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Première ouverture,Deuxième ouverture,Troisième ouverture

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Première ouverture,Deuxième ouverture,Troisième ouverture.Mes pleures et mon sang sur la couverture.



Je me réveille en sursaut,je touche mon cœur,il bat vite,j'ai l'impression que dans pas longtemps il va lâcher,j'ai chaud extrêmement chaud,je respire fort,les larmes coulent.

Je regarde l'heure il est que 4h34.

Je viens de faire une crise d'angoisse.

Non je veux pas l'accepter,pourquoi maintenant?

Je veux pas recommencer à faire des crises d'angoisse tout les soirs,j'avais arrêter.

J'essaye de me lever de mon lit mais je me lève à peine que je tombe par terre,ma tête cogne contre l'étagère,je frotte ma tempe avec ma main.

Ma crise augmente,j'arrive pas à m'arrêter,ça veut pas s'arrêter ça s'empire,en plus j'ai mal à la tête,je pleure à chaude larmes,j'ai mal au coeur,j'essaye de parler ,de regarder autour de moi pour me calmer mais j'y parviens pas.

Après 20 min me voilà calmé,de cette crise d'angoisse.

Moi:pourquoi ?

Je comprends plus rien,je suis censé aller mieux,mais non,je sens que je vais pas aller mieux ici.

Le fait d'avoir fait une crise après tant d'années sans en avoir fait,signifie beaucoup pour moi et je sais que si je l'ai fait comme ça c'est que ça va pas être la dernière fois,après la dernière crise d'angoisse que j'ai faites j'allais mettre fin à mes jours,je le voulais à tout pris.

FLASHBACK

Moi:Shayma.

Shayma:arrête Rawda dis moi ce qui ne va pas ? !

Moi:mes crises s'empire Shayma.

Elle me prend dans ses bras et pleure,elle a peur pour moi et je la comprends elle sait que je suis à deux doigt de mettre fin à mes jours.

Shayma:a..

Moi:je vais acheter le pain.

Elle hoche la tête et se recule de moi,je lui adresse un sourire rassurant,je veux pas qu'elle s'inquiète et je veux pas qu'elle m'aide qui pourra m'aider ? Personne. Je suis arrivé à un stade où j'ai plus goût à rien,je m'intéresse plus à rien,j'y vais même plus en cours,j'ai perdu la notion du temps.

Je descends les escaliers,et sors du bâtiment,je suis habillé d'un jogging noir et un long gilet de la même couleur,j'ai ma capuche,et les cheveux détachés,j'ai des cernes foncé j'ai clairement le visage d'une dépressive.

Je marche jusqu'à la boulangerie,pour y aller il faut emprunter une petite ruelle étroite,mal fréquentée mais dans ma cité on est habitué à la prendre et rien ne c'est rien passer ici.

Rawda ||On dit que les belles histoires ne se finissent jamais...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant