« Chapitre VIII : C'est mon frère d'une autre mère, mon frère dans l'âme »

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        -rue de Paris, 19h20-

 

  « _ Comment ça c'est compliqué ?

    Karim – Juste, je te garantie parce que je suis pas sûr de sortir  avant ton mariage.

    _ Moi je crois que tu vas sortir. Tu vas tenir le coup parce que si t'es pas là frère, moi je me marie pas c'est tout.

    Karim – Vas-y –rire- c'est pas bien de m'aimer autant tu vas finir par te marier avec moi frère.

    _ -rire- Barre ta race de là.

    Karim – Vas y il y a un gardien je te laisse frère. »

Il raccroche. Je voyais Zeyna qui me regarde avec insistance. Je me tourne vers elle et lui dit.

  « _ Karim est en train de baisser les bras et ça fait peur. Ca a vraiment l'air d'être dur là bas.

    Zeyna – Miskine, c'est chaud pour lui. Faut qu'il essaie de tenir le coup.

    _ Ouais, vas y je fatigue là on rentre ?

    Zeyna – Bah ouais vas y. »

On rejoint la voiture puis je la dépose chez elle ensuite je vais chez moi. Je raconte la soirée à ma mère et je lui donne le plat que la mère de Zeyna m'a donné pour elle. Ma mère c'est abusé comment elle aime trop la bouffe rebeu. Je la laisse dans son euphorie puis je monte dans ma chambre. Quand je recois un gros verre d'eau dans la gueule.

   « _ Adel ! Amina je vais vous enculer vos races courrez vos mères !! »

 Je les entends rire et courir ! Il me soule ces petits c'est trop. Faut que je les frappe un bon coup puis ils vont se calmer. Je suis sûr que c'est Adel qui la engrainer. Je cours après eux puis je rattrape Amina  par les cheveux.

   « _ -crie- Yemma j'en fais quoi de ta fille ?

     Mama-crie aussi- Frappe là un bon coup ça va la calmer.

     AminaYemma t'es sérieuse ? Tu le laisses me frapper ?

     Mama – Tu l'as cherchée ma fille !

     _ Bon t'as entendu ta mère. »

Je commençais à la chatouiller parce que je sais qu'elle déteste ça. Elle explose de rire.

   « Amina – Non vas-y yaya (*grand-frère) s'il te plaît lâche moi je te jure j'arrête.

      _ Vas-y tu me fais tiep –je la lâche-. »

 Je commençais maintenant à chercher après Adel mais cette tapette s'est caché. Il est con parce qu'on dort dans la même chambre –rire-. Je monte dans la chambre et je le vois se cacher vite sous son lit.

    « _ Vas-y sors de là je t'ai vu petit bouffon.

       Adel – Je suis pas là frère. »

L'avenir d'un métissage - TOME IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant