧𝘭𝘦𝘮𝘮𝘢𝘳𝘥 𝘢𝘥𝘥𝘪𝘤𝘵 𝘢̀ 𝘤𝘦 𝘤𝘢𝘧𝘦́Où les histoires vivent. Découvrez maintenant