[DIX-SEPT.]

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Ils étaient arrivés devant sa maison, sous le soleil du Pays Basque. Elle avait ouvert la porte sur un énorme salon qui était aéré, des magnifiques meubles le décorait et tout était de goût. Charles avait ses deux valises dans les mains qu'il avait posé à l'entrée avant d'admirer la maison.

"C'est magnifique Prudence, je, j'ai pas les mots. C'est si calme."
"Je te l'avais dit, viens je te montre ta chambre et le reste de la maison."

Elle l'avait emmené dans une pièce au fond d'un couloir vitré qui donnait sur la forêt par laquelle ils étaient arrivés. C'était une chambre simple et grande avec une salle de bain. Les murs étaient de pierre et les meubles en bois.

"Ma chambre est la porte juste à côté, elle lui avait dit en pointant du doigt la concernée, oh et j'allais oublier, elle c'était dirigée vers les rideaux fermés, monsieur Leclerc, vous avez vu sur l'océan."

Elle avait ouvert les rideaux sur une plage entre deux falaise. Il était bouche ouverte devant la baie vitrée. C'était comme si ils étaient seuls au monde devant cet océan.

"Notre terrasse est jointe, si tu veux je te montre le reste."

Toujours sous le choc, il l'avait suivit sans dire un mot. Elle lui avait montré sa propre chambre qui devait être plus grande que la sienne. Il y avait un lit qui trônait au milieu de la pièce devant, à nouveau, des baies vitrées. Toujours dans cette même pièce une salle de bain ouverte avec une baignoire et un simple mur en pierre qui servait de séparation.

Le reste de la maison restait dans le style rustique. Elle avait aménagé un bureau dans une pièce baignée de lumière. Et enfin la cuisine était ouverte sur le salon.

"J'aime tout, c'est tellement, je, j'arrive pas trouver le bon sentiment. Il y a une ambiance dans cette maison tellement envoûtante. Tout est ouvert sur la nature, la dose de lumière qui rentre par les vitres fait tellement de bien."
"Merci beacoup, j'y ai passé beaucoup de temps, c'était important que je m'y sente bien."

Elle avait un sourir qui remontait jusqu'au oreille, ça voulait tellement dire pour elle, plus particulièrement venant de lui.

"Je te laisse, faut que je commence à travailler sinon je vais jamais m'en sortir, fait comme chez toi et si jamais tu as besoin d'aide viens me demander."

Prudence était repartie et en un instant de seconde il était tout seul. Il voulait refaire le tour de la maison, s'imprégner de cette atmosphère. Il allait commencer par le salon avant qu'il n'y voit quelque chose qui le perturba.

Il avait toquer trois coup au bureau où se trouvait Prue et elle lui avait dit de rentrer.

"Excuse moi de te déranger mais, c'est normal qu'il y ait un serpent dans ton salon ?"
"Oui, c'est Eros."
"Attends, il était un peu effrayé, pour quelle raison tu aurait un serpent chez toi ?!"

Elle c'était mise à rire, encore et encore qu'il trouvait ça vexant.

"Arrête de rire, tu as un serpent dans ton salon, ça va pas !"
"Tu as peur des serpents ! C'est pas vrai ! Elle était incrédule face à cette information. Mais je suis désolé il bougera pas, c'est mon animal."
"Mais si tu voulait un animal de compagnie prend en un qui est un minimum affectif et mignion, genre un chien ou un chat, mais pas un SERPENT !"
"Mais il est bien capricieux comme bonhomme celui là !Avait elle dit sur un ton ironique. Écoute je l'aime beacoup et il m'est cher alors évite juste de passer devant et ça va aller."
"Évite de passer devant qu'elle me dit. IL EST DANS UN VIVARIUM DANS TON SALON, comment je passe pas devant ?!"

Et elle avait encore rigoler, cette fois ci il était pas vexé il l'avait fait exprès. Mais bordel qu'est-ce que il aimait l'entendre rire.

"Va sur la plage si tu veux, j'en ai pas pour plus d'une heure et après on cuisine."

Prudence avait remis ses lunettes sur son nez et il avait suivit ses ordres. Il était aller jusqu'à l'eau, trop froide à son goût. Il avait immortaliser la vue devant lui avant de la mettre en storie.

Quand il était revenu, Prudence était déjà dans la cuisine, dans une tenue beaucoup plus décontractée qu'il avait l'habitude de la voir sur le paddock

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Quand il était revenu, Prudence était déjà dans la cuisine, dans une tenue beaucoup plus décontractée qu'il avait l'habitude de la voir sur le paddock. Il aimait bien, il voyait tout ses tatouages sur ses bras et ses jambes. Elle avait finit par relever la tête et le voir l'observer.

"Je sais je suis jolie mais s'il te plait bouge et viens m'aider."
"Oui chef."

Ça les avaient fait rire. Ils avaient mangés dans une ambiance légère et drôle. Tout les deux adoraient la présence de l'autre. C'était comme si elle était rassurante, compatible dans un sens.

Pour tout être humain, croiser quelqu'un avec qui ça fonctionne immédiatement c'est quasiment impossible, mais pour c'est deux là c'était naturel. Ils ont tout de suite cliqué avec l'autre, comme si leurs âmes avaient trouvés la partie qu'elles avaient perdues.

Après le dîner, chacun des deux étaient repartis à leurs occupation. Il avait appelé sa famille et ses amis et elle avait continuer de travailler dans sa chambre.

Aux alentours de 3h du matin, elle avait toujours les yeux fixés sur son écran, à chercher la réponse à son problème. D'un coup, une sorte de cri mélangé à des pleures c'était fait entendre de la chambre où dormait Charles. Elle y avait pas trop réfléchis, comme un reflex, elle avait laissé son ordinateur sur son lit et ouvert la porte de se chambre.

Il était là, essoufflé et en pelure. Prudence c'est dirigée jusqu'à la place libre à coté de lui et il l'avait saisie pour se réconforter comme un enfant apeuré.

Elle avait compris qu'il venait de cauchemarder, mais sur quoi ? C'était bien le mystère. Alors elle fesait ce que elle savait de mieux faire : être la pour lui, ou dans le cas général, pour les autres.

Prue avait enroulé ses bras autour du dos nu de Charles, qui lui, était déjà calé contre son buste avec une respiration lourde. Elle caraissait ses cheveux pour le calmer au mieux.

"Ça va aller Charles, je suis la, je te lâche pas. Promis. Respire avec moi. Ça va aller. Il avait resserré son étreinte autour de sa taille. Je te jure je suis là, je bouge pas, elle continuait à parler pour le distraire de ce qui se passait dans sa tête, c'était qu'un rêve, tu est avec moi ça va."

Il écoutait son coeur battre et il se sentait apaisé petit à petit. Il finit par s'endormir entouré de Prue et elle le suivit quelques minutes après, trop fatigué et certainement à sa place dans ses bras.

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NDL : Coucou tout le monde !
Je suis à l'heure et vous avez de la chance car j'etait perdue dans mes révisions et failli oublier de le poster.
Je suis super heureuse d'avoir enfin vu des voitures sur une piste même si les essais c'est jamais aussi passionnant que une course.
J'espère que ça vous as plu, le prochain la semaine prochaine après le GP !!
Rendez-vous au prochain chapitre.
Dearly DolceFarNiente <3.
26/02/2023.

Also ans Perhaps. | Charles LeclercOù les histoires vivent. Découvrez maintenant