Bonsoir, le chapitre est enfin là.
(TW : scène à caractère sexuelle)
sur ce,
Maray:
L'une des choses qui me met de bonne humeur le matin, c'est l'odeur du café. C'est sûr ce parfum que je me réveille chaque jour. Cette odeur de café si particulière m'avait suivie durant toute mon enfance. Et c'est l'une des odeurs qui me renvoie à de très jolis souvenirs.
Mon père était un grand amateur de café.il en raffolait, il pouvait boire toute la cafetière seul si ma mère la lui laissait sur la table. Mon père avait l'habitude de se lever et d'associer son petit-déjeuner à la prise de son premier café.et je me souviens qu'il aimait toujours la prendre sur le balcon, car il appréciait le mouvement matinal de notre quartier. Et lorsqu'on mangeait le midi, il finissait toujours son repas avec un café noir bien corsé.
Il me manque énormément.
La vie est part fois injuste. C'était une bonne personne. Il était un père aimant, un frère Fidèle et un ami loyal. Mais il est vrai que la mort emporte les plus belles personnes et les plus pures.
Je hoquette de surprise en voyant le café déborder sur la cuisinière. Je m'étais tellement perdu dans mes pensées que je n'avais pas remarquées que le café était déjà prêt. Précipitamment, j'éteins le feu et prends un torchon pour prendre la cafetière à fin de la déposer sur la table. Un long souffle quitte mes lèvres tandis que je me dirigais vers un des placards du bas pour saisir un mug blanc avant de me servir un peu de cette boisson chaude. D'un pas décidé, j'avancais vers le balcon en langeant le salon pour la siroter, tout en profitant du calme matinale de mon beau quartier.
En ce moment, il faisait un peu frai le matin, donc j'en profite. Et je profite plus encore aujourd'hui car c'est le week-end. En temps normal, le week-end, je ne me réveille pas avant midi. Mais dernièrement mes nuits sont un peu agitées. Je n'arrive pas à dormir la nuit, car mes rêves se transformaient en cauchemars et cela me siphonnait. Après ce qui s'était passé avec Axel, je suis pose que tout le quartier était dans le même cas.
Pour ma part, je n'arrivais pas à passer outre la discussion qu'on avait eue chez les Péréz. Cet échange n'a fait qu'à croitre cette boule que j'avais dans mon ventre. Et avec tout ce que j'avais à faire cette semaine. Je n'avais pas eu le temps de parler à Miguel sûr ce que j'avais vu l'autre jour.
Je prenais une gorgée de mon café toute en profitent du calme qui règne en ce bon samedi. petit a petit, chacun dans ce quartier essaye de reprendre son rythme de vie. alors, je fais de même. Même si au fond de nous, on sait que rien se sera plus comme avant.
Je fus prise d'un sursaut en entendant un bruit strident provenant d'en bas. En me penchant un peu vers l'avant. Les sourcils froncés, je cherchais du regard la source du bruit. Quand tout d'un coup, je perçois un petit garçon récupérer son ballon qui avait tapé contre le rideau fermé de la supérette de Mannolo. Effrayer à l'idée que quelqu'un l'est vu. Le petit tourne la tête à gauche et à droite, mais en levant les yeux vers moi, le petit se figa de peur.
Souvent le samedi, des jeunes du quartier proposent des cours de foot gratuitement aux petits garçons comme lui. Il était surement en train de s'entrainer avant le cours. Au vu de la tête qu'il faisait, je lui offri un sourire pour le rassurer. Le garçon avance jusqu'à sous mon balcon.et me dit d'une petite voix :
_ Ne le dite à personne s'il vous plaît , je ne le referai plus, c'est promis.
_ Motus et bouche cousue, rependais-je en lui souriant de toutes mes dents.
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POURQUOI MOI
ActionSon rêve était de finir ses études, d'être indépendante et d'avoir un train de vie normal. Mais le destin en à décider autrement. Elle qui trouvait que son quotidien était déjà chaotique, était loin de se douter, ne serai qu'un instant du tourbillon...