Chapitre II

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En Italique = souvenir
En Gras = Haut Valyrien

En fesant volte-face je me retrouver face Alicent, qui avait un regard surpris par le saut que j'avais fait. Se rendant compte qu'il était mal venu de touché un membre de la famille royal sans autorisation elle retira sa main comme si ma peau était du feu et que la garder dessus la brûlerai, elle fit une petite révérence devant moi. Je déteste ces formes de politesse et d'éthique, '' Relève toi Alicent, tu ne fait pas ça avec Rhaenyra alors ne le fait pas avec moi. Compris ? '' lui dit je avec douceur mais aussi avec une pointe de sévérité pour qu'elle prenne mes paroles au sérieux.
'' Oui, excusée moi princesse '' dit elle la tête baissée, puis son regard fixa les tâches de sang sur mes jupons. Elle lève la tête et me regarda dans les yeux en chuchotant '' Qui est blessé ? Je doit faire venir le Mestre ? Est-ce vous qui êtes blessé ? '' en fessant le signe de se taire je lui répondis que j'allais bien et que je devais soignée quelqu'un blessé au bras. Avec politesse, et surtout curiosité, elle me demanda si je voulais être assisté pour soignée cette personne. Mais j'ai décliné poliment, si elle voie que c'est mon oncle elle rapportera tout a Rhaenyra qui ne sera pas ravi que notre oncle n'est pas était aller la voir en première et sûrement à son père qui ne manquera pas de la communiquer à mon père en déformant sûrement des passages de cette histoire. Pour m'assurer qu'elle ne me suive pas j'ai pris un détour vers ma chambre pour prendre une nouvelle robe, et puis j'ai regagné la bibliothèque en fuyant toutes personnes qui pourraient me voir. Quand je suis rentré dans la bibliothèque ce que j'ai pu y trouver me troubla, mon oncle fredonné une berceuse en Haut Valyrien et ne sembla pas s'arrêter quand il me vie. J'installa tout le matériel et pris un bout de torchon avec de l'alcool dessus, l'appliquement doucement sur la plaie. Malgré des petits soupirs de douleurs mon oncle continua sa berceuse, les bruits qu'il fessait dès que je nettoyé me fit avoir un rictus. '' Qu'est t-il si amusant ma nièce ? '' dit il en me regardant avec curiosité '' Vos bruits, les femmes vivent leur menstruation tout les mois et l'accouchement de leur enfant en étant plus silencieuse '' dit je amusé
'' Alors vous n'avez jamais était sur un champ de bataille, les hommes souffres plus en fessant la guerre. Et un accouchement est bruyant petite nièce '' ce sourire apparu encore sur son visage, comme si il avait les réponses à tout car il est née homme, j'aimerais lui arracher de son visage '' Pour votre gouverne, si les femmes étaient au pouvoir il n'aurai pas de guerre. Nous sommes plus diplomate, on ne prend les armes que au dernier recours '' lui répondi-je tout en continuent mes soins '' Maintenant continuer de chanter, sa me permet de ne pas tremblé quand je vais devoir recoudre ça ''. Sans protesté il repris sa berceuse pendant que je préparer le fil et l'aiguille, passant l'aiguille au dessus d'une flamme pour la nettoyer. Avant de commencer je lui tendit le lait de pavot, puis je fit la première boucle dans sa chair. Je me mis a chantonner avec lui pendant que je refermé sa plaie, '' Cracheur de feu, meneur ailé, mais deux têtes, chantent à la troisième, entends ma voix, les flammes ont parlé, et le prix a était payée, avec des mots de feu, avec des yeux claires, pour lié les trois, pour toi je chante, nous nous unissons, et avec trois têtes, nous voulons, comme nous y étions destiné, magnifiquement libre '' chantons nous ensemble, cette berceau il m'avait conseillé de la chanté quand j'ai apprivoiser mon dragon. Une fois recousu, je mis le bandage autour de sa plaie. '' Vous allez parlé de vos découvertes a la reine pas vrai ? '' me demanda t-il en montrant les livres que j'avais mis de côté '' Vous connaissez déjà la réponse mon oncle alors pourquoi me poser la question ? '' lui dit je légèrement irrité, '' Eh bien, disons que j'essaie de ravivé de vieux souvenirs...quand vous me confiez vos rêves...et d'autre '' souri mon oncle en laissant de nombreux sous entendu. '' Taisez vous, maintenant débrouillez vous pour le reste '' lui crachait je en me levant, prenant ma robe et les livres. Quittant vite les lieux sans que mon oncle puisse dire quoi que ce soit d'autre, allant au plus vite dans la chambre de ma mère. Ne prenant pas la peine de toqué, j'ententre en appelant ma mère. Pour la trouver presque allongé sur un canapé, un éventail a la main pour s'éventé. Quand elle m'entendit elle se tourne vers moi et s'exclama avec un sourire rayonnant '' Visenea, ma précieuse fille, tu me manquée '', oubliant les bonnes manières et l'éthique pour me jeté a tête baissée dans les bras de ma mère. Sans oublié sa bosse de grossesse qui prend de plus en plus de place, être dans ses bras me réconforte et me fait oublier que je doit être une parfaite princesse.

Sans que je ne m'en rendent compte, le soleil commença a ce couché. Niché dans les bras de ma mère, je n'avais aucune envie de la quitté. Mais je devais dîner avec Rhaenyra et père, je devais le persuadé de me laisser partir a Essos. Je sorti du réconfort des bras de ma mère pour m'étirer et ramassé les livres éparpillés autour de nous quand ma mère posa une question que je n'avais pas entendu depuis longtemps '' Après avoir était a Essos, va tu te mariée ma fille ? J'entends les servantes parlé de ce que disent les nobles de la cours a ton sujet, que tu est une vieille fille. Des rumeurs circulent que tu a des amants mais aucun fiancée, et que ton oncle est un de tes amants. Je veux que tu sois mise a l'abri par un mari, que tu prenne ma place sur cette couche pour avoir tes propres enfants '' me dit elle avec un peu d'inquiétude, je déteste cette question. Je ne voulais pas être liée à un homme, même si j'avais ce désire d'être mère je ne voulais pas être contrainte de devoir exaucé les désirs d'un homme. '' Mère, je ne veut pas me mariée. Je veut être libre, et puis en me mariant mon rang deviendra inférieure. A part si j'épouse ce bout de chou mais je sera déjà trop vieille, et en deuxième choix je devrais épouser mon oncle et franchement je n'en est pas envie mère '' lui dise en tenant les livres contre ma poitrine, au fond de moi brûlé un sentiment étrange. Comme si j'allais regretter ce que je lui disait a l'instant, déçu de ma réponse elle baissa le regard et dit plus bas '' Tu aimé beaucoup ton oncle enfant, tu disait vouloir l'épouser. Tu pourrais si tu le demande a ton père ''. A mon tour ce fut moi qui baissa la tête, ma mère ne savais pas ce que si je ne voulais pas me mariée c'est parce que je cachais un secret depuis l'adolescence...

Les Dragons de Feu et de GlaceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant