This life ||

Ben

La soirée avait été longue et a la fermeture du bar nos quatre invités sont partis en taxi. J'avais Laura pour moi seul. A peine la porte barrée elle était penchée devant moi pour défaire les lacets de ses talons, je commençai donc a me frotter sur son cul si moulé dans cette robe. Je la pris par sa longue chevelure noir pour la forcer a se lever pour être collée sur moi. Ce qui la fit gémir de surprise, j'aimais tellement l'entendre gémir. Je pris sa hanche de ma main libre et la colla encore plus a moi pour qu'elle sente bien a quel point j'avais envie d'elle.

- Tu a aimé ma petite danse a ce que je peux sentir daddy. dit-elle joueuse.

Ça me faisait perdre la tête quand elle m'appelle comme ça. Je pris d'assaut son cou avec ma bouche, laissant quelques marques. Elle gémit doucement. J'aimais lui faire des suçons, c'était comme si elle était a moi. Je lâchai ses cheveux et elle se tourna vers moi. Je pris son visage entre mes mains en l'embrassant sauvagement. Je la pris par la main et la conduisis vers le sofa où je la couche. J'ai relevé sa robe et je commence a lécher l'intérieur de ses cuisses en laissant aussi des marques sur mon passage. Elle gémissait doucement puis lorsque je me suis mis a lui bouffer l'entre-jambes, elle mis ses deux mains dans mes cheveux. Elle gémissait si fort et ça m'excitais tellement, presque autant que ses danses d'il y a quelques minutes. J'introduisis deux doigts en elle ce qui lui fit crier mon nom. Depuis que je l'avais vue en petite robe au centre commercial il y a plus d'un mois et demi, je rêvai de l'entendre crier mon nom de plaisir. Puis je repensai a cet imbécile avec sa main sur sa cuisse lui parlant a l'oreille, j'avais été vert de jalousie, même si elle n'était pas a moi. À cette pensée mes va et vient en elle devinrent plus violent et elle cria de plus en plus fort. Dans un grand cri elle jouit si fort que s'il y avait toujours eu des gens en bas, ils l'auraient entendu. Je retirai mes doigts et baissai mon pantalon pour la pénétrer violement. Elle était si mouillée! Je me suis couché sur elle pour qu'elle plante ses ongles dans mon dos, ce qui me faisait un effet pas possible. 

Elle jouit deux fois très fort et je fini par me retirer d'elle pour recouvrir son ventre de mon sperme. Je pris le temps de lui essuyer le ventre avec des mouchoirs puis ça a cogner a la porte extérieure. Elle redescendis sa robe et replaça ses cheveux pendant que je remontais mon pantalon pour aller ouvrir a la porte. Les rideaux étant fermés je ne pouvais pas voir qui c'était, j'ouvris la porte puis mon sang se glaça dans mes veines. Ma mère se tenait devant la porte avec une valise a la main. Je restai figé comme ça devant la porte. Je ne l'avais pas vue depuis onze années. Elle me poussa et entra dans l'appartement. 

-Bonjour a toi aussi mon chéri. Wow quel bel appartement tu as! Tu ne me présente pas ton amie où c'est simplement ta bimbo pour se soir? dit-elle, dégoutée, en voyant Laura.

-Maman qu'est-ce que tu fais ici? Comment tu m'a trouvé? dis-je complètement perdu. 

-J'ai appelé ta grand-mère Clarence et m'a dit que tu habitais ici. Je me suis dis qu'une petite visite de ta maman chérie ne te ferai pas de mal. Alors tu me la présente où quoi? dit-elle en pointant Laura. 

-Maman je te présente Laura, ma coloc. Laura voici ma mère Viviane. dis-je encore sous le choc. 

-Bien alors je vais prendre la chambre d'invités, ta grand-mère m'a dit que tu en avais une de libre. Je suis exténuée, donc bonne nuit mon chéri. me dit-elle en me glissant un baisé sur la joue. 

Puis elle disparue. Laura me regardais avec fureur. 

-Ta «coloc» hein? me dit-elle sèchement. 

-Laura, j'ai pas réfléchi avant de parler. Je suis trop sous le choc. 

-Alors réfléchi en dormant ici ce soir. Moi je vais me coucher. dit-elle en se levant d'un bon puis en partant vers ma chambre. 

Après quelques secondes je parti aussi vers ma chambre, elle ne pouvait pas être sérieuse. J'étais sous le choc et je n'ai pas réfléchi une seule seconde en plus je ne pouvais pas définir la nature de notre relation. Elle avait barré la porte! Je donnai un grand coup dans la porte puis parti vers le salon.     

Je n'ai pas réussi a dormir beaucoup cette nuit là, trop frustré contre moi-même.