Je ne sais pas si je t'aime

Chapitre 20

-Ba putain ça fait du bien d'être à la maison...

-Ouais...

On rentra dans la maison et j'allume la lumière. Je pose ma valise près de la porte et Alain fit pareil. On vient de rentré d'une semaine à Rome et quesque c'est crevant quand même... Je ne prends pas la peine de faire quoi que ce soit et m'allonge sur le canapé. Je ferme les yeux. Et je sens quelque chose, ou plutôt quelqu'un s'étaler sur moi.

-T'es lourds...

-M'en fous... dit-il avant de bailler

Je referme les yeux avant de m'endormir sur place. 

C'est le soleil qui me réveil. On est toujours sur le canapé et Alain dort encore. Je regarde mon téléphone qui indique deux semaine. C'est le nombre de semaines avant le mariage. Je vais m'habiller et j'écris un message que je laisse sur la table avant de partir chez mon frère pour récupérer Simon. J'arrive en trente minutes et toque. C'est Nicolas qui ouvre.

-Salut grand frère!

-Salut...

-Alain est pas là? dit-il en le cherchant du regard

-Il dort encore...

-Aller entre.

J'entre donc et m'installe à la table où il n'y a personne. 

-Chocolat? demande t-il

-Ouais s'il te plait... 

J'aime pas le café. Il me le prépara et on discuta pendant plusieurs minutes. Avant qu'on entend des pas précipiter dans les escaliers.

-Papa? demanda une voie que je connais bien à présent

-Salut Simon.

-Papa!

Il descendit les marches comme il ne le fera jamais pour aller au collège et se jeta dans mes bras.

-Tu m'as manqué... murmura t-il

-Toi aussi tu m'as manqué mon chérie. 

Je le serre fort dans mes bras et l'embrasse sur la tête. 

-Salut tonton. dit Sébastien en descendant à son tour

Ce fut bientôt le tour de Harry de descendre puis de Sonia. Et puis finit par descendre la petite dernière qui se précipita à son tour dans mes bras, j'ai nommé Ambre! 

-Alors c'était bien l'Italie? demanda ma belle sœur

-Ouais.

-J'espère que tu nous à fais des photos au moins... 

-Mais oui t'inquiète... 

-C'est quand tu nous dis ça que je m'inquiète. dit Nico

Je lui tira la langue et il fit de même avant que nous éclations de rire. 

Je partis de chez lui avec Simon presque une heure plus tard. On parla un peu dans la voiture. On était pas près psychologiquement à ce que nous allions trouver à la maison. C'est à dire Alain en pleure tenant une lettre à la main. 

-Mes parents viennent au mariage. dit-il