série: L'otage. tome 4. Salva'

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Elle gémit déjà de plaisir quand mes doigts trouvent son petit téton, dressé sous le tissus. Elle sursaute en sentant ce nouvel assaut et redresse la tête pour me regarder faire. Je la caresse un moment, puis presse le sein entier tandis qu'elle se mord la lèvre, inconsciente de son charme. Ma main relâche sa prise et je dégage son buste de la robe. Pas de soutien gorge. Je vais devenir fou. Je suis tendu comme jamais. Ma bite est tellement dure que j'ai l'impression que je pourrais m'en servir pour casser des briques...

Toujours les yeux dans les yeux, je baisse les lèvres jusqu'à son sein et le caresse de ma langue. J'embrasse ensuite le second. On dirait deux adorables framboises...
"- tu es tellement belle Liv..."
Sa robe glisse un peu plus et j'embrasse son petit ventre désormais.
"- patron..."
"- c'est tellement sexy dans ta bouche cuore mio..." Et elle repéte, subjuguée
"- patron..." D'un ton plaintif.

Je glisse ma main sous la robe. Elle ferme les cuisses timidement mais après quelques minutes de cajoleries, elle les entrouvre et ma main atteint une petite culotte en coton. Un petit effleurement et elle se cambre, réclamant plus.
Étant à bout de patience, je me redresse et la soulève contre mon torse. J'ai une de ses fesses dans la main et je la pétrie comme du bon pain, tandis que ma main, glissée dans sa nuque, ne sert qu'à plaquer sa bouche contre la mienne. Elle se laisse emporter, enroulant ses jambes autour de ma taille et ses bras autour de mon cou.

J'escalade le perron en enjambant les marches quatre par quatre pour la plaquer contre la baie vitrée...  Bon sang, si elle n'est pas nue dans mes draps dans moins d'une minute, ma bite va déchirer mon pantalon ... Un léger grondement s'échappe de ses lèvres et je la plaque contre le mur tandis qu'elle se cambre et se frotte contre moi. Ses mains explorent mes cheveux mais je veux la prendre dans les règles. Pas vulgairement contre un mur.

"- attendez... On va réveiller le petit..."
"- aucune chance..." Je pousse la porte et elle est surprise en voyant que les affaires du petit ont été déménagées dans la journée.
"- mais qu'est ce que..." Je la fais taire d'un baiser et la dépose sur le lit, bandant à l'extrême. La robe est la culotte sont attachées, ma chemise enlevée sans que je m'en rende compte et mon pantalon tout juste ouvert que je porte déjà mon érection à sa féminité.
Une petite caresse sur son clitoris et je sens à quel point elle est déjà humide sur le bout de mon gland.
Je pousse à peine et je sens les chaires contractées contre mon membre.
"- dis moi d'arrêter si je te fais mal"
Je pousse un peu plus et ses ongles s'enfoncent dans mes avants-bras. J'immobilise mon sexe et me penche pour déposer un baiser sur ses lèvres. Une grosse larme jaillit au coin de ses yeux.

"- ne pleure pas cara mia... Tu es tellement belle..." Je la couvre de baisers et je sens sa petite féminité de détendre autour de mon membre, alors je plonge  avec délice dans les confins du plaisir.