Amor o Vendetta (EN RÉÉCRITURE)

Chapitre 15 : Bal de munitions

HI BITCHIES 💋

Aujourd'hui new chapitre.

Je suis contente j'aime trop ce chapitre là omg 🤭

Je vais directement vous laissez on se retrouve pour l'update 👀

⚠️TW : Certaines scènes de ce chapitre contient des scènes passibles de heurter la sensibilité de certains, faites attention à vous <3

Bonne lecture ! 🍒

Kiss 💋

***

MASON

Concentré sur mes dossiers, je ne vis pas ma tante rentrer dans la pièce.

Ma tante. Cette femme si encombrante.

-Oh, buongiorno, qual è l'immenso onore della tua venuta per me.
(Oh, bonjour, que me vaut l'immense honneur de ta venue)

-La ragazza
(La fille)

Mon visage plongé dans mes papiers se redressa automatiquement.

-Comment ça ? Dis-je en fronçant les sourcils.

-Qui est elle ? Plusieurs personnes t'ont vu au côté d'une jeune fille blonde, elle ne fais apparemment pas partie du cartel.

-Elle en fais partie.

Son visage crispé par l'incompréhension me dévisageait.

-Ah oui ?

-Je l'ai embauché il y à plus d'une semaine. Elle est très performante.

-Mason.

Putain elle va me casser les couilles.

-Quoi encore.

-Tu n'aurais pas dû-

-Le patron ici c'est moi. Je décide qui je dois embaucher où non. J'ai aussi le droit de virer qui je veux.

-C'est une menace ?

-Un rappel.

-Ne fini pas comme ton père, tu est le seule espoir de cette organisation. Il ne reste que toi en tant que Giordanno.

L'évoquation de mon père fit bouillir mon cerveau. Je déteste parler de ce fils de pute.

-Ne me compare pas à mon père.

-Je ne t'ai pas comparé à lui simplement-

-Chiudi la bocca. Je ne veux rien entendre. J'ai d'autre chose à foutre que d'écouter des conneries à propos de lui. Linda est ma nouvelle associée que ça te plaise ou non j'en ai rien à foutre c'est pas toi qui décide.
(La ferme)

La colère ne redescendais pas, il me fallais une clope.

-Bien, je t'aurais prévenue.

Sans un mot de plus elle sortit claquant la porte derrière elle.

Cette femme est un déchet, elle est pareille que lui.

Je sortis mon paquet de cigarettes, brûlant l'extrémité de l'une d'elle avant de la porter à ma bouche.

Mon père ce salaud, ma tante cette attardée, elle à toujours été de son côté.

Bordel je les déteste tous.